summaryrefslogtreecommitdiffstats
path: root/man/fr
diff options
context:
space:
mode:
Diffstat (limited to '')
-rw-r--r--man/fr/deb-buildinfo.pod30
-rw-r--r--man/fr/deb-changelog.pod26
-rw-r--r--man/fr/deb-changes.pod32
-rw-r--r--man/fr/deb-conffiles.pod2
-rw-r--r--man/fr/deb-control.pod42
-rw-r--r--man/fr/deb-extra-override.pod6
-rw-r--r--man/fr/deb-md5sums.pod4
-rw-r--r--man/fr/deb-old.pod4
-rw-r--r--man/fr/deb-origin.pod8
-rw-r--r--man/fr/deb-override.pod8
-rw-r--r--man/fr/deb-postinst.pod2
-rw-r--r--man/fr/deb-postrm.pod8
-rw-r--r--man/fr/deb-preinst.pod6
-rw-r--r--man/fr/deb-prerm.pod4
-rw-r--r--man/fr/deb-shlibs.pod6
-rw-r--r--man/fr/deb-split.pod6
-rw-r--r--man/fr/deb-src-control.pod32
-rw-r--r--man/fr/deb-src-rules.pod4
-rw-r--r--man/fr/deb-src-symbols.pod40
-rw-r--r--man/fr/deb-substvars.pod30
-rw-r--r--man/fr/deb-symbols.pod14
-rw-r--r--man/fr/deb-triggers.pod18
-rw-r--r--man/fr/deb-version.pod18
-rw-r--r--man/fr/deb.pod14
-rw-r--r--man/fr/deb822.pod12
-rw-r--r--man/fr/dpkg-architecture.pod116
-rw-r--r--man/fr/dpkg-checkbuilddeps.pod12
-rw-r--r--man/fr/dpkg-deb.pod48
-rw-r--r--man/fr/dpkg-distaddfile.pod4
-rw-r--r--man/fr/dpkg-divert.pod28
-rw-r--r--man/fr/dpkg-fsys-usrunmess.pod10
-rw-r--r--man/fr/dpkg-genbuildinfo.pod20
-rw-r--r--man/fr/dpkg-genchanges.pod34
-rw-r--r--man/fr/dpkg-gencontrol.pod20
-rw-r--r--man/fr/dpkg-gensymbols.pod26
-rw-r--r--man/fr/dpkg-maintscript-helper.pod24
-rw-r--r--man/fr/dpkg-mergechangelogs.pod16
-rw-r--r--man/fr/dpkg-name.pod12
-rw-r--r--man/fr/dpkg-parsechangelog.pod26
-rw-r--r--man/fr/dpkg-query.pod94
-rw-r--r--man/fr/dpkg-realpath.pod10
-rw-r--r--man/fr/dpkg-scanpackages.pod14
-rw-r--r--man/fr/dpkg-scansources.pod8
-rw-r--r--man/fr/dpkg-shlibdeps.pod52
-rw-r--r--man/fr/dpkg-source.pod124
-rw-r--r--man/fr/dpkg-split.pod26
-rw-r--r--man/fr/dpkg-statoverride.pod189
-rw-r--r--man/fr/dpkg-trigger.pod20
-rw-r--r--man/fr/dpkg-vendor.pod8
-rw-r--r--man/fr/dpkg.cfg.pod2
-rw-r--r--man/fr/dsc.pod28
-rw-r--r--man/fr/dselect.pod76
-rw-r--r--man/fr/start-stop-daemon.pod26
-rw-r--r--man/fr/update-alternatives.pod38
54 files changed, 693 insertions, 794 deletions
diff --git a/man/fr/deb-buildinfo.pod b/man/fr/deb-buildinfo.pod
index 4025641..d9fdffb 100644
--- a/man/fr/deb-buildinfo.pod
+++ b/man/fr/deb-buildinfo.pod
@@ -24,9 +24,9 @@ I<nom-du-fichier>B<.buildinfo>
Chaque construction de paquet source Debian peut enregistrer les informations de construction dans un fichier de contrôle B<.buildinfo> qui contient un certain nombre de champs au format L<deb822(5)>.
-Chaque champ commence par une étiquette, telle que B<Source> ou B<Binary> (la casse n'importe pas), suivie d'un S<« : »> et du contenu du champ (sensible à la casse à moins que cela ne soit stipulé autrement). Les champs sont séparés seulement par des étiquettes de champ. En d'autres termes, le contenu d'un champ peut s'étendre sur plusieurs lignes, mais les outils d'installation joindront en général les lignes pendant le traitement du contenu du champ (sauf dans le cas des champs à lignes multiples B<Binary-Only-Changes>, B<Installed-Build-Depends>, B<Environment>, B<Checksums-Md5>, B<Checksums-Sha1> et B<Checksums-Sha256>, voir ci-dessous).
+Chaque champ commence par une étiquette, telle que B<Source> ou B<Binary> (la casse n'importe pas), suivie d'un « : » et du contenu du champ (sensible à la casse à moins que cela ne soit stipulé autrement). Les champs sont séparés seulement par des étiquettes de champ. En d'autres termes, le contenu d'un champ peut s'étendre sur plusieurs lignes, mais les outils d'installation joindront en général les lignes pendant le traitement du contenu du champ (sauf dans le cas des champs à lignes multiples B<Binary-Only-Changes>, B<Installed-Build-Depends>, B<Environment>, B<Checksums-Md5>, B<Checksums-Sha1> et B<Checksums-Sha256>, voir ci-dessous).
-Les données de contrôle pourraient être incluses dans une signature OpenPGP S<« ASCII> S<Armored »,> comme spécifié dans la RFC4880.
+Les données de contrôle pourraient être incluses dans une signature OpenPGP « ASCII Armored », comme spécifié dans la RFC4880.
The name of the B<.buildinfo> file will depend on the type of build and will be as specific as necessary but not more; the name will be:
@@ -56,15 +56,15 @@ La valeur de ce champ déclare la version du format du fichier. La syntaxe de la
=item B<Source:> I<nom-source> [B<(>I<version-source>B<)>] (requis)
-Le nom du paquet source. Si la version du source diffère de la version binaire, alors le I<nom-source> sera suivi par une I<version-source> entre parenthèses. Cela peut arriver quand la construction concerne un envoi seulement binaire NMU S<(« non-maintainer> S<upload »).>
+Le nom du paquet source. Si la version du source diffère de la version binaire, alors le I<nom-source> sera suivi par une I<version-source> entre parenthèses. Cela peut arriver quand la construction concerne un envoi seulement binaire NMU (« non-maintainer upload »).
=item B<Binary:> I<liste-paquets-binaires> (requis selon le contexte)
-Ce champ coupé est une liste de paquets binaires construits séparés par des espaces. Si la construction ne concerne que les sources, le champ est omis (depuis S<dpkg 1.20.0).>
+Ce champ coupé est une liste de paquets binaires construits séparés par des espaces. Si la construction ne concerne que les sources, le champ est omis (depuis dpkg 1.20.0).
=item B<Architecture:> I<liste-architectures> (requis)
-Ce champ, séparé par des espaces, liste les architectures des fichiers actuellement en construction. Voici quelques architectures S<habituelles :> B<amd64>, B<armel>, B<i386>, etc. Remarquez que l'option B<all> signifie que le paquet est indépendant de toute architecture. Si le source du paquet est aussi en construction, l'entrée spéciale B<source> est aussi présente. Les architectures joker ne doivent jamais être présentes dans la liste.
+Ce champ, séparé par des espaces, liste les architectures des fichiers actuellement en construction. Voici quelques architectures habituelles : B<amd64>, B<armel>, B<i386>, etc. Remarquez que l'option B<all> signifie que le paquet est indépendant de toute architecture. Si le source du paquet est aussi en construction, l'entrée spéciale B<source> est aussi présente. Les architectures joker ne doivent jamais être présentes dans la liste.
=item B<Version:> I<chaîne-de-la-version> (requis)
@@ -74,19 +74,21 @@ Typically, this is the original package's version number in whatever form the pr
=item S< >I<entrées-du-changelog>
-Ce champ à lignes multiples contient le texte concaténé des entrées de changelog pour un envoi seulement binaire (binNMU), si c'est le cas. Pour faire de ce champ un champ à lignes multiples valable, les lignes vides sont remplacées par un point S<« B<.> »> et toutes les lignes sont indentées par une seule espace. Le contenu exact dépend du format du changelog.
+Ce champ à lignes multiples contient le texte concaténé des entrées de changelog pour un envoi seulement binaire (binNMU), si c'est le cas. Pour faire de ce champ un champ à lignes multiples valable, les lignes vides sont remplacées par un point « B<.> » et toutes les lignes sont indentées par une seule espace. Le contenu exact dépend du format du changelog.
-=item B<Checksums-Md5:> (requis)
+=item B<Checksums-Md5:> (required, weak)
-=item B<Checksums-Sha1:> (requis)
+=item B<Checksums-Sha1:> (required, weak)
-=item B<Checksums-Sha256:> (requis)
+=item B<Checksums-Sha256:> (required, strong)
=item S< >I<somme-de-contrôle> I<taille> I<nom-du-fichier>
-Ces champs à lignes multiples contiennent la liste des fichiers avec la somme de contrôle et la taille de chacun. Ces champs ont la même syntaxe et ne diffèrent que par l'algorithme de somme de contrôle S<utilisé :> MD5 pour B<Checksums-Md5>, SHA-1 pour B<Checksums-Sha1> et SHA-256 pour B<Checksums-Sha256>.
+Ces champs à lignes multiples contiennent la liste des fichiers avec la somme de contrôle et la taille de chacun. Ces champs ont la même syntaxe et ne diffèrent que par l'algorithme de somme de contrôle utilisé : MD5 pour B<Checksums-Md5>, SHA-1 pour B<Checksums-Sha1> et SHA-256 pour B<Checksums-Sha256>.
-La première ligne de la valeur du champ (la partie sur la même ligne que le nom du champ suivi par deux-points) est toujours vide. Le contenu du champ est exprimé par des lignes de continuation, une ligne par fichier. Chaque ligne consiste en des entrées séparées par des espaces décrivant le S<fichier :la> somme de contrôle, la taille du fichier et le nom du fichier.
+B<Note>: The MD5 and SHA-1 checksums are considered weak, and should never be assumed to be sufficient for secure verification.
+
+La première ligne de la valeur du champ (la partie sur la même ligne que le nom du champ suivi par deux-points) est toujours vide. Le contenu du champ est exprimé par des lignes de continuation, une ligne par fichier. Chaque ligne consiste en des entrées séparées par des espaces décrivant le fichier :la somme de contrôle, la taille du fichier et le nom du fichier.
Ces champs listent tous les fichiers qui composent la construction.
@@ -116,7 +118,7 @@ Dans Debian et ses dérivés, seuls les chemins de construction débutant par I<
=item S< >I<liste-des-raisons-de-souillure>
-Ce champ coupé est une liste, séparée par des espaces, non exhaustive des étiquettes de raison (formées de caractères alphanumériques et de tirets) qui définissent pourquoi la construction actuelle a été souillée (depuis S<dpkg 1.19.5).>
+Ce champ coupé est une liste, séparée par des espaces, non exhaustive des étiquettes de raison (formées de caractères alphanumériques et de tirets) qui définissent pourquoi la construction actuelle a été souillée (depuis dpkg 1.19.5).
Dans Debian et ses dérivées, les étiquettes de raisons suivantes peuvent être émises.
@@ -146,7 +148,7 @@ Le système a des bibliothèques statiques ou partagées dans I</usr/local/lib>.
Le système peut exécuter des programmes de construction croisée soit directement, soit au moyen d'une couche d'émulation.
-depuis S<dpkg 1.21.10).>
+depuis dpkg 1.21.10).
=back
@@ -166,7 +168,7 @@ Pour les dépendances provenant des champs de contrôle des sources, toutes les
=item S< >I<liste-de-variables>
-La liste des variables d'environnement qui sont connues pour affecter le processus de construction du paquet. Chaque variable d'environnement est suivie d'un signe égal S<(« = »)> et de la valeur de la variable protégée avec des guillemets doubles S<(« " »)> et des barres obliques inverses S<(« \\ »).>
+La liste des variables d'environnement qui sont connues pour affecter le processus de construction du paquet. Chaque variable d'environnement est suivie d'un signe égal (« = ») et de la valeur de la variable protégée avec des guillemets doubles (« " ») et des barres obliques inverses (« \\ »).
=back
diff --git a/man/fr/deb-changelog.pod b/man/fr/deb-changelog.pod
index 1bb4dfb..857b221 100644
--- a/man/fr/deb-changelog.pod
+++ b/man/fr/deb-changelog.pod
@@ -14,7 +14,7 @@ If the PO get lost, keeping this translation up-to-date will be harder.
=head1 NOM
-deb-changelog - Format du fichier de journal des modifications S<(« changelog »)> des paquets source dpkg
+deb-changelog - Format du fichier de journal des modifications (« changelog ») des paquets source dpkg
=head1 SYNOPSIS
@@ -26,7 +26,7 @@ Les modifications de la version empaquetée d'un projet sont expliquées dans le
Le format de I<debian/changelog> permet aux outils de construction du paquet de découvrir la version du paquet en construction et de découvrir d'autres informations spécifiques à la version.
-Ce format est une série d'entrées comme S<celles-ci :>
+Ce format est une série d'entrées comme celles-ci :
Z<>
I<package> (I<version>) I<distributions>; I<metadata>
@@ -38,9 +38,9 @@ Z<>
[optional blank line(s), stripped]
-- I<maintainer-name> <I<email-address>> I<date>
-I<paquet> et I<version> sont le nom et le numéro de version du paquet source. I<version> est délimité par les parenthèses U+00028 S<« B<(> »> et U+0029 S<« B<)> ».>
+I<paquet> et I<version> sont le nom et le numéro de version du paquet source. I<version> est délimité par les parenthèses U+00028 « B<(> » et U+0029 « B<)> ».
-I<distributions> liste une ou plusieurs distributions, séparées par une espace, dans lesquelles cette version peut être installée après S<téléchargement ;> l'entrée est copiée dans le champ B<Distribution> dans le fichier I<.changes>. I<distributions> doit se terminer par un point-virgule (U+003B S<« B<;> »).>
+I<distributions> liste une ou plusieurs distributions, séparées par une espace, dans lesquelles cette version peut être installée après téléchargement ; l'entrée est copiée dans le champ B<Distribution> dans le fichier I<.changes>. I<distributions> doit se terminer par un point-virgule (U+003B « B<;> »).
I<metadata> lists zero or more comma-separated I<keyword>=I<value> items. Each keyword can contain only minus and case insensitive alphanumeric characters, as they need to be mapped to L<deb822(5)> field names. The only I<keyword>s currently supported by B<dpkg> are:
@@ -58,7 +58,7 @@ With a B<yes> value, it is used to denote that this changelog entry is for a bin
Les détails de modification peuvent être en fait une série de lignes démarrant par au moins deux espaces (U+0020 B<ESPACE>), mais par convention, chaque modification débute par un astérisque et une espace de séparation et les lignes de continuation sont indentées de telle manière qu'elles s'alignent sur le début du texte au-dessus. Des lignes blanches peuvent être utilisées pour séparer des groupes de modifications, si désiré.
-Si cet envoi résout des bogues enregistrés dans le système de suivi de bogues de la distribution, ceux-ci peuvent être automatiquement fermés lors de l'inclusion de ce paquet dans l'archive de la distribution en incluant la S<chaîne :>
+Si cet envoi résout des bogues enregistrés dans le système de suivi de bogues de la distribution, ceux-ci peuvent être automatiquement fermés lors de l'inclusion de ce paquet dans l'archive de la distribution en incluant la chaîne :
=over
@@ -66,7 +66,7 @@ B<Closes: #>I<nnnnn>
=back
-dans les détails de modification où B<#>I<nnnnn> est le numéro du bogue. L'expression rationnelle précise en Perl S<est :>
+dans les détails de modification où B<#>I<nnnnn> est le numéro du bogue. L'expression rationnelle précise en Perl est :
=over
@@ -80,7 +80,7 @@ Cette information est transmise à travers le champ B<Closes> dans le fichier I<
Le nom du responsable et l'adresse électronique utilisés dans le changelog seront les détails sur la personne qui a préparé cette version du paquet. Ce ne sont B<pas> nécessairement ceux de celui ou celle qui fait l'envoi ou du responsable habituel du paquet. Ces informations seront copiées dans le champ B<Changed-By> du fichier I<.changes>, et pourront plus tard être utilisées pour envoyer une confirmation lorsque l'envoi a été installé dans l'archive de la distribution.
-La I<date> est au format suivant (compatible et avec la même sémantique que RFC2822 et RFC5322, ou avec ce que crée S<« date> S<-R ») :>
+La I<date> est au format suivant (compatible et avec la même sémantique que RFC2822 et RFC5322, ou avec ce que crée « date -R ») :
=over
@@ -88,13 +88,13 @@ I<jour-de-la-semaine>B<,> I<jj> I<mois> I<aaaa> I<hh>B<:>I<mm>B<:>I<ss> B<+>I<zz
=back
-S<où :>
+où :
=over
=item I<jour-de-la-semaine>
-C'est au S<choix :> B<Mon>, B<Tue>, B<Wed>, B<Thu>, B<Fri>, B<Sat>, B<Sun>.
+C'est au choix : B<Mon>, B<Tue>, B<Wed>, B<Thu>, B<Fri>, B<Sat>, B<Sun>.
=item I<jj>
@@ -102,7 +102,7 @@ C'est le jour du mois en un ou deux chiffres (B<01>-B<31>) où le zéro de débu
=item I<mois>
-C'est au S<choix :> B<Jan>, B<Feb>, B<Mar>, B<Apr>, B<May>, B<Jun>, B<Jul>, B<Aug>, B<Sep>, B<Oct>, B<Nov>, B<Dec>.
+C'est au choix : B<Jan>, B<Feb>, B<Mar>, B<Apr>, B<May>, B<Jun>, B<Jul>, B<Aug>, B<Sep>, B<Oct>, B<Nov>, B<Dec>.
=item I<aaaa>
@@ -122,15 +122,15 @@ Il s'agit des secondes en deux chiffres (B<00>-B<59>).
=item [B<+->]I<zzzz>
-Il s'agit du décalage horaire par rapport au temps universel coordonné (UTC). S<« B<+> »> indique que l'heure est en avance (c'est-à-dire à l'est) par rapport à l'UTC et S<« B<-> »> indique que l'heure est en retard (c'est-à-dire à l'ouest) par rapport à l'UTC. Les deux premiers chiffres indiquent la différence d'heures par rapport à l'UTC et les deux derniers le nombre de minutes additionnelles par rapport à l'UTC. Ces deux derniers chiffres doivent être entre B<00> et B<59>.
+Il s'agit du décalage horaire par rapport au temps universel coordonné (UTC). « B<+> » indique que l'heure est en avance (c'est-à-dire à l'est) par rapport à l'UTC et « B<-> » indique que l'heure est en retard (c'est-à-dire à l'ouest) par rapport à l'UTC. Les deux premiers chiffres indiquent la différence d'heures par rapport à l'UTC et les deux derniers le nombre de minutes additionnelles par rapport à l'UTC. Ces deux derniers chiffres doivent être entre B<00> et B<59>.
=back
-La première ligne de S<« titre »> avec le nom du paquet doit débuter à la marge gauche. La ligne terminale avec les détails sur le responsable et la date doit être précédée par exactement une espace (U+0020 B<ESPACE>). Les détails sur le responsable et la date doivent être séparés par exactement deux espaces (U+0020 B<ESPACE>). Chaque partie de la I<date> doit être séparée par plusieurs espaces (U+0020 B<ESPACE>), sauf après la virgule où elles peuvent êtres séparées par zéro ou plus d'espaces (U+0020 B<ESPACE>).
+La première ligne de « titre » avec le nom du paquet doit débuter à la marge gauche. La ligne terminale avec les détails sur le responsable et la date doit être précédée par exactement une espace (U+0020 B<ESPACE>). Les détails sur le responsable et la date doivent être séparés par exactement deux espaces (U+0020 B<ESPACE>). Chaque partie de la I<date> doit être séparée par plusieurs espaces (U+0020 B<ESPACE>), sauf après la virgule où elles peuvent êtres séparées par zéro ou plus d'espaces (U+0020 B<ESPACE>).
Toute ligne qui consiste uniquement (c'est-à-dire sans espace au début de la ligne) en commentaires de style B<#> ou B</* */> ou en mots-clés RCS.
-Les lignes de mode S<(« modeline »)> de Vim ou les variables locales d'Emacs et les anciennes entrées de changelog avec d'autres formats à la fin du fichier devraient être acceptées et conservées à la sortie, mais leur contenu pourrait être autrement ignoré et l'analyse arrêtée à ce moment-là.
+Les lignes de mode (« modeline ») de Vim ou les variables locales d'Emacs et les anciennes entrées de changelog avec d'autres formats à la fin du fichier devraient être acceptées et conservées à la sortie, mais leur contenu pourrait être autrement ignoré et l'analyse arrêtée à ce moment-là.
La totalité du journal des modifications doit être encodé en UTF-8.
diff --git a/man/fr/deb-changes.pod b/man/fr/deb-changes.pod
index 83b2833..d540dbe 100644
--- a/man/fr/deb-changes.pod
+++ b/man/fr/deb-changes.pod
@@ -24,9 +24,9 @@ I<nom-du-fichier>B<.changes>
Chaque envoi dans Debian est composé d'un fichier de contrôle .changes qui contient un certain nombre de champs au format L<deb822(5)>.
-Chaque champ commence par une étiquette, telle que B<Source> ou B<Binary> (la casse n'importe pas), suivie d'un S<« : »,> et du contenu du champ (sensible à la casse à moins que cela ne soit spécifié autrement). Les champs sont séparés seulement par des étiquettes de champ. En d'autres termes, le contenu d'un champ peut s'étendre sur plusieurs lignes, mais les outils d'installation joindront en général les lignes pendant le traitement du contenu du champ (sauf pour les champs à lignes multiples B<Description>, B<Changes>, B<Files>, B<Checksums-Sha1> et B<Checksums-Sha256>, voir ci-dessous).
+Chaque champ commence par une étiquette, telle que B<Source> ou B<Binary> (la casse n'importe pas), suivie d'un « : », et du contenu du champ (sensible à la casse à moins que cela ne soit spécifié autrement). Les champs sont séparés seulement par des étiquettes de champ. En d'autres termes, le contenu d'un champ peut s'étendre sur plusieurs lignes, mais les outils d'installation joindront en général les lignes pendant le traitement du contenu du champ (sauf pour les champs à lignes multiples B<Description>, B<Changes>, B<Files>, B<Checksums-Sha1> et B<Checksums-Sha256>, voir ci-dessous).
-Les données de contrôle pourraient être incluses dans une signature OpenPGP S<« ASCII> S<Armored »,> comme spécifié dans la RFC4880.
+Les données de contrôle pourraient être incluses dans une signature OpenPGP « ASCII Armored », comme spécifié dans la RFC4880.
=head1 LES CHAMPS
@@ -44,7 +44,7 @@ La valeur de ce champ est habituellement extraite du fichier I<debian/changelog>
=item B<Source:> I<nom-source> [B<(>I<version-source>B<)>] (requis)
-Le nom du paquet source. Si la version du source diffère de la version binaire, alors le I<nom-source> sera suivi par une I<version-source> entre parenthèses. Cela peut arriver quand il s'agit d'un envoi seulement binaire NMU S<(« non-maintainer> S<upload »).>
+Le nom du paquet source. Si la version du source diffère de la version binaire, alors le I<nom-source> sera suivi par une I<version-source> entre parenthèses. Cela peut arriver quand il s'agit d'un envoi seulement binaire NMU (« non-maintainer upload »).
=item B<Binary:> I<liste-paquets-binaires> (requis selon le contexte)
@@ -52,7 +52,7 @@ Ce champ coupé est une liste, séparée par des espaces, de paquets binaires à
=item B<Architecture:> I<liste-architectures>
-Liste des architectures des fichiers actuellement envoyés. Voici quelques architectures S<habituelles :> B<amd64>, B<armel>, B<i386>, etc. Remarquez que l'option B<all> signifie que le paquet est indépendant de toute architecture. Si les sources du paquet sont également envoyées, l'entrée spéciale B<source> est aussi présente. Les architectures joker ne doivent jamais être présentes dans la liste.
+Liste des architectures des fichiers actuellement envoyés. Voici quelques architectures habituelles : B<amd64>, B<armel>, B<i386>, etc. Remarquez que l'option B<all> signifie que le paquet est indépendant de toute architecture. Si les sources du paquet sont également envoyées, l'entrée spéciale B<source> est aussi présente. Les architectures joker ne doivent jamais être présentes dans la liste.
=item B<Version:> I<chaîne-de-la-version> (requis)
@@ -64,21 +64,21 @@ Liste une ou plusieurs distributions, séparées par des espaces, dans lesquelle
=item B<Urgency:> I<urgence> (recommandé)
-L'urgence de l'envoi. Les valeurs actuelles reconnues sont, par ordre croissant S<d'urgence :> B<low>, B<medium>, B<high>, B<critical> et B<emergency>.
+L'urgence de l'envoi. Les valeurs actuelles reconnues sont, par ordre croissant d'urgence : B<low>, B<medium>, B<high>, B<critical> et B<emergency>.
=item B<Maintainer:> I<nom-complet-et-adresse-électronique> (requis)
-Le format de ce champ sera S<« Jean> Dupont S<E<lt>jdupont@example.orgE<gt> »> ; et c'est bien sûr le créateur du paquet, par opposition à l'auteur du programme mis en paquet.
+Le format de ce champ sera « Jean Dupont E<lt>jdupont@example.orgE<gt> » ; et c'est bien sûr le créateur du paquet, par opposition à l'auteur du programme mis en paquet.
=item B<Changed-By:> I<nom-complet-et-adresse-électronique>
-Le format de ce champ sera S<« Jean> Dupont S<E<lt>jdupont@example.orgE<gt> »> ; et c'est bien sûr celui qui a préparé les modifications du paquet pour cette version.
+Le format de ce champ sera « Jean Dupont E<lt>jdupont@example.orgE<gt> » ; et c'est bien sûr celui qui a préparé les modifications du paquet pour cette version.
=item B<Description:> (recommandé)
=item S< >I<nom-du-paquet-binaire> B<-> I<résumé-du-paquet-binaire>
-Ce champ à lignes multiples contient une liste de noms de paquets binaires suivis d'une espace, d'un tiret S<(« B<-> »)> et de leur description courte éventuellement tronquée. Si l'envoi ne concerne que les sources, le champ est omis (depuis S<dpkg 1.19.3).>
+Ce champ à lignes multiples contient une liste de noms de paquets binaires suivis d'une espace, d'un tiret (« B<-> ») et de leur description courte éventuellement tronquée. Si l'envoi ne concerne que les sources, le champ est omis (depuis dpkg 1.19.3).
=item B<Closes:> I<liste-numéros-bogue>
@@ -96,7 +96,7 @@ Ce champ définit une liste, séparée par des espaces, de profils de constructi
=item S< >I<entrées-du-journal-des-modifications>
-Ce champ à lignes multiples fournit le texte concaténé de toutes les entrées de changelog faisant partie de cet envoi. Pour rendre ce champ à lignes multiples valable, les lignes vides sont remplacées par un point S<« B<.> »> et toutes les lignes sont indentées par une seule espace. Le contenu exact dépend du format du changelog.
+Ce champ à lignes multiples fournit le texte concaténé de toutes les entrées de changelog faisant partie de cet envoi. Pour rendre ce champ à lignes multiples valable, les lignes vides sont remplacées par un point « B<.> » et toutes les lignes sont indentées par une seule espace. Le contenu exact dépend du format du changelog.
=item B<Files:> (requis)
@@ -104,22 +104,26 @@ Ce champ à lignes multiples fournit le texte concaténé de toutes les entrées
Ce champ à lignes multiples fournit une liste de fichiers avec la md5sum, la taille, la section et la priorité de chacun.
-La première ligne de la valeur du champ (la partie sur la même ligne que le nom du champ suivi par deux-points) est toujours vide. Le contenu du champ est exprimé sous la forme de lignes de continuation, un ligne par fichier. Chaque ligne consiste en des entrées, séparées par des espaces, décrivant le S<fichier :> la md5sum, la taille du fichier, sa section, sa priorité et son nom.
+La première ligne de la valeur du champ (la partie sur la même ligne que le nom du champ suivi par deux-points) est toujours vide. Le contenu du champ est exprimé sous la forme de lignes de continuation, un ligne par fichier. Chaque ligne consiste en des entrées, séparées par des espaces, décrivant le fichier : la md5sum, la taille du fichier, sa section, sa priorité et son nom.
Ce champ liste tous les fichiers qui composent l'envoi. La liste de fichiers de ce champ doit correspondre à celle présente dans les autres champs relatifs aux B<Checksums>.
-=item B<Checksums-Sha1:> (requis)
+B<Note>: The MD5 checksum is considered weak, and should never be assumed to be sufficient for secure verification, but this field cannot be omitted as it provides metadata not available anywhere else.
-=item B<Checksums-Sha256:> (requis)
+=item B<Checksums-Sha1:> (required, weak)
+
+=item B<Checksums-Sha256:> (required, strong)
=item S< >I<somme-de-contrôle> I<taille> I<nom-du-fichier>
-Ces champs à lignes multiples fournissent une liste de fichiers avec la somme de contrôle et la taille de chacun. Ces champs ont la même syntaxe et ne diffèrent que par l'algorithme de somme de contrôle S<utilisé :> SHA-1 pour B<Checksums-Sha1> et SHA-256 pour B<Checksums-Sha256>.
+Ces champs à lignes multiples fournissent une liste de fichiers avec la somme de contrôle et la taille de chacun. Ces champs ont la même syntaxe et ne diffèrent que par l'algorithme de somme de contrôle utilisé : SHA-1 pour B<Checksums-Sha1> et SHA-256 pour B<Checksums-Sha256>.
-La première ligne de la valeur du champ (la partie sur la même ligne que le nom du champ suivi par deux-points) est toujours vide. Le contenu du champ est exprimé par des lignes de continuation, une ligne par fichier. Chaque ligne consiste en des entrées séparées par des espaces décrivant le S<fichier :la> somme de contrôle, la taille du fichier et le nom du fichier.
+La première ligne de la valeur du champ (la partie sur la même ligne que le nom du champ suivi par deux-points) est toujours vide. Le contenu du champ est exprimé par des lignes de continuation, une ligne par fichier. Chaque ligne consiste en des entrées séparées par des espaces décrivant le fichier :la somme de contrôle, la taille du fichier et le nom du fichier.
Ces champs listent tous les fichiers qui composent l'envoi. La liste de fichiers de ce champ doit correspondre à celle présente dans le champ B<Files> et les autres champs relatifs aux B<Checksums>.
+B<Note>: The SHA-1 checksum is considered weak, and should never be assumed to be sufficient for secure verification.
+
=back
=head1 BOGUES
diff --git a/man/fr/deb-conffiles.pod b/man/fr/deb-conffiles.pod
index 28b45e6..91e40fc 100644
--- a/man/fr/deb-conffiles.pod
+++ b/man/fr/deb-conffiles.pod
@@ -28,7 +28,7 @@ Ce fichier contient une liste de fichiers, un par ligne, avec un drapeau optionn
Les fichiers sans étiquette doivent exister dans le paquet binaire, autrement L<dpkg(1)> les ignorera.
-Actuellement, il n'y a qu'un drapeau pris en charge, B<remove-on-upgrade>, pour signaler qu'un conffile doit être supprimé à la prochaine mise à niveau (depuis S<dpkg 1.20.6).> Ces fichiers ne doivent pas exister dans le paquet binaire et ni L<dpkg(1)>, ni L<dpkg-deb(1)> n'accepteront de construire ou de traiter ces paquets binaires.
+Actuellement, il n'y a qu'un drapeau pris en charge, B<remove-on-upgrade>, pour signaler qu'un conffile doit être supprimé à la prochaine mise à niveau (depuis dpkg 1.20.6). Ces fichiers ne doivent pas exister dans le paquet binaire et ni L<dpkg(1)>, ni L<dpkg-deb(1)> n'accepteront de construire ou de traiter ces paquets binaires.
=head1 EXEMPLE
diff --git a/man/fr/deb-control.pod b/man/fr/deb-control.pod
index 10643a4..4f7b4bb 100644
--- a/man/fr/deb-control.pod
+++ b/man/fr/deb-control.pod
@@ -24,7 +24,7 @@ B<DEBIAN/control>
Each Debian binary package contains a B<control> file in its B<control> member, and its L<deb822(5)> format is a subset of the B<debian/control> template source control file in Debian source packages, see L<deb-src-control(5)>.
-Ce fichier contient un certain nombre de champs. Chaque champ commence par une étiquette, telle que B<Package> ou B<Version> (la casse n'importe pas), suivie d'un S<« : »,> et du contenu du champ (sensible à la casse à moins que cela ne soit spécifié autrement). Les champs sont séparés seulement par des étiquettes de champ. En d'autres termes, le contenu d'un champ peut s'étendre sur plusieurs lignes, mais les outils d'installation joindront en général les lignes pendant le traitement du contenu du champ (sauf pour le champ B<Description>, voir ci-dessous).
+Ce fichier contient un certain nombre de champs. Chaque champ commence par une étiquette, telle que B<Package> ou B<Version> (la casse n'importe pas), suivie d'un « : », et du contenu du champ (sensible à la casse à moins que cela ne soit spécifié autrement). Les champs sont séparés seulement par des étiquettes de champ. En d'autres termes, le contenu d'un champ peut s'étendre sur plusieurs lignes, mais les outils d'installation joindront en général les lignes pendant le traitement du contenu du champ (sauf pour le champ B<Description>, voir ci-dessous).
=head1 LES CHAMPS
@@ -44,13 +44,13 @@ Typically, this is the original package's version number in whatever form the pr
=item B<Maintainer:> I<nom-complet-et-adresse-électronique> (recommandé)
-Le format de ce champ sera S<« Jean> Dupont S<E<lt>jdupont@foo.comE<gt> »> ; et c'est bien sûr le créateur du paquet, par opposition à l'auteur du programme mis en paquet.
+Le format de ce champ sera « Jean Dupont E<lt>jdupont@foo.comE<gt> » ; et c'est bien sûr le créateur du paquet, par opposition à l'auteur du programme mis en paquet.
=item B<Description:> I<description-courte> (recommandé)
=item S< >I<description-longue>
-Le format de la description du paquet est un résumé bref sur la première ligne (après le champ B<Description>). Les lignes suivantes peuvent servir à une description plus longue et plus détaillée. Chaque ligne de cette description longue doit être précédée d'une espace ; quand c'est une ligne blanche, elle doit contenir un seul S<« B<.> »> après cette espace.
+Le format de la description du paquet est un résumé bref sur la première ligne (après le champ B<Description>). Les lignes suivantes peuvent servir à une description plus longue et plus détaillée. Chaque ligne de cette description longue doit être précédée d'une espace ; quand c'est une ligne blanche, elle doit contenir un seul « B<.> » après cette espace.
=item B<Section:> I<section>
@@ -74,7 +74,7 @@ La taille approximative totale des fichiers installés du paquet, en Kio. L'algo
On se sert habituellement de ce champ uniquement si la réponse est B<yes>. Cela signifie que ce paquet est exigé principalement pour un démarrage correct du système ou utilisé pour des méta-paquets personnalisés du système local. L<dpkg(1)> et les autres outils d'installation interdisent la suppression d'un paquet B<Protected> (du moins tant qu'une des options de forçage n'est pas utilisée).
-Pris en charge depuis S<dpkg 1.20.1.>
+Pris en charge depuis dpkg 1.20.1.
=item B<Essential:> B<yes>|B<no>
@@ -86,7 +86,7 @@ Ce champ est habituellement nécessaire seulement si la réponse est B<yes>, et
=item B<Architecture:> I<arch>|B<all> (requis)
-L'architecture précise pour quel type de matériel le paquet a été compilé. Voici quelques architectures S<habituelles :> B<amd64>, B<armel>, B<i386>, B<powerpc>, etc. Remarquez que l'option B<all> signifie que le paquet est indépendant de toute architecture. C'est le cas, par exemple, des scripts d'interpréteur de commandes (shell) ou Perl, ainsi que de la documentation.
+L'architecture précise pour quel type de matériel le paquet a été compilé. Voici quelques architectures habituelles : B<amd64>, B<armel>, B<i386>, B<powerpc>, etc. Remarquez que l'option B<all> signifie que le paquet est indépendant de toute architecture. C'est le cas, par exemple, des scripts d'interpréteur de commandes (shell) ou Perl, ainsi que de la documentation.
=item B<Origin:> I<nom>
@@ -102,7 +102,7 @@ I<URL> de la page d'accueil du projet amont.
=item B<Tag:> I<liste-d'étiquettes>
-Liste d'étiquettes décrivant les qualités du paquet. La description et la liste des étiquettes S<(« tags »)> prises en charge peuvent être trouvées dans le paquet B<debtags>.
+Liste d'étiquettes décrivant les qualités du paquet. La description et la liste des étiquettes (« tags ») prises en charge peuvent être trouvées dans le paquet B<debtags>.
=item B<Multi-Arch:> B<no>|B<same>|B<foreign>|B<allowed>
@@ -130,7 +130,7 @@ Cela permet aux dépendances inverses d'indiquer dans leur champ B<Depends> qu'e
=item B<Source:> I<nom-du-paquet-source> [B<(>I<version-source>B<)>]
-Le nom du paquet source d'où est issu ce paquet binaire, s'il est différent du nom du paquet lui-même. Si la version des sources diffère de la version du binaire, alors le I<nom-du-paquet-source> sera suivi par la I<version-source> entre parenthèses. Cela peut arriver par exemple sur un envoi seulement binaire NMU S<(« non-maintainer> S<upload »),> ou lorsqu'une version différente de binaire est fixée avec S<« B<dpkg-gencontrol> S<-v> ».>
+Le nom du paquet source d'où est issu ce paquet binaire, s'il est différent du nom du paquet lui-même. Si la version des sources diffère de la version du binaire, alors le I<nom-du-paquet-source> sera suivi par la I<version-source> entre parenthèses. Cela peut arriver par exemple sur un envoi seulement binaire NMU (« non-maintainer upload »), ou lorsqu'une version différente de binaire est fixée avec « B<dpkg-gencontrol -v> ».
=item B<Subarchitecture:> I<valeur>
@@ -142,11 +142,11 @@ Ces champs sont utilisés par l'installateur et ne sont en général pas nécess
=item B<Depends:> I<liste-de-paquets>
-C'est la liste des paquets exigés pour que ce paquet procure un nombre important de fonctionnalités. Le programme de maintenance des paquets interdit l'installation d'un paquet quand les paquets répertoriés dans le champ B<Depends> ne sont pas installés (du moins tant qu'une option de forçage n'est pas utilisée). Lors d'une installation, il lance les scripts S<« postinst »> des paquets répertoriés dans les champs B<Depends> avant les scripts S<« postinst »> des paquets qui dépendent d'eux. À l'inverse, lors d'une suppression, le script S<« prerm »> d'un paquet est lancé avant ceux des paquets listés dans son champ B<Depends>.
+C'est la liste des paquets exigés pour que ce paquet procure un nombre important de fonctionnalités. Le programme de maintenance des paquets interdit l'installation d'un paquet quand les paquets répertoriés dans le champ B<Depends> ne sont pas installés (du moins tant qu'une option de forçage n'est pas utilisée). Lors d'une installation, il lance les scripts « postinst » des paquets répertoriés dans les champs B<Depends> avant les scripts « postinst » des paquets qui dépendent d'eux. À l'inverse, lors d'une suppression, le script « prerm » d'un paquet est lancé avant ceux des paquets listés dans son champ B<Depends>.
=item B<Pre-Depends:> I<liste-de-paquets>
-C'est la liste des paquets qui doivent être installés B<et> configurés avant que ce paquet puisse être installé. Habituellement, on utilise ce champ quand un paquet a besoin d'un autre paquet pour lancer son script S<« preinst ».>
+C'est la liste des paquets qui doivent être installés B<et> configurés avant que ce paquet puisse être installé. Habituellement, on utilise ce champ quand un paquet a besoin d'un autre paquet pour lancer son script « preinst ».
=item B<Recommends:> I<liste-de-paquets>
@@ -158,17 +158,17 @@ C'est la liste des paquets qui, associés avec ce paquet, peuvent améliorer son
=back
-La syntaxe des champs B<Depends>, B<Pre-Depends>, B<Recommends> et B<Suggests> est une liste d'ensembles de paquets alternatifs. Chaque ensemble est une liste de paquets séparés par des barres verticales (le symbole du tube) S<« B<|> ».> Les ensembles sont séparés par des virgules. Une virgule représente un S<« ET »> logique et une barre verticale représente un S<« OU »> logique ; le tube a la précédence dans l'évaluation de l'expression. Chaque nom de paquet est suivi éventuellement par un type d'architecture après deux-points S<« B<:> »,> et par une contrainte sur le numéro de version mise entre parenthèses.
+La syntaxe des champs B<Depends>, B<Pre-Depends>, B<Recommends> et B<Suggests> est une liste d'ensembles de paquets alternatifs. Chaque ensemble est une liste de paquets séparés par des barres verticales (le symbole du tube) « B<|> ». Les ensembles sont séparés par des virgules. Une virgule représente un « ET » logique et une barre verticale représente un « OU » logique ; le tube a la précédence dans l'évaluation de l'expression. Chaque nom de paquet est suivi éventuellement par un type d'architecture après deux-points « B<:> », et par une contrainte sur le numéro de version mise entre parenthèses.
-Un nom de type d'architecture peut être un nom d'architecture réelle de Debian (depuis S<dpkg 1.16.5)> ou B<any> (depuis S<dpkg 1.16.2).> S'il est omis, la valeur par défaut est l'architecture du paquet binaire actuel. Un nom d'architecture réelle de Debian correspondra exactement à l'architecture pour ce nom de paquet, B<any> correspondra à toute architecture pour ce nom de paquet si le paquet a été marqué B<Multi-Arch: allowed>.
+Un nom de type d'architecture peut être un nom d'architecture réelle de Debian (depuis dpkg 1.16.5) ou B<any> (depuis dpkg 1.16.2). S'il est omis, la valeur par défaut est l'architecture du paquet binaire actuel. Un nom d'architecture réelle de Debian correspondra exactement à l'architecture pour ce nom de paquet, B<any> correspondra à toute architecture pour ce nom de paquet si le paquet a été marqué B<Multi-Arch: allowed>.
-Une contrainte sur le numéro de version peut commencer par S<« B<E<gt>E<gt>> »,> et dans ce cas toute version supérieure correspondra, et il peut indiquer (ou pas) le numéro de révision pour le paquet Debian (les deux numéros étant séparés par un trait d'union). Voici les relations acceptées pour les S<versions :> S<« B<E<gt>E<gt>> »> pour supérieur à, S<« B<E<lt>E<lt>> »> pour inférieur à, S<« B<E<gt>=> »> pour supérieur ou égal, S<« B<E<lt>=> »> pour inférieur ou égal, et S<« B<=> »> pour égal à.
+Une contrainte sur le numéro de version peut commencer par « B<E<gt>E<gt>> », et dans ce cas toute version supérieure correspondra, et il peut indiquer (ou pas) le numéro de révision pour le paquet Debian (les deux numéros étant séparés par un trait d'union). Voici les relations acceptées pour les versions : « B<E<gt>E<gt>> » pour supérieur à, « B<E<lt>E<lt>> » pour inférieur à, « B<E<gt>=> » pour supérieur ou égal, « B<E<lt>=> » pour inférieur ou égal, et « B<=> » pour égal à.
=over
=item B<Breaks:> I<liste-de-paquets>
-C'est une liste de paquets que ce paquet S<« casse »,> par exemple en révélant des bogues quand les paquets concernés dépendent de celui-ci. Le programme de maintenance des paquets interdit la configuration de paquets cassés ; une méthode usuelle de résolution est la mise à niveau des paquets mentionnés dans le champ B<Breaks>.
+C'est une liste de paquets que ce paquet « casse », par exemple en révélant des bogues quand les paquets concernés dépendent de celui-ci. Le programme de maintenance des paquets interdit la configuration de paquets cassés ; une méthode usuelle de résolution est la mise à niveau des paquets mentionnés dans le champ B<Breaks>.
=item B<Conflicts:> I<liste-de-paquets>
@@ -180,7 +180,7 @@ C'est une liste de paquets que ce paquet remplace. Il peut ainsi remplacer les f
=back
-La syntaxe des champs B<Breaks>, B<Conflicts> et B<Replaces> est une liste de noms de paquets, séparés par des virgules (et des espaces facultatives). Dans les champs B<Breaks> et B<Conflicts>, la virgule sera lue comme un S<« OU ».> Un type d'architecture optionnel peut être aussi ajouté au nom de paquet avec la même syntaxe que ci-dessus, mais par défaut la valeur est B<any> plutôt que l'architecture du paquet binaire. On peut donner une version optionnelle de la même façon que ci-dessus dans les champs B<Breaks>, B<Conflicts> et B<Replaces>.
+La syntaxe des champs B<Breaks>, B<Conflicts> et B<Replaces> est une liste de noms de paquets, séparés par des virgules (et des espaces facultatives). Dans les champs B<Breaks> et B<Conflicts>, la virgule sera lue comme un « OU ». Un type d'architecture optionnel peut être aussi ajouté au nom de paquet avec la même syntaxe que ci-dessus, mais par défaut la valeur est B<any> plutôt que l'architecture du paquet binaire. On peut donner une version optionnelle de la même façon que ci-dessus dans les champs B<Breaks>, B<Conflicts> et B<Replaces>.
=over
@@ -190,23 +190,23 @@ C'est une liste de paquets que ce paquet améliore. C'est similaire à B<Suggest
=item B<Provides:> I<liste-de-paquets>
-C'est une liste de paquets virtuels que ce paquet procure. On s'en sert habituellement pour des paquets qui offrent le même service. Par exemple, sendmail et exim sont des serveurs de courrier, et donc ils procurent chacun un paquet commun S<(« mail-transport-agent »)> duquel d'autres paquets peuvent dépendre. Sendmail et exim peuvent ainsi servir d'option valable pour satisfaire la dépendance. Cela permet aux paquets qui dépendent d'un serveur de courrier de ne pas avoir à connaître les noms de paquet de tous les serveurs de courrier, en utilisant S<« B<|> »> comme séparateur de liste.
+C'est une liste de paquets virtuels que ce paquet procure. On s'en sert habituellement pour des paquets qui offrent le même service. Par exemple, sendmail et exim sont des serveurs de courrier, et donc ils procurent chacun un paquet commun (« mail-transport-agent ») duquel d'autres paquets peuvent dépendre. Sendmail et exim peuvent ainsi servir d'option valable pour satisfaire la dépendance. Cela permet aux paquets qui dépendent d'un serveur de courrier de ne pas avoir à connaître les noms de paquet de tous les serveurs de courrier, en utilisant « B<|> » comme séparateur de liste.
=back
-La syntaxe du champ B<Provides> est une liste de noms de paquets, séparés par des virgules (et des espaces facultatives). Un type d'architecture facultatif peut également être ajouté au nom de paquet de la même façon que ci-dessus. S'il est omis l'architecture par défaut est celle du paquet binaire actuel. Un numéro de version précis (égal à) optionnel peut être donné de la même façon que ci-dessus (pris en compte depuis S<dpkg 1.17.11).>
+La syntaxe du champ B<Provides> est une liste de noms de paquets, séparés par des virgules (et des espaces facultatives). Un type d'architecture facultatif peut également être ajouté au nom de paquet de la même façon que ci-dessus. S'il est omis l'architecture par défaut est celle du paquet binaire actuel. Un numéro de version précis (égal à) optionnel peut être donné de la même façon que ci-dessus (pris en compte depuis dpkg 1.17.11).
=over
=item B<Built-Using:> I<liste-de-paquets>
-Ce champ de dépendance affiche les paquets source supplémentaires utilisés lors de la construction du paquet binaire, pour des raisons de conformité avec la licence. Il permet d'indiquer au logiciel de gestion de l'archive que des paquets source supplémentaires doivent être conservés tant que le paquet binaire est maintenu. Ce champ doit être une liste de paquets source, séparés par des virgules avec des références strictes de version S<« B<=> »> et mise entre parenthèses. Veuillez noter que le logiciel de gestion de l'archive risque de ne pas accepter un envoi qui déclare une relation B<Built-Using> qui ne peut pas être satisfaite dans l'archive.
+Ce champ de dépendance affiche les paquets source supplémentaires utilisés lors de la construction du paquet binaire, pour des raisons de conformité avec la licence. Il permet d'indiquer au logiciel de gestion de l'archive que des paquets source supplémentaires doivent être conservés tant que le paquet binaire est maintenu. Ce champ doit être une liste de paquets source, séparés par des virgules avec des références strictes de version « B<=> » et mise entre parenthèses. Veuillez noter que le logiciel de gestion de l'archive risque de ne pas accepter un envoi qui déclare une relation B<Built-Using> qui ne peut pas être satisfaite dans l'archive.
=item B<Static-Built-Using:> I<liste-de-paquets>
-Ce champ de dépendance affiche les paquets source supplémentaires utilisés lors de la construction du paquet binaire, aux fins de construction statiques (par exemple, pour la liaison avec des bibliothèques statiques, les constructions pour des langages centrés sur le source tels que Go ou Rust, l'utilisation de bibliothèques C/C++ avec seulement des en-têtes, l'injection d'objets binaires (blob) de données dans le S<code, etc.).> C'est utile pour vérifier si ce paquet devrait être reconstruit lorsque les paquets source listés ont été mis à jour, par exemple à cause d'annonces de sécurité. Ce champ doit être une liste de noms de paquets source, séparés par des virgules avec des références strictes de version S<« B<=> »,> mise entre parenthèses.
+Ce champ de dépendance affiche les paquets source supplémentaires utilisés lors de la construction du paquet binaire, aux fins de construction statiques (par exemple, pour la liaison avec des bibliothèques statiques, les constructions pour des langages centrés sur le source tels que Go ou Rust, l'utilisation de bibliothèques C/C++ avec seulement des en-têtes, l'injection d'objets binaires (blob) de données dans le code, etc.). C'est utile pour vérifier si ce paquet devrait être reconstruit lorsque les paquets source listés ont été mis à jour, par exemple à cause d'annonces de sécurité. Ce champ doit être une liste de noms de paquets source, séparés par des virgules avec des références strictes de version « B<=> », mise entre parenthèses.
-Pris en charge depuis S<dpkg 1.21.3.>
+Pris en charge depuis dpkg 1.21.3.
=item B<Built-For-Profiles:> I<liste-de-profils> (obsolète)
@@ -240,12 +240,12 @@ Le format ou la manière de calculer chaque identifiant de construction n'est pa
Il se peut que le grep de la famille GNU des utilitaires grep soit
le plus rapide de l'ouest ! Le grep de GNU est fondé sur un mécanisme
rapide de mise en correspondance déterministe d'états simples (environ
- deux fois plus rapide que le S<« egrep »> standard d'Unix), modifié par une
+ deux fois plus rapide que le « egrep » standard d'Unix), modifié par une
recherche de type Boyer-Moore-Gosper qui cherche une chaîne donnée en
empêchant que les textes impossibles soient analysés par le mécanisme de
mise en correspondance d'expressions rationnelles et sans avoir
nécessairement besoin de voir chaque caractère. C'est beaucoup plus
- rapide que les S<« grep »> ou S<« egrep »> d'Unix.
+ rapide que les « grep » ou « egrep » d'Unix.
(Des expressions rationnelles contenant des références circulaires
ralentissent cependant le programme.)
diff --git a/man/fr/deb-extra-override.pod b/man/fr/deb-extra-override.pod
index 2e6881d..d89469b 100644
--- a/man/fr/deb-extra-override.pod
+++ b/man/fr/deb-extra-override.pod
@@ -22,9 +22,9 @@ B<override>
=head1 DESCRIPTION
-Bien que la majorité des informations d'un paquet source ou binaire puisse être trouvée dans le fichier control/.dsc, ces informations peuvent être remplacées lors de l'exportation dans des fichiers Packages ou Sources. Le fichier S<d'« override »> supplémentaire contient les valeurs remplacées.
+Bien que la majorité des informations d'un paquet source ou binaire puisse être trouvée dans le fichier control/.dsc, ces informations peuvent être remplacées lors de l'exportation dans des fichiers Packages ou Sources. Le fichier d'« override » supplémentaire contient les valeurs remplacées.
-Les éléments du fichier S<« override »> supplémentaire sont séparés simplement par des espaces. Les commentaires commencent par un caractère S<« B<#> ».>
+Les éléments du fichier « override » supplémentaire sont séparés simplement par des espaces. Les commentaires commencent par un caractère « B<#> ».
=over
@@ -38,7 +38,7 @@ I<nom-de-fichier> est le nom du champ qui est remplacé.
I<valeur> est la valeur à mettre dans ce champ. Elle peut contenir des espaces, car la ligne est découpée en trois colonnes au plus quand elle est analysée.
-Les fichiers de dérogation S<(« override »)> supplémentaires utilisés pour établir les fichiers officiels S<« Packages »> se trouvent dans le répertoire I<indices> des miroirs Debian.
+Les fichiers de dérogation (« override ») supplémentaires utilisés pour établir les fichiers officiels « Packages » se trouvent dans le répertoire I<indices> des miroirs Debian.
=head1 VOIR AUSSI
diff --git a/man/fr/deb-md5sums.pod b/man/fr/deb-md5sums.pod
index 771337f..acedfbe 100644
--- a/man/fr/deb-md5sums.pod
+++ b/man/fr/deb-md5sums.pod
@@ -24,11 +24,11 @@ B<DEBIAN/md5sums>
Un fichier déclare les sommes de contrôle MD5 pour le contenu du fichier du paquet en incluant un fichier I<md5sums> dans son archive de contrôle (c'est-à-dire I<DEBIAN/md5sums> au moment de la création du paquet). Ce fichier est utilisé pour une vérification d'intégrité et afin d'éviter les doublons et non pour un quelconque objectif de sécurité.
-Ce fichier comprend une liste des sommes de contrôle MD5 (sous la forme de S<32 caractères> hexadécimaux insensibles à la casse) suivies par deux espaces (U+0020 B<ESPACE>) et le nom de chemin d'un fichier simple, une par lignes.
+Ce fichier comprend une liste des sommes de contrôle MD5 (sous la forme de 32 caractères hexadécimaux insensibles à la casse) suivies par deux espaces (U+0020 B<ESPACE>) et le nom de chemin d'un fichier simple, une par lignes.
Les barres obliques finales (U+002F B</>) dans les noms de chemin seront supprimés. Ni les espaces en fin de ligne, ni les lignes vides ou composées uniquement d'espaces ne sont acceptées'
-Si le fichier de contrôle n'existe pas dans le paquet binaire, L<dpkg(1)> créera l'information correspondante au moment du dépaquetage (depuis S<B<dpkg> 1.16.3).>
+Si le fichier de contrôle n'existe pas dans le paquet binaire, L<dpkg(1)> créera l'information correspondante au moment du dépaquetage (depuis B<dpkg> 1.16.3).
=head1 EXEMPLE
diff --git a/man/fr/deb-old.pod b/man/fr/deb-old.pod
index 88c2080..e02d402 100644
--- a/man/fr/deb-old.pod
+++ b/man/fr/deb-old.pod
@@ -36,9 +36,9 @@ Chacune de ces lignes se termine par un unique caractère de nouvelle ligne.
La première archive tar contient les informations de contrôle, sous forme d'une série de fichiers ordinaires. Le fichier B<control> doit être présent, puisqu'il contient les informations principales de contrôle.
-Dans certaines archives vraiment anciennes, les fichiers de l'archive de contrôle peuvent se trouver dans un sous-répertoire B<DEBIAN>. Dans ce cas, le sous-répertoire B<DEBIAN> se trouve également dans l'archive de contrôle, qui ne contiendra que des fichiers de ce répertoire. En option, l'archive de contrôle peut contenir une entrée pour S<« B<.> »,> le répertoire courant.
+Dans certaines archives vraiment anciennes, les fichiers de l'archive de contrôle peuvent se trouver dans un sous-répertoire B<DEBIAN>. Dans ce cas, le sous-répertoire B<DEBIAN> se trouve également dans l'archive de contrôle, qui ne contiendra que des fichiers de ce répertoire. En option, l'archive de contrôle peut contenir une entrée pour « B<.> », le répertoire courant.
-La seconde archive compressée avec gzip correspond à l'archive du système de fichiers. Elle contient des chemins relatifs à la racine du système dans lequel se fera l'installation. Les noms de fichiers ne débutent pas par des barres obliques S<(« / »).>
+La seconde archive compressée avec gzip correspond à l'archive du système de fichiers. Elle contient des chemins relatifs à la racine du système dans lequel se fera l'installation. Les noms de fichiers ne débutent pas par des barres obliques (« / »).
=head1 VOIR AUSSI
diff --git a/man/fr/deb-origin.pod b/man/fr/deb-origin.pod
index cbcddaf..2dcc986 100644
--- a/man/fr/deb-origin.pod
+++ b/man/fr/deb-origin.pod
@@ -24,15 +24,15 @@ B<%PKGCONFDIR%/origins/>I<fichier>
Les fichiers de B<%PKGCONFDIR%/origins> peuvent fournir des informations sur les différents distributeurs qui fournissent des paquets Debian.
-Ils contiennent un certain nombre de champs ou de commentaires pour les lignes commençant par un caractère S<« B<#> ».> Chaque champ commence par une étiquette, telle que B<Vendor> ou B<Parent>, suivi du caractère S<« deux-points »> et du contenu du champ. Les champs sont délimités par les étiquettes de champs. En d'autres termes, le contenu d'un champ peut s'étendre sur plusieurs lignes, mais les outils d'installation joindront en général les lignes pendant le traitement du contenu du champ.
+Ils contiennent un certain nombre de champs ou de commentaires pour les lignes commençant par un caractère « B<#> ». Chaque champ commence par une étiquette, telle que B<Vendor> ou B<Parent>, suivi du caractère « deux-points » et du contenu du champ. Les champs sont délimités par les étiquettes de champs. En d'autres termes, le contenu d'un champ peut s'étendre sur plusieurs lignes, mais les outils d'installation joindront en général les lignes pendant le traitement du contenu du champ.
Le fichier sera nommé d'après le nom du distributeur. La convention habituelle est d'appeler le fichier distributeur avec le nom du distributeur tout en minuscules, mais des variantes sont possibles.
-C'est-à-dire (depuis S<dpkg 1.21.10),> les caractères non alphanumériques (‘B<[^A-Za-z0-9]>’) sont d'abord remplacés par des tirets S<(« B<-> »),> puis le nom résultant sera testé successivement en le mettant en minuscules, en le gardant tel qu'il est, en le mettant en minuscules avec une majuscule initiale, puis en le mettant en capitales uniquement.
+C'est-à-dire (depuis dpkg 1.21.10), les caractères non alphanumériques (‘B<[^A-Za-z0-9]>’) sont d'abord remplacés par des tirets (« B<-> »), puis le nom résultant sera testé successivement en le mettant en minuscules, en le gardant tel qu'il est, en le mettant en minuscules avec une majuscule initiale, puis en le mettant en capitales uniquement.
-En plus, pour des raisons historiques et de rétrocompatibilité, le nom sera testé tel qu'il est sans remplacer les caractères non alphanumériques, puis le nom résultant sera testé successivement en le mettant en minuscules, en le gardant tel qu'il est, en le mettant en minuscules avec une majuscule initiale, puis en le mettant en majuscules uniquement. Finalement le nom sera testé en remplaçant les espaces par des tirets S<(« B<-> »),> puis le nom résultant sera testé successivement en le mettant en minuscules, en le gardant tel qu'il est, en le mettant en minuscules puis avec une majusculeinitiale, puis en le mettant en capitales uniquement.
+En plus, pour des raisons historiques et de rétrocompatibilité, le nom sera testé tel qu'il est sans remplacer les caractères non alphanumériques, puis le nom résultant sera testé successivement en le mettant en minuscules, en le gardant tel qu'il est, en le mettant en minuscules avec une majuscule initiale, puis en le mettant en majuscules uniquement. Finalement le nom sera testé en remplaçant les espaces par des tirets (« B<-> »), puis le nom résultant sera testé successivement en le mettant en minuscules, en le gardant tel qu'il est, en le mettant en minuscules puis avec une majusculeinitiale, puis en le mettant en capitales uniquement.
-Cependant ces recherches de module rétrocompatibles seront supprimées durant le cycle de publication de S<dpkg 1.22.x.>
+Cependant ces recherches de module rétrocompatibles seront supprimées durant le cycle de publication de dpkg 1.22.x.
=head1 LES CHAMPS
diff --git a/man/fr/deb-override.pod b/man/fr/deb-override.pod
index 7664ed8..2707ce5 100644
--- a/man/fr/deb-override.pod
+++ b/man/fr/deb-override.pod
@@ -22,9 +22,9 @@ B<override>
=head1 DESCRIPTION
-Bien que l'on puisse trouver dans le fichier S<« control »> la plupart des informations concernant un paquet, certaines doivent être inscrites par les responsables de la distribution plutôt que par le responsable du paquet afin de garantir une cohérence globale. Ces informations se trouvent dans le fichier S<« override ».>
+Bien que l'on puisse trouver dans le fichier « control » la plupart des informations concernant un paquet, certaines doivent être inscrites par les responsables de la distribution plutôt que par le responsable du paquet afin de garantir une cohérence globale. Ces informations se trouvent dans le fichier « override ».
-Les éléments du fichier S<« override »> sont séparés simplement par des espaces. Les commentaires commencent par un caractère S<« B<#> ».>
+Les éléments du fichier « override » sont séparés simplement par des espaces. Les commentaires commencent par un caractère « B<#> ».
=over
@@ -32,13 +32,13 @@ I<paquet> I<priorité> I<section> [I<responsable>]
=back
-I<paquet> est le nom du paquet. Les entrées du fichier S<« override »> concernant des paquets qui ne sont pas dans l'arborescence des paquets binaires sont ignorées.
+I<paquet> est le nom du paquet. Les entrées du fichier « override » concernant des paquets qui ne sont pas dans l'arborescence des paquets binaires sont ignorées.
I<priority> et I<section> correspondent respectivement aux champs de contrôle présents dans le fichier .deb. Les valeurs autorisées sont distinctes pour l'archive de chaque distribution.
L'élément I<responsable>, quand il existe, peut représenter soit le nom du responsable quand il s'agit d'un remplacement sans condition, soit la chaîne I<ancien-responsable> B<=E<gt>> I<nouveau-responsable> pour un changement de responsable.
-On peut trouver les fichiers S<« override »,> dont on se sert pour établir les fichiers officiels S<« Packages »,> dans le répertoire I<indices> des miroirs Debian.
+On peut trouver les fichiers « override », dont on se sert pour établir les fichiers officiels « Packages », dans le répertoire I<indices> des miroirs Debian.
=head1 VOIR AUSSI
diff --git a/man/fr/deb-postinst.pod b/man/fr/deb-postinst.pod
index 94faa7b..dddb07a 100644
--- a/man/fr/deb-postinst.pod
+++ b/man/fr/deb-postinst.pod
@@ -24,7 +24,7 @@ B<DEBIAN/postinst>
Un paquet peut réaliser plusieurs actions post-installation à l'aide de scripts du responsable, en incluant un fichier I<postinst> exécutable dans son archive de contrôle (c'est-à-dire I<DEBIAN/postinst> au moment de la création du paquet).
-Le script peut être appelé de diverses S<manières :>
+Le script peut être appelé de diverses manières :
=over
diff --git a/man/fr/deb-postrm.pod b/man/fr/deb-postrm.pod
index 42be155..ec3bd00 100644
--- a/man/fr/deb-postrm.pod
+++ b/man/fr/deb-postrm.pod
@@ -24,7 +24,7 @@ B<DEBIAN/postrm>
Un paquet peut réaliser plusieurs actions post-retrait à l'aide de scripts du responsable, en incluant un fichier I<postrm> exécutable dans son archive de contrôle (c'est-à-dire I<DEBIAN/postrm> au moment de la création du paquet).
-Le script peut être appelé de diverses S<manières :>
+Le script peut être appelé de diverses manières :
=over
@@ -44,7 +44,7 @@ Après la mise à niveau du paquet.
Si l'appel B<upgrade> ci-dessus échoue.
-La I<nouvelle_version> est passée depuis S<dpkg 1.18.5.>
+La I<nouvelle_version> est passée depuis dpkg 1.18.5.
=item I<postrm> B<disappear> I<paquet-de-remplacement> I<version-de-remplacement>
@@ -58,13 +58,13 @@ Si I<preinst> échoue lors de B<install>.
Si I<preinst> échoue lors de B<install> pour la mise à niveau d'un paquet supprimé.
-La I<nouvelle_version> est passée depuis S<dpkg 1.18.5.>
+La I<nouvelle_version> est passée depuis dpkg 1.18.5.
=item I<nouveau-postrm> B<abort-upgrade> I<ancienne-version> I<nouvelle-version>
Si I<preinst> échoue lors d'un B<upgrade>.
-La I<nouvelle_version> est passée depuis S<dpkg 1.18.5.>
+La I<nouvelle_version> est passée depuis dpkg 1.18.5.
=back
diff --git a/man/fr/deb-preinst.pod b/man/fr/deb-preinst.pod
index d44b7ea..5303f33 100644
--- a/man/fr/deb-preinst.pod
+++ b/man/fr/deb-preinst.pod
@@ -24,7 +24,7 @@ B<DEBIAN/preinst>
Un paquet peut réaliser plusieurs actions pré-installation à l'aide de scripts du responsable, en incluant un fichier I<preinst> exécutable dans son archive de contrôle (c'est-à-dire I<DEBIAN/preinst> au moment de la création du paquet).
-Le script peut être appelé de diverses S<manières :>
+Le script peut être appelé de diverses manières :
=over
@@ -36,13 +36,13 @@ Avant que le paquet ne soit installé.
Avant qu'un paquet supprimé ne soit mis à niveau.
-La I<nouvelle_version> est passée depuis S<dpkg 1.18.5.>
+La I<nouvelle_version> est passée depuis dpkg 1.18.5.
=item I<nouveau-preinst> B<upgrade> I<ancienne-version> I<nouvelle-version>
Avant qu'un paquet ne soit mis à niveau.
-La I<nouvelle_version> est passée depuis S<dpkg 1.18.5.>
+La I<nouvelle_version> est passée depuis dpkg 1.18.5.
=item I<ancien-preinst> B<abort-upgrade> I<nouvelle-version>
diff --git a/man/fr/deb-prerm.pod b/man/fr/deb-prerm.pod
index 28ffdda..e87fa5f 100644
--- a/man/fr/deb-prerm.pod
+++ b/man/fr/deb-prerm.pod
@@ -24,7 +24,7 @@ B<DEBIAN/prerm>
Un paquet peut réaliser plusieurs actions de pré-retrait à l'aide de scripts du responsable, en incluant un fichier I<prerm> exécutable dans son archive de contrôle (c'est-à-dire I<DEBIAN/prerm> au moment de la création du paquet).
-Le script peut être appelé de diverses S<manières :>
+Le script peut être appelé de diverses manières :
=over
@@ -40,7 +40,7 @@ Avant une mise à niveau.
Si le B<upgrade> ci-dessus échoue.
-La I<nouvelle_version> est passée depuis S<dpkg 1.18.5.>
+La I<nouvelle_version> est passée depuis dpkg 1.18.5.
=item I<prerm> B<deconfigure> B<in-favour> I<nouveau-paquet> I<nouvelle-version>
diff --git a/man/fr/deb-shlibs.pod b/man/fr/deb-shlibs.pod
index 502f0f6..aee6852 100644
--- a/man/fr/deb-shlibs.pod
+++ b/man/fr/deb-shlibs.pod
@@ -22,7 +22,7 @@ B<debian/shlibs>, B<debian/>I<binary-name>B<.shlibs>, B<DEBIAN/shlibs>
=head1 DESCRIPTION
-Les fichiers B<shlibs> associent les noms et versions (I<SONAMEs>) des bibliothèques partagées aux dépendances correspondantes dans les fichiers de contrôle des paquets. Il y a une entrée par ligne et les lignes vides ne sont B<pas> autorisées. Les lignes commençant par le caractère S<« B<(#)> »> sont considérées comme étant des commentaires et sont ignorées. Toutes les autres lignes doivent être au S<format :>
+Les fichiers B<shlibs> associent les noms et versions (I<SONAMEs>) des bibliothèques partagées aux dépendances correspondantes dans les fichiers de contrôle des paquets. Il y a une entrée par ligne et les lignes vides ne sont B<pas> autorisées. Les lignes commençant par le caractère « B<(#)> » sont considérées comme étant des commentaires et sont ignorées. Toutes les autres lignes doivent être au format :
=over
@@ -36,7 +36,7 @@ The I<dependencies> field has the same syntax as the B<Depends> field in a binar
=head1 FORMATS DE SONAME
-Les formats de SONAME actuellement pris en charge S<sont :>
+Les formats de SONAME actuellement pris en charge sont :
=over
@@ -66,7 +66,7 @@ Le fichier B<shlibs> pour un paquet de bibliothèque nommé I<libcrunch1>, qui f
=back
-Les I<dépendances> doivent indiquer la version la plus récente du paquet qui ajoute de nouveaux symboles à la S<bibliothèque :> dans l'exemple précédent, de nouveaux symboles ont été ajoutés avec la version 1.2 de I<libcrunch>. Ce n'est pas la seule raison pour laquelle les dépendances doivent être suivies avec soin.
+Les I<dépendances> doivent indiquer la version la plus récente du paquet qui ajoute de nouveaux symboles à la bibliothèque : dans l'exemple précédent, de nouveaux symboles ont été ajoutés avec la version 1.2 de I<libcrunch>. Ce n'est pas la seule raison pour laquelle les dépendances doivent être suivies avec soin.
=head1 VOIR AUSSI
diff --git a/man/fr/deb-split.pod b/man/fr/deb-split.pod
index 7c2f792..4602ec1 100644
--- a/man/fr/deb-split.pod
+++ b/man/fr/deb-split.pod
@@ -26,9 +26,9 @@ Le format B<.deb> en plusieurs parties (multi-part) permet de découper de gros
=head1 FORMAT
-Le fichier est une archive B<ar> avec un numéro magique de B<!E<lt>archE<gt>.>. Les noms de fichiers peuvent comporter un caractère S<« / »> final (depuis S<dpkg 1.15.6).>
+Le fichier est une archive B<ar> avec un numéro magique de B<!E<lt>archE<gt>.>. Les noms de fichiers peuvent comporter un caractère « / » final (depuis dpkg 1.15.6).
-Le premier membre est appelé B<debian-split> et contient un ensemble de lignes, séparées par des retours à la ligne. Actuellement, huit lignes sont S<présentes :>
+Le premier membre est appelé B<debian-split> et contient un ensemble de lignes, séparées par des retours à la ligne. Actuellement, huit lignes sont présentes :
=over
@@ -62,7 +62,7 @@ Numéro du membre courant, suivi d'une barre oblique (/) et du nombre total de m
=item *
-Architecture du paquet (depuis S<dpkg 1.16.1)>
+Architecture du paquet (depuis dpkg 1.16.1)
=back
diff --git a/man/fr/deb-src-control.pod b/man/fr/deb-src-control.pod
index 2ef9142..9e21def 100644
--- a/man/fr/deb-src-control.pod
+++ b/man/fr/deb-src-control.pod
@@ -36,7 +36,7 @@ La valeur de ce champ est le nom du paquet source et doit correspondre au nom du
=item B<Maintainer:> I<nom-complet-et-adresse-électronique> (recommandé)
-Le format de ce champ sera S<« Jean> Dupont S<E<lt>jdupont@foo.comE<gt> »> ; il indique le responsable actuel du paquet, par opposition à l'auteur du logiciel ou au responsable originel.
+Le format de ce champ sera « Jean Dupont E<lt>jdupont@foo.comE<gt> » ; il indique le responsable actuel du paquet, par opposition à l'auteur du logiciel ou au responsable originel.
=item B<Uploaders:> I<nom-complet-et-adresse-électronique>
@@ -50,7 +50,7 @@ Ce champ indique la version la plus récente des normes de la charte de la distr
=item S< >I<description-longue>
-Le format de la description du paquet est un résumé bref sur la première ligne (après le champ B<Description>). Les lignes suivantes peuvent servir à une description plus longue et plus détaillée. Chaque ligne de cette description longue doit être précédée d'une espace ; quand c'est une ligne blanche, elle doit contenir un seul S<« B<.> »> après cette espace.
+Le format de la description du paquet est un résumé bref sur la première ligne (après le champ B<Description>). Les lignes suivantes peuvent servir à une description plus longue et plus détaillée. Chaque ligne de cette description longue doit être précédée d'une espace ; quand c'est une ligne blanche, elle doit contenir un seul « B<.> » après cette espace.
=item B<Homepage:> I<URL>
@@ -60,6 +60,12 @@ URL de la page d'accueil du projet amont.
L'I<URL> du système de suivi de bogues (BTS) de ce paquet. Le format utilisé est I<type_de_bts>B<://>I<adresse_du_btsE>, par exemple B<debbugs://bugs.debian.org>. Ce champ est en général inutile.
+=item B<Build-Driver:> I<driver-name>
+
+This experimental field specifies the name of the build driver to use to build this package. When omitted the I<driver-name> defaults to B<debian-rules>.
+
+This field is supported since dpkg 1.22.7.
+
=item B<Rules-Requires-Root:> B<no>|B<binary-targets>|I<mots-clés-implémentation>
Ce champ est utilisé pour indiquer si le fichier B<debian/rules> exige des droits (fake)root pour exécuter certaines de ses cibles et quand, si c'est le cas.
@@ -78,11 +84,11 @@ The binary targets must always be run under (fake)root. This value is the defau
Il s'agit d'une liste, séparée par des espaces, de mots-clés qui définissent quand (fake)root est exigé.
-Les mots-clés sont composés de I<espace-de-nommage>/I<cas>. La partie I<espace-de-nommage> ne peut pas inclure de S<« / »> ou d'espace. La partie I<cas> ne peut pas inclure d'espace. Par ailleurs, les deux parties doivent être entièrement composées de caractères ASCII imprimables.
+Les mots-clés sont composés de I<espace-de-nommage>/I<cas>. La partie I<espace-de-nommage> ne peut pas inclure de « / » ou d'espace. La partie I<cas> ne peut pas inclure d'espace. Par ailleurs, les deux parties doivent être entièrement composées de caractères ASCII imprimables.
-Chaque outil ou paquet définira un espace de nommage nommé d'après lui-même et fournira le nombre des cas où (fake)root est exigé. (Voir S<« Mots-clés> fournis par S<l'implémentation »> dans I<rootless-builds.txt>).
+Chaque outil ou paquet définira un espace de nommage nommé d'après lui-même et fournira le nombre des cas où (fake)root est exigé. (Voir « Mots-clés fournis par l'implémentation » dans I<rootless-builds.txt>).
-Quand le champ est défini pour un des I<mots-clés-implémentation>, le constructeur exposera une interface qui est utilisée pour exécuter une commande avec les droits (fake)root. (Voir S<« API> pour obtenir les droits S<root »> dans I<rootless-builds.txt>).
+Quand le champ est défini pour un des I<mots-clés-implémentation>, le constructeur exposera une interface qui est utilisée pour exécuter une commande avec les droits (fake)root. (Voir « API pour obtenir les droits root » dans I<rootless-builds.txt>).
=back
@@ -108,7 +114,7 @@ These fields are described in the L<dsc(5)> manual page, as they are generated f
=item B<Vcs-Svn:> I<URL>
-Ce champ indique l'I<URL> du système de gestion de version utilisé pour la gestion du paquet. Les systèmes gérés sont B<Arch>, B<Bzr> (Bazaar), B<Cvs>, B<Darcs>, B<Git>, B<Hg> (Mercurial), B<Mtn> (Monotone) et B<Svn> (Subversion). En général, ce champ fait référence à la dernière version du paquet, c'est-à-dire la branche principale ou le S<« trunk ».>
+Ce champ indique l'I<URL> du système de gestion de version utilisé pour la gestion du paquet. Les systèmes gérés sont B<Arch>, B<Bzr> (Bazaar), B<Cvs>, B<Darcs>, B<Git>, B<Hg> (Mercurial), B<Mtn> (Monotone) et B<Svn> (Subversion). En général, ce champ fait référence à la dernière version du paquet, c'est-à-dire la branche principale ou le « trunk ».
=item B<Vcs-Browser:> I<URL>
@@ -142,7 +148,7 @@ Liste analogue à B<Build-Depends>, mais restreinte aux paquets nécessaires pou
=item B<Build-Conflicts:> I<liste de paquets>
-Liste de paquets qui ne doivent pas être installés lors de la construction du paquet, par exemple s'ils interfèrent avec le système de construction utilisé. Si une dépendance est ajoutée à cette liste, l'effet sera le même que si elle était ajoutée à la fois dans B<Build-Conflicts-Arch> et B<Build-Conflicts-Indep>, en ayant de plus l'effet d'être prise en compte pour les constructions de paquets uniquement source S<(« source-only> S<builds »).>
+Liste de paquets qui ne doivent pas être installés lors de la construction du paquet, par exemple s'ils interfèrent avec le système de construction utilisé. Si une dépendance est ajoutée à cette liste, l'effet sera le même que si elle était ajoutée à la fois dans B<Build-Conflicts-Arch> et B<Build-Conflicts-Indep>, en ayant de plus l'effet d'être prise en compte pour les constructions de paquets uniquement source (« source-only builds »).
=item B<Build-Conflicts-Arch:> I<liste-de-paquets>
@@ -158,13 +164,13 @@ The syntax of the B<Build-Depends>, B<Build-Depends-Arch> and B<Build-Depends-In
The syntax of the B<Build-Conflicts>, B<Build-Conflicts-Arch> and B<Build-Conflicts-Indep> fields is a list of comma-separated package names, where the comma is read as an “AND”, and where the list can end with a trailing comma that will be eliminated when generating the fields for L<deb-control(5)> (since dpkg 1.10.14). Specifying alternative packages using a “pipe” is not supported. Each package name is optionally followed by a version number specification in parentheses, an architecture specification in square brackets, and a restriction formula consisting of one or more lists of profile names in angle brackets.
-Un nom de type d'architecture peut être un nom d'architecture réelle de Debian (depuis S<dpkg 1.16.5),> B<any> (depuis S<dpkg 1.16.2)> ou B<native> (depuis S<dpkg 1.16.5).> S'il est omis, la valeur par défaut des champs B<Build-Depends> est l'architecture de l'hôte actuel, la valeur par défaut des champs B<Build-Conflicts> est B<any>. Un nom d'architecture réelle de Debian correspondra exactement à l'architecture pour ce nom de paquet, B<any> correspondra à toute architecture pour ce nom de paquet si le paquet a été marqué B<Multi-Arch: allowed>, et B<native> correspondra à l'architecture de construction actuelle si le paquet n'a pas été marqué B<Multi-Arch: foreign>.
+Un nom de type d'architecture peut être un nom d'architecture réelle de Debian (depuis dpkg 1.16.5), B<any> (depuis dpkg 1.16.2) ou B<native> (depuis dpkg 1.16.5). S'il est omis, la valeur par défaut des champs B<Build-Depends> est l'architecture de l'hôte actuel, la valeur par défaut des champs B<Build-Conflicts> est B<any>. Un nom d'architecture réelle de Debian correspondra exactement à l'architecture pour ce nom de paquet, B<any> correspondra à toute architecture pour ce nom de paquet si le paquet a été marqué B<Multi-Arch: allowed>, et B<native> correspondra à l'architecture de construction actuelle si le paquet n'a pas été marqué B<Multi-Arch: foreign>.
-Une contrainte sur le numéro de version peut commencer par S<« B<E<gt>E<gt>> »,> et dans ce cas toute version supérieure correspondra, et il peut indiquer (ou pas) le numéro de révision pour le paquet Debian (les deux numéros étant séparés par un trait d'union). Voici les relations acceptées pour les S<versions :> S<« B<E<gt>E<gt>> »> pour supérieur à, S<« B<E<lt>E<lt>> »> pour inférieur à, S<« B<E<gt>=> »> pour supérieur ou égal, S<« B<E<lt>=> »> pour inférieur ou égal, et S<« B<=> »> pour égal à.
+Une contrainte sur le numéro de version peut commencer par « B<E<gt>E<gt>> », et dans ce cas toute version supérieure correspondra, et il peut indiquer (ou pas) le numéro de révision pour le paquet Debian (les deux numéros étant séparés par un trait d'union). Voici les relations acceptées pour les versions : « B<E<gt>E<gt>> » pour supérieur à, « B<E<lt>E<lt>> » pour inférieur à, « B<E<gt>=> » pour supérieur ou égal, « B<E<lt>=> » pour inférieur ou égal, et « B<=> » pour égal à.
-Une indication d'architecture consiste en un ou plusieurs noms d'architectures, séparés par des espaces. Un nom d'architecture peut être précédé d'un point d'exclamation qui correspond alors au S<« NON »> logique.
+Une indication d'architecture consiste en un ou plusieurs noms d'architectures, séparés par des espaces. Un nom d'architecture peut être précédé d'un point d'exclamation qui correspond alors au « NON » logique.
-Une formule de restriction consiste en une ou plusieurs listes de restriction séparées par des espaces. Chaque liste de restriction est incluse entre chevrons. Les éléments des listes de restriction sont des noms de profils de construction séparés par des espaces et pouvant être préfixés d'un point d'exclamation représentant un S<« NON »> logique. Une formule de restriction représente une forme normale disjonctive.
+Une formule de restriction consiste en une ou plusieurs listes de restriction séparées par des espaces. Chaque liste de restriction est incluse entre chevrons. Les éléments des listes de restriction sont des noms de profils de construction séparés par des espaces et pouvant être préfixés d'un point d'exclamation représentant un « NON » logique. Une formule de restriction représente une forme normale disjonctive.
Veuillez noter que les dépendances des paquets du jeu B<build-essential> peuvent être omises et qu'il n'est pas possible de déclarer des conflits avec ces paquets. La liste des paquets concernés est fournie par le paquet build-essential.
@@ -244,7 +250,7 @@ Ces champs sont utilisés par l'installateur dans les B<udeb> et ne sont en gén
=head1 LES CHAMPS UTILISATEUR
-Il est autorisé d'ajouter au fichier de contrôle des champs supplémentaires définis par l'utilisateur. L'outil ignorera ces champs. Si vous souhaitez que ces champs soient copiés dans ces fichiers de sortie, tels que les paquets binaires, vous devez utiliser un schéma de nommage S<personnalisé :> les champs démarreront par un B<X>, suivi de zéro ou plusieurs des lettres B<SBC> et un trait d'union.
+Il est autorisé d'ajouter au fichier de contrôle des champs supplémentaires définis par l'utilisateur. L'outil ignorera ces champs. Si vous souhaitez que ces champs soient copiés dans ces fichiers de sortie, tels que les paquets binaires, vous devez utiliser un schéma de nommage personnalisé : les champs démarreront par un B<X>, suivi de zéro ou plusieurs des lettres B<SBC> et un trait d'union.
=over
@@ -264,7 +270,7 @@ The field will appear in the upload control (.changes) file, see L<deb-changes(5
Veuillez noter que les préfixes B<X>[B<SBC>]B<-> sont retirés quand les champs sont copiés dans les fichiers de sortie. Un champ B<XC-Approved-By> apparaîtra sous la forme B<Approved-By> dans le fichier des modifications et n'apparaîtra pas dans les fichiers de contrôle des paquets binaires ou source.
-Il faut prendre en compte le fait que ces champs définis par l'utilisateur se serviront de l'espace de nommage global, lequel pourrait, dans le futur, entrer en conflit avec des champs officiellement reconnus. Pour éviter de telles situations, il est conseillé de les préfixer avec B<Private-> S<(exemple :> B<XB-Private-New-Field>).
+Il faut prendre en compte le fait que ces champs définis par l'utilisateur se serviront de l'espace de nommage global, lequel pourrait, dans le futur, entrer en conflit avec des champs officiellement reconnus. Pour éviter de telles situations, il est conseillé de les préfixer avec B<Private-> (exemple : B<XB-Private-New-Field>).
=head1 EXEMPLE
diff --git a/man/fr/deb-src-rules.pod b/man/fr/deb-src-rules.pod
index 57b5c16..ad440e2 100644
--- a/man/fr/deb-src-rules.pod
+++ b/man/fr/deb-src-rules.pod
@@ -24,9 +24,9 @@ B<debian/rules>
Ce fichier fournit les instructions nécessaires à la construction des paquets binaires à partir de paquets sources.
-Le fichier I<debian/rules> est un Makefile exécutable avec un S<« shebang »> qui est habituellement positionné sur S<« #!/usr/bin/make> S<-f ».>
+Le fichier I<debian/rules> est un Makefile exécutable avec un « shebang » qui est habituellement positionné sur « #!/usr/bin/make -f ».
-Il doit prendre en charge les cibles S<« make »> S<suivantes :>
+Il doit prendre en charge les cibles « make » suivantes :
=over
diff --git a/man/fr/deb-src-symbols.pod b/man/fr/deb-src-symbols.pod
index d61ea6f..cb766be 100644
--- a/man/fr/deb-src-symbols.pod
+++ b/man/fr/deb-src-symbols.pod
@@ -42,7 +42,7 @@ L'indication de l'étiquette vient juste avant le nom du symbole (sans espace).
espaces"@Base 1.0 (optional) symbole_non_protégé@Base 1.0 1
symbole_non_étiqueté@Base 1.0
-Le premier symbole de cet exemple est appelé I<symbole comportant des espaces> et utilise deux S<étiquettes :> I<étiq1> avec la valeur I<je suis marqué> et I<étiquette avec espace> sans valeur. Le deuxième symbole, appelé I<symbole_non_protégé> ne comporte que l'étiquette I<optional>. Le dernier symbole est un exemple de symbole normal sans étiquette.
+Le premier symbole de cet exemple est appelé I<symbole comportant des espaces> et utilise deux étiquettes : I<étiq1> avec la valeur I<je suis marqué> et I<étiquette avec espace> sans valeur. Le deuxième symbole, appelé I<symbole_non_protégé> ne comporte que l'étiquette I<optional>. Le dernier symbole est un exemple de symbole normal sans étiquette.
Since symbol tags are an extension of the L<deb-symbols(5)> format, they can only be part of the symbols files used in source packages (those files should then be seen as templates used to build the symbols files that are embedded in binary packages). When B<dpkg-gensymbols> is called without the B<-t> option, it will output symbols files compatible to the L<deb-symbols(5)> format: it fully processes symbols according to the requirements of their standard tags and strips all tags from the output. On the contrary, in template mode (B<-t>) all symbols and their tags (both standard and unknown ones) are kept in the output and are written in their original form as they were loaded.
@@ -62,9 +62,9 @@ Cette étiquette est utile pour les symboles qui sont privés, car leur disparit
=item B<arch-endian=>I<boutisme-d'architecture>
-Ces étiquettes permettent de restreindre la liste des architectures avec lesquelles le symbole est censé exister. Les étiquettes B<arch-bits> et B<arch-endian> sont prises en charge depuis S<dpkg 1.18.0.> Lorsque la liste des symboles est mise à jour avec ceux découverts dans la bibliothèque, tous les symboles spécifiques d'architectures qui ne concernent pas l'architecture en cours sont ignorés. Si un symbole propre à l'architecture en cours n'existe pas dans la bibliothèque, les processus normaux pour des symboles manquants s'appliquent jusqu'à éventuellement provoquer l'échec de B<dpkg-gensymbols>. D'un autre côté, si le symbole propre à une architecture est trouvé alors qu'il n'est pas censé exister (parce que l'architecture courante n'est pas mentionnée dans l'étiquette ou ne correspond pas au boutisme et aux octets), il est rendu indépendant de l'architecture (c'est-à-dire que les étiquettes d'architecture, d'octets de l'architecture et de boutisme d'architecture sont abandonnées et le symbole apparaît dans le fichier de différences) mais non considéré comme nouveau. S<(NdT :> une aspirine peut être nécessaire après la lecture de ce paragraphe)
+Ces étiquettes permettent de restreindre la liste des architectures avec lesquelles le symbole est censé exister. Les étiquettes B<arch-bits> et B<arch-endian> sont prises en charge depuis dpkg 1.18.0. Lorsque la liste des symboles est mise à jour avec ceux découverts dans la bibliothèque, tous les symboles spécifiques d'architectures qui ne concernent pas l'architecture en cours sont ignorés. Si un symbole propre à l'architecture en cours n'existe pas dans la bibliothèque, les processus normaux pour des symboles manquants s'appliquent jusqu'à éventuellement provoquer l'échec de B<dpkg-gensymbols>. D'un autre côté, si le symbole propre à une architecture est trouvé alors qu'il n'est pas censé exister (parce que l'architecture courante n'est pas mentionnée dans l'étiquette ou ne correspond pas au boutisme et aux octets), il est rendu indépendant de l'architecture (c'est-à-dire que les étiquettes d'architecture, d'octets de l'architecture et de boutisme d'architecture sont abandonnées et le symbole apparaît dans le fichier de différences) mais non considéré comme nouveau. (NdT : une aspirine peut être nécessaire après la lecture de ce paragraphe)
-Dans le mode de fonctionnement par défaut (pas en mode S<« modèle »),> seuls les symboles spécifiques de certaines architectures qui correspondent à l'architecture courante sont écrits dans le fichier de symboles. Au contraire, tous les symboles spécifiques d'architectures (y compris ceux des architectures différentes) seront écrits dans le fichier de symboles, dans le mode S<« modèle ».>
+Dans le mode de fonctionnement par défaut (pas en mode « modèle »), seuls les symboles spécifiques de certaines architectures qui correspondent à l'architecture courante sont écrits dans le fichier de symboles. Au contraire, tous les symboles spécifiques d'architectures (y compris ceux des architectures différentes) seront écrits dans le fichier de symboles, dans le mode « modèle ».
Le format de I<liste-d'architectures> est le même que le format utilisé dans les champs B<Build-Depends> des fichiers I<debian/control> (à l'exception des crochets d'inclusion []). Par exemple, le premier symbole de la liste qui suit sera pris en compte sur les architectures alpha, n'importe quelle amd64 et ia64, le second uniquement sur les architectures linux et le troisième partout sauf sur armel.
@@ -88,11 +88,11 @@ Plusieurs restrictions peuvent être chaînées.
=item B<allow-internal>
-B<dpkg-gensymbols> comporte une liste de symboles internes qui ne devraient pas apparaître dans les fichiers de symboles, car ils sont en général uniquement des effets de bord de détails de mise en œuvre de la chaîne d'outils de construction (depuis S<dpkg 1.20.1).> Si, pour une raison précise, vous voulez vraiment inclure un de ces symboles dans le fichier, vous pouvez imposer qu'il soit ignoré, avec B<allow-internal>. Cela peut être utile pour certaines bibliothèques de bas niveau telles que B<libgcc>.
+B<dpkg-gensymbols> comporte une liste de symboles internes qui ne devraient pas apparaître dans les fichiers de symboles, car ils sont en général uniquement des effets de bord de détails de mise en œuvre de la chaîne d'outils de construction (depuis dpkg 1.20.1). Si, pour une raison précise, vous voulez vraiment inclure un de ces symboles dans le fichier, vous pouvez imposer qu'il soit ignoré, avec B<allow-internal>. Cela peut être utile pour certaines bibliothèques de bas niveau telles que B<libgcc>.
=item B<ignore-blacklist>
-Un alias obsolète pour B<allow-internal> (depuis S<dpkg 1.20.1,> pris en charge depuis S<dpkg 1.15.3).>
+Un alias obsolète pour B<allow-internal> (depuis dpkg 1.20.1, pris en charge depuis dpkg 1.15.3).
=item B<c++>
@@ -116,7 +116,7 @@ A pattern is considered lost if it does not match any symbol in the library. By
Patterns are an extension of the L<deb-symbols(5)> format hence they are only valid in symbol file templates. Pattern specification syntax is not any different from the one of a specific symbol. However, symbol name part of the specification serves as an expression to be matched against I<name@version> of the real symbol. In order to distinguish among different pattern types, a pattern will typically be tagged with a special tag.
-Actuellement, B<dpkg-gensymbols> gère trois types de base de S<motifs :>
+Actuellement, B<dpkg-gensymbols> gère trois types de base de motifs :
=over
@@ -129,15 +129,15 @@ This pattern is denoted by the I<c++> tag. It matches only C++ symbols by their
(c++)"non-virtual thunk to NSB::ClassD::~ClassD()@Base" 1.0
[...]
-Le nom non décoré ci-dessus peut être obtenu avec la commande S<suivante :>
+Le nom non décoré ci-dessus peut être obtenu avec la commande suivante :
$ echo '_ZThn8_N3NSB6ClassDD1Ev@Base' | c++filt
-Veuillez noter que, bien que le nom décoré soit unique dans la bibliothèque par définition, cela n'est pas forcément vrai pour le nom non décoré. Deux symboles réels différents peuvent avoir le même nom non décoré. C'est par exemple le cas avec les symboles S<« thunk »> non virtuels dans des configurations d'héritage complexes ou avec la plupart des constructeurs et destructeurs (puisque g++ crée usuellement deux symboles réels pour eux). Cependant, comme ces collisions se produisent au niveau de l'interface applicative binaire (ABI), elles ne devraient pas dégrader la qualité du fichier de symboles.
+Veuillez noter que, bien que le nom décoré soit unique dans la bibliothèque par définition, cela n'est pas forcément vrai pour le nom non décoré. Deux symboles réels différents peuvent avoir le même nom non décoré. C'est par exemple le cas avec les symboles « thunk » non virtuels dans des configurations d'héritage complexes ou avec la plupart des constructeurs et destructeurs (puisque g++ crée usuellement deux symboles réels pour eux). Cependant, comme ces collisions se produisent au niveau de l'interface applicative binaire (ABI), elles ne devraient pas dégrader la qualité du fichier de symboles.
=item B<symver>
-Ce motif est indiqué par l'étiquette I<symver>. Les bibliothèques bien gérées utilisent des symboles versionnés où chaque version correspond à la version amont à laquelle le symbole a été ajouté. Si c'est le cas, il est possible d'utiliser un motif I<symver> pour faire correspondre chaque symbole associé à la version spécifique. Par S<exemple :>
+Ce motif est indiqué par l'étiquette I<symver>. Les bibliothèques bien gérées utilisent des symboles versionnés où chaque version correspond à la version amont à laquelle le symbole a été ajouté. Si c'est le cas, il est possible d'utiliser un motif I<symver> pour faire correspondre chaque symbole associé à la version spécifique. Par exemple :
libc.so.6 libc6 #MINVER#
(symver)GLIBC_2.0 2.0
@@ -145,50 +145,50 @@ Ce motif est indiqué par l'étiquette I<symver>. Les bibliothèques bien géré
(symver)GLIBC_2.7 2.7
access@GLIBC_2.0 2.2
-Tous les symboles associés avec les versions GLIBC_2.0 et GLIBC_2.7 conduiront respectivement à des versions minimales de 2.0 et 2.7, à l'exception du symbole access@GLIBC_2.0. Ce dernier amène à une dépendance minimale sur la S<version 2.2> de libc6 bien qu'il soit dans le scope de S<« (symvar)GLIBC_2.0 ».> Cela est dû au fait que les symboles spécifiques prennent le pas sur les motifs.
+Tous les symboles associés avec les versions GLIBC_2.0 et GLIBC_2.7 conduiront respectivement à des versions minimales de 2.0 et 2.7, à l'exception du symbole access@GLIBC_2.0. Ce dernier amène à une dépendance minimale sur la version 2.2 de libc6 bien qu'il soit dans le scope de « (symvar)GLIBC_2.0 ». Cela est dû au fait que les symboles spécifiques prennent le pas sur les motifs.
Please note that while old style wildcard patterns (denoted by "*@version" in the symbol name field) are still supported, they have been deprecated by new style syntax "(symver|optional)version". For example, "*@GLIBC_2.0 2.0" should be written as "(symver|optional)GLIBC_2.0 2.0" if the same behavior is needed.
=item B<regex>
-Les motifs d'expressions rationnelles sont indiqués par l'étiquette I<expression-rationnelle>. La correspondance se fait avec une expression rationnelle Perl sur le champ de nom de symbole. La correspondance est faite telle quelle et il ne faut donc pas oublier le caractère I<^>, sinon la correspondance est faite sur n'importe quelle partie du symbole réel I<name@version>. Par S<exemple :>
+Les motifs d'expressions rationnelles sont indiqués par l'étiquette I<expression-rationnelle>. La correspondance se fait avec une expression rationnelle Perl sur le champ de nom de symbole. La correspondance est faite telle quelle et il ne faut donc pas oublier le caractère I<^>, sinon la correspondance est faite sur n'importe quelle partie du symbole réel I<name@version>. Par exemple :
libdummy.so.1 libdummy1 #MINVER#
(regex)"^mystack_.*@Base$" 1.0
(regex|optional)"private" 1.0
-Les symboles tels que S<« mystack_new@Base »,> S<« mystack_push@Base »,> S<« mystack_pop@Base »,> etc., seront en correspondance avec le premier motif alors que S<« ng_mystack_new@Base »> ne le sera pas. Le deuxième motif correspondra pour tous les symboles qui comportent la chaîne S<« private »> dans leur nom et les correspondances hériteront de l'étiquette I<optional> depuis le motif.
+Les symboles tels que « mystack_new@Base », « mystack_push@Base », « mystack_pop@Base », etc., seront en correspondance avec le premier motif alors que « ng_mystack_new@Base » ne le sera pas. Le deuxième motif correspondra pour tous les symboles qui comportent la chaîne « private » dans leur nom et les correspondances hériteront de l'étiquette I<optional> depuis le motif.
=back
-Les motifs de base indiqués précédemment peuvent être combinés au besoin. Dans ce cas, ils sont traités dans l'ordre où les étiquettes sont indiquées. Par exemple, les deux S<motifs :>
+Les motifs de base indiqués précédemment peuvent être combinés au besoin. Dans ce cas, ils sont traités dans l'ordre où les étiquettes sont indiquées. Par exemple, les deux motifs :
(c++|regex)"^NSA::ClassA::Private::privmethod\d\(int\)@Base" 1.0
(regex|c++)N3NSA6ClassA7Private11privmethod\dEi@Base 1.0
-seront en correspondance avec les symboles S<« _ZN3NSA6ClassA7Private11privmethod1Ei@Base" »> et S<« _ZN3NSA6ClassA7Private11privmethod2Ei@Base ».> Lors de la correspondance avec le premier motif, le symbole brut est d'abord rétabli d’origine en tant que symbole C++, puis comparé à l'expression rationnelle. D'un autre côté, lors de la correspondance avec le deuxième motif, l'expression rationnelle est comparée au nom de symbole brut, puis le symbole est testé en tant que symbole C++ en tentant de le rétablir d’origine. L'échec de n'importe quel motif basique provoquera l'échec de l'ensemble du motif. Ainsi, par exemple, S<« __N3NSA6ClassA7Private11privmethod\dEi@Base »> ne correspondra à aucun des motifs, car ce n'est pas un symbole C++ valable S<(NdT :> j'ai l'impression de traduire du Klingon !).
+seront en correspondance avec les symboles « _ZN3NSA6ClassA7Private11privmethod1Ei@Base" » et « _ZN3NSA6ClassA7Private11privmethod2Ei@Base ». Lors de la correspondance avec le premier motif, le symbole brut est d'abord rétabli d’origine en tant que symbole C++, puis comparé à l'expression rationnelle. D'un autre côté, lors de la correspondance avec le deuxième motif, l'expression rationnelle est comparée au nom de symbole brut, puis le symbole est testé en tant que symbole C++ en tentant de le rétablir d’origine. L'échec de n'importe quel motif basique provoquera l'échec de l'ensemble du motif. Ainsi, par exemple, « __N3NSA6ClassA7Private11privmethod\dEi@Base » ne correspondra à aucun des motifs, car ce n'est pas un symbole C++ valable (NdT : j'ai l'impression de traduire du Klingon !).
-En général, les motifs sont divisés en deux S<groupes :> les alias (I<c++> et I<symver> basique) et les motifs génériques (I<expression-rationnelle> et toutes les combinaisons de motifs basiques multiples). La correspondance de motifs basés sur des alias est rapide (O(1)) alors que les motifs génériques sont O(N) (N étant le nombre de motifs génériques) pour chaque symbole. En conséquence, il est déconseillé d'abuser des motifs génériques.
+En général, les motifs sont divisés en deux groupes : les alias (I<c++> et I<symver> basique) et les motifs génériques (I<expression-rationnelle> et toutes les combinaisons de motifs basiques multiples). La correspondance de motifs basés sur des alias est rapide (O(1)) alors que les motifs génériques sont O(N) (N étant le nombre de motifs génériques) pour chaque symbole. En conséquence, il est déconseillé d'abuser des motifs génériques.
Lorsque plusieurs motifs correspondent pour le même symbole réel, les alias (d'abord I<c++>, puis I<symver>) sont privilégiés par rapport aux motifs génériques. Ceux-ci sont essayés dans l'ordre où ils apparaissent dans le modèle de fichier de symboles, en s'arrêtant à la première correspondance. Veuillez noter, cependant, que la modification manuelle de l'ordre des entrées de fichiers n'est pas recommandée, car B<dpkg-gensymbols> crée des fichiers de différences d'après l'ordre alphanumérique de leur nom.
=head2 Utilisation des inclusions
-Lorsqu'un jeu de symboles exportés varie selon les architectures, il est souvent peu efficace d'utiliser un seul fichier de symboles. Pour couvrir ces cas, une directive d'inclusion peut devenir utile dans certains S<cas :>
+Lorsqu'un jeu de symboles exportés varie selon les architectures, il est souvent peu efficace d'utiliser un seul fichier de symboles. Pour couvrir ces cas, une directive d'inclusion peut devenir utile dans certains cas :
=over
=item *
-Il est possible de factoriser la partie commune dans un fichier externe donné et l'inclure dans le fichier I<paquet>.symbols.I<arch> avec une directive S<« include »> utilisée de la manière S<suivante :>
+Il est possible de factoriser la partie commune dans un fichier externe donné et l'inclure dans le fichier I<paquet>.symbols.I<arch> avec une directive « include » utilisée de la manière suivante :
#include "I<paquets>.symbols.common"
=item *
-La directive d'inclusion peut également être étiquetée comme tout autre S<symbole :>
+La directive d'inclusion peut également être étiquetée comme tout autre symbole :
(étiquette|...|étiquetteN)#include "fichier_à_inclure"
-Le résultat sera que tous les symboles inclus depuis I<fichier_à_inclure> seront considérés comme étiquetés par défaut avec I<etiq> ... I<etiqN>. Cela permet de créer un fichier I<paquet>.symbols commun qui inclut les fichiers de symboles spécifiques des S<architectures :>
+Le résultat sera que tous les symboles inclus depuis I<fichier_à_inclure> seront considérés comme étiquetés par défaut avec I<etiq> ... I<etiqN>. Cela permet de créer un fichier I<paquet>.symbols commun qui inclut les fichiers de symboles spécifiques des architectures :
common_symbol1@Base 1.0
(arch=amd64 ia64 alpha)#include "package.symbols.64-bit"
@@ -199,7 +199,7 @@ Le résultat sera que tous les symboles inclus depuis I<fichier_à_inclure> sero
Les fichiers de symboles sont lus ligne par ligne et les directives d'inclusion sont traitées dès qu'elles sont trouvées. En conséquence, le contenu du fichier d'inclusion peut remplacer une définition qui précède l'inclusion et ce qui suit l'inclusion peut remplacer une définition qu'elle ajoutait. Tout symbole (ou même une autre directive d'inclusion) dans le fichier inclus peut définir des étiquettes supplémentaires ou remplacer les valeurs d'étiquettes héritées, dans sa définition d'étiquettes. Cependant, pour un symbole donné, il n'existe pas de méthode permettant de remplacer une de ses étiquettes héritées.
-Un fichier inclus peut reprendre la ligne d'en-tête qui contient le S<« SONAME »> de la bibliothèque. Dans ce cas, cela remplace toute ligne d'en-tête précédente. Il est cependant déconseillé de dupliquer les lignes d'en-tête. Une façon de le faire est la méthode S<suivante :>
+Un fichier inclus peut reprendre la ligne d'en-tête qui contient le « SONAME » de la bibliothèque. Dans ce cas, cela remplace toute ligne d'en-tête précédente. Il est cependant déconseillé de dupliquer les lignes d'en-tête. Une façon de le faire est la méthode suivante :
#include "libmachin1.symbols.common"
symboles_specifique_architecture@Base 1.0
diff --git a/man/fr/deb-substvars.pod b/man/fr/deb-substvars.pod
index bb0e96d..bd6c85d 100644
--- a/man/fr/deb-substvars.pod
+++ b/man/fr/deb-substvars.pod
@@ -26,11 +26,11 @@ Avant que B<dpkg-source>, B<dpkg-gencontrol> et B<dpkg-genchanges> n'écrivent l
=head2 Syntaxe des variables
-Une substitution de variable est de la S<forme :> B<${>I<nom-variable>B<}>. Les noms de variable consistent en caractères alphanumériques (a-zA-Z0-9), traits d'union (-) et S<« deux> S<points »> (:) ; ils commencent par une lettre ou un chiffre et sont sensibles à la casse même si ils se réfèrent à d'autres entités qui préservent la casse. La substitution se fait répétitivement jusqu'à ce qu'il n'en reste aucune à faire ; le texte entier du champ après la substitution est réexaminé pour chercher d'autres substitutions.
+Une substitution de variable est de la forme : B<${>I<nom-variable>B<}>. Les noms de variable consistent en caractères alphanumériques (a-zA-Z0-9), traits d'union (-) et « deux points » (:) ; ils commencent par une lettre ou un chiffre et sont sensibles à la casse même si ils se réfèrent à d'autres entités qui préservent la casse. La substitution se fait répétitivement jusqu'à ce qu'il n'en reste aucune à faire ; le texte entier du champ après la substitution est réexaminé pour chercher d'autres substitutions.
=head2 Syntaxe des fichiers
-Les variables de substitution peuvent être spécifiées dans un fichier. Ces fichiers consistent en lignes de forme I<nom>B<=>I<valeur> ou I<nom>B<?=>I<valeur>. L'opérateur B<=> assigne une variable de substitution normale, alors que l'opérateur B<?=> (depuis S<dpkg 1.21.8)> assigne une variable de substitution optionnelle qui n'émettra pas d'avertissement même si elle n'est pas utilisée. Les espaces vides à la fin de chaque ligne, les lignes vides et les lignes commençant par le symbole B<#> (les commentaires) sont ignorés.
+Substitution variables can be specified in a file. These files consist of lines of the form I<name>B<=>I<value>, I<name>B<?=>I<value>, or I<name>B<!=>I<value>. The B<=> operator assigns a normal substitution variable, the B<?=> operator (since dpkg 1.21.8) assigns an optional substitution variable which will emit no warnings even if unused, and the B<!=> operator (since dpkg 1.22.7) assigns a required substitution variable which will error out if unused. Trailing whitespace on each line, blank lines, and lines starting with a B<#> symbol (comments) are ignored.
=head2 Substitution
@@ -42,14 +42,14 @@ Quand une variable est référencée mais n'est pas définie, cela produit un av
Alors que le remplacement de variables est effectué sur tous les champs de contrôle, certains de ces champs sont utilisés et nécessaires pendant la construction alors même que la substitution n'a pas encore pu être effectuée. Cela explique pourquoi il n'est pas possible d'utiliser de variables dans les champs B<Package>, B<Source> et B<Architecture>.
-La substitution de variables se fait dans le contenu des champs après leur analyse. En conséquence, si vous souhaitez qu'une variable soit remplacée sur plusieurs lignes, il n'est pas nécessaire de placer une espace après le retour à la ligne. Cela se fait implicitement quand le champ est affiché. Par exemple, si la variable B<${Description}> est positionnée sur S<« toto> est truc.${Newline}toto est S<super. »> et si vous avez le champ S<suivant :>
+La substitution de variables se fait dans le contenu des champs après leur analyse. En conséquence, si vous souhaitez qu'une variable soit remplacée sur plusieurs lignes, il n'est pas nécessaire de placer une espace après le retour à la ligne. Cela se fait implicitement quand le champ est affiché. Par exemple, si la variable B<${Description}> est positionnée sur « toto est truc.${Newline}toto est super. » et si vous avez le champ suivant :
Description: application toto
${Description}
.
Encore du texte.
-Le résultat final S<sera :>
+Le résultat final sera :
Description: application toto
toto est truc.
@@ -59,7 +59,7 @@ Le résultat final S<sera :>
=head2 Variables internes
-En outre, les variables standard suivantes sont toujours S<disponibles :>
+En outre, les variables standard suivantes sont toujours disponibles :
=over
@@ -73,19 +73,19 @@ The current vendor name (since dpkg 1.20.0). This value comes from the B<Vendor
=item B<vendor:Id>
-L'identifiant du fabricant actuel (depuis S<dpkg 1.20.0).> C'est simplement la variante en bas de casse de B<vendor:Name>.
+L'identifiant du fabricant actuel (depuis dpkg 1.20.0). C'est simplement la variante en bas de casse de B<vendor:Name>.
=item B<source:Version>
-Version du paquet source (depuis S<dpkg 1.13.19).>
+Version du paquet source (depuis dpkg 1.13.19).
=item B<source:Upstream-Version>
-La version amont du paquet source, avec éventuellement S<l'« epoch »> de la version Debian (depuis S<dpkg 1.13.19).>
+La version amont du paquet source, avec éventuellement l'« epoch » de la version Debian (depuis dpkg 1.13.19).
=item B<binary:Version>
-La version du paquet binaire (qui peut être différente de B<source:Version> dans un binNMU par exemple ; depuis S<dpkg 1.13.19).>
+La version du paquet binaire (qui peut être différente de B<source:Version> dans un binNMU par exemple ; depuis dpkg 1.13.19).
=item B<Source-Version>
@@ -93,21 +93,21 @@ La version du paquet source, selon le fichier changelog. Cette variable est main
=item B<source:Synopsis>
-Le synopsis du paquet source, extrait du champ B<Description> du paragraphe source, s'il existe (depuis S<dpkg 1.19.0).>
+Le synopsis du paquet source, extrait du champ B<Description> du paragraphe source, s'il existe (depuis dpkg 1.19.0).
=item B<source:Extended-Description>
-La description étendue du paquet source, extraite du champ B<Description> du paragraphe source, s'il existe (depuis S<dpkg 1.19.0).>
+La description étendue du paquet source, extraite du champ B<Description> du paragraphe source, s'il existe (depuis dpkg 1.19.0).
=item B<Installed-Size>
-La taille approximative de tous les fichiers installés du paquet. Cette valeur est copiée dans le champ adéquat du fichier S<« control »> ; quand on fixe cette variable, cela modifie la valeur de ce champ. Quand elle est indéterminée, B<dpkg-gencontrol> calcule la valeur par défaut en additionnant la taille de chaque fichier ordinaire et lien symbolique arrondie en unité d'un kio utilisée et sur la base d'un kio pour n'importe quel type d'objet du système de fichiers, les liens physiques étant comptés une seule fois comme des fichiers ordinaires.
+La taille approximative de tous les fichiers installés du paquet. Cette valeur est copiée dans le champ adéquat du fichier « control » ; quand on fixe cette variable, cela modifie la valeur de ce champ. Quand elle est indéterminée, B<dpkg-gencontrol> calcule la valeur par défaut en additionnant la taille de chaque fichier ordinaire et lien symbolique arrondie en unité d'un kio utilisée et sur la base d'un kio pour n'importe quel type d'objet du système de fichiers, les liens physiques étant comptés une seule fois comme des fichiers ordinaires.
B<Note>: Take into account that this can only ever be an approximation, as the actual size used on the installed system will depend greatly on the filesystem used and its parameters, which might end up using either more or less space than the specified in this field.
=item B<Extra-Size>
-L'espace disque supplémentaire utilisé pour l'installation du paquet. Quand on fixe cette variable, on ajoute sa valeur à la valeur de la variable B<Installed-Size> (qu'elle soit définie explicitement ou calculée par défaut) avant qu'elle soit copiée dans le champ B<Installed-Size> du fichier S<« control ».>
+L'espace disque supplémentaire utilisé pour l'installation du paquet. Quand on fixe cette variable, on ajoute sa valeur à la valeur de la variable B<Installed-Size> (qu'elle soit définie explicitement ou calculée par défaut) avant qu'elle soit copiée dans le champ B<Installed-Size> du fichier « control ».
=item B<S:>I<field-name>
@@ -131,11 +131,11 @@ Les variables déterminées de cette façon sont produites par B<dpkg-shlibdeps>
=item B<dpkg:Upstream-Version>
-La version amont de dpkg (depuis S<dpkg 1.13.19).>
+La version amont de dpkg (depuis dpkg 1.13.19).
=item B<dpkg:Version>
-La version complète de dpkg (depuis S<dpkg 1.13.19).>
+La version complète de dpkg (depuis dpkg 1.13.19).
=back
diff --git a/man/fr/deb-symbols.pod b/man/fr/deb-symbols.pod
index c55f38f..02e9eac 100644
--- a/man/fr/deb-symbols.pod
+++ b/man/fr/deb-symbols.pod
@@ -24,7 +24,7 @@ B<DEBIAN/symbols>
The symbol files are shipped in Debian binary packages, and its format is a subset of the template symbol files used by L<dpkg-gensymbols(1)> in Debian source packages, see L<deb-src-symbols(5)>.
-Le format pour une entrée d'information sur les dépendances étendues avec bibliothèques partagées dans ces fichiers est le S<suivant :>
+Le format pour une entrée d'information sur les dépendances étendues avec bibliothèques partagées dans ces fichiers est le suivant :
Z<>
I<soname-de-bibliothèque> I<modèle-principal-de-dépendance>
@@ -36,27 +36,27 @@ Z<>
The I<library-soname> is exactly the value of the SONAME field as exported by L<objdump(1)>. A I<dependency-template> is a dependency where I<#MINVER#> is dynamically replaced either by a version check like “(E<gt>= I<minimal-version>)” or by nothing (if an unversioned dependency is deemed sufficient).
-Chaque I<symbole> exporté (noté I<nom>@I<version>, avec I<version> réglé à S<« Base »> si la bibliothèque n'a pas de version) est associé à une I<version-minimale> dans son modèle de dépendance (le modèle principal de dépendance est toujours utilisé et se termine combiné avec le modèle de dépendance référencé par l'I<id-du-modèle-de-dépendance> si présent). La première alternative au modèle de dépendance est S<numérotée 1,> la S<seconde 2,> etc. Les colonnes sont séparées par exactement un seul espace.
+Chaque I<symbole> exporté (noté I<nom>@I<version>, avec I<version> réglé à « Base » si la bibliothèque n'a pas de version) est associé à une I<version-minimale> dans son modèle de dépendance (le modèle principal de dépendance est toujours utilisé et se termine combiné avec le modèle de dépendance référencé par l'I<id-du-modèle-de-dépendance> si présent). La première alternative au modèle de dépendance est numérotée 1, la seconde 2, etc. Les colonnes sont séparées par exactement un seul espace.
-Chaque entrée pour une bibliothèque peut aussi avoir des champs de méta-information. Ces champs sont enregistrés dans des lignes qui débutent par un astérisque S<(« * »).> Actuellement, le seul champ valable S<est :>
+Chaque entrée pour une bibliothèque peut aussi avoir des champs de méta-information. Ces champs sont enregistrés dans des lignes qui débutent par un astérisque (« * »). Actuellement, le seul champ valable est :
=over
=item B<Build-Depends-Package>
-Il indique le nom du paquet S<« -dev »> associé à la bibliothèque et est utilisé par B<dpkg-shlibdeps> pour s'assurer que la dépendance produite est au moins aussi stricte que la dépendance de construction correspondante (depuis S<dpkg 1.14.13).>
+Il indique le nom du paquet « -dev » associé à la bibliothèque et est utilisé par B<dpkg-shlibdeps> pour s'assurer que la dépendance produite est au moins aussi stricte que la dépendance de construction correspondante (depuis dpkg 1.14.13).
=item B<Build-Depends-Packages>
-C'est identique à B<Build-Depends-Package>, mais accepte une liste de noms de paquets séparés par des virgules (depuis S<dpkg 1.20.0).> Ce champ remplacera tout champ B<Build-Depends-Package> présent et est surtout utile avec les paquets S<« -dev »> et les métapaquets qui en dépendent, pour une période de transition.
+C'est identique à B<Build-Depends-Package>, mais accepte une liste de noms de paquets séparés par des virgules (depuis dpkg 1.20.0). Ce champ remplacera tout champ B<Build-Depends-Package> présent et est surtout utile avec les paquets « -dev » et les métapaquets qui en dépendent, pour une période de transition.
=item B<Allow-Internal-Symbol-Groups>
-Il indique que les groupes de symboles internes seront ignorés, sous forme de liste séparée par des espaces, afin que les symboles contenus dans ces groupes soient inclus dans le fichier de sortie (depuis S<dpkg 1.20.1).> Cela sera seulement nécessaire pour les paquets de chaîne d'outils qui fournissent ces symboles internes. Les groupes disponibles dépendent des systèmes et, pour les systèmes basés sur ELF et GNU, ce sont B<aeabi> et B<gomp>.
+Il indique que les groupes de symboles internes seront ignorés, sous forme de liste séparée par des espaces, afin que les symboles contenus dans ces groupes soient inclus dans le fichier de sortie (depuis dpkg 1.20.1). Cela sera seulement nécessaire pour les paquets de chaîne d'outils qui fournissent ces symboles internes. Les groupes disponibles dépendent des systèmes et, pour les systèmes basés sur ELF et GNU, ce sont B<aeabi> et B<gomp>.
=item B<Ignore-Blacklist-Groups>
-Un alias obsolète pour B<Allow-Internal-Symbol-Groups> (depuis S<dpkg 1.20.1,> gérés depuis S<dpkg 1.17.6).>
+Un alias obsolète pour B<Allow-Internal-Symbol-Groups> (depuis dpkg 1.20.1, gérés depuis dpkg 1.17.6).
=back
diff --git a/man/fr/deb-triggers.pod b/man/fr/deb-triggers.pod
index 392c2a9..f324b94 100644
--- a/man/fr/deb-triggers.pod
+++ b/man/fr/deb-triggers.pod
@@ -24,9 +24,9 @@ B<debian/triggers>, B<debian/>I<paquet-binaire>B<.triggers>, B<DEBIAN/triggers>
Un paquet déclare ses relations avec des actions différées en incluant un fichier I<triggers> dans son archive de contrôle (c'est-à-dire I<DEBIAN/triggers> au moment de la création du paquet).
-Ce fichier contient des directives, une par ligne. Les espaces de début et fin de ligne et tout ce qui suit le premier caractère S<« B<#> »> sont supprimés, et les lignes vides seront ignorées.
+Ce fichier contient des directives, une par ligne. Les espaces de début et fin de ligne et tout ce qui suit le premier caractère « B<#> » sont supprimés, et les lignes vides seront ignorées.
-Les directives actuellement gérées S<sont :>
+Les directives actuellement gérées sont :
=over
@@ -38,7 +38,7 @@ Les directives actuellement gérées S<sont :>
Indique que le paquet est concerné par l'action différée indiquée. Toutes les actions différées associées au paquet doivent être listées en utilisant cette directive depuis le fichier de contrôle des actions différées.
-Les variantes S<« await »> placent le paquet qui provoque l'action différée dans l'état S<« triggers-awaited »> (actions différées attendues) selon la manière dont l'action différée est activée. La variante S<« noawait »> ne place pas les paquets qui provoquent cette action différée dans l'état S<« triggers-awaited »> même si le paquet déclenchant a déclaré une activation S<« await »> (par soit une directive B<activate-await> ou B<activate>, soit en utilisant l'option en ligne de commande B<dpkg-trigger> B<--no-await>. La variante S<« await »> ne devrait être utilisée que lorsque la fonctionnalité fournie par l'action différée n'est pas critique.
+Les variantes « await » placent le paquet qui provoque l'action différée dans l'état « triggers-awaited » (actions différées attendues) selon la manière dont l'action différée est activée. La variante « noawait » ne place pas les paquets qui provoquent cette action différée dans l'état « triggers-awaited » même si le paquet déclenchant a déclaré une activation « await » (par soit une directive B<activate-await> ou B<activate>, soit en utilisant l'option en ligne de commande B<dpkg-trigger> B<--no-await>. La variante « await » ne devrait être utilisée que lorsque la fonctionnalité fournie par l'action différée n'est pas critique.
=item B<activate> I<nom-action-différée>
@@ -46,9 +46,9 @@ Les variantes S<« await »> placent le paquet qui provoque l'action différée
=item B<activate-noawait> I<nom-action-différée>
-Cette directive permet que tout changement dans l'état de ce paquet active l'action différée spécifiée. L'action différée sera activée au début des opérations S<suivantes :> dépaquetage, configuration, suppression (y compris en cas de remplacement par un paquet conflictuel), purge et déconfiguration.
+Cette directive permet que tout changement dans l'état de ce paquet active l'action différée spécifiée. L'action différée sera activée au début des opérations suivantes : dépaquetage, configuration, suppression (y compris en cas de remplacement par un paquet conflictuel), purge et déconfiguration.
-Les variantes S<« await »> ne placent le paquet qui provoque cette action différée dans l'état S<« triggers-awaited »> que si la directive concernée est aussi S<« await ».> La variante S<« noawait »> ne place jamais les paquets qui provoquent cette action différée dans l'état S<« triggers-awaited ».> Elle ne devrait être utilisée que lorsque la fonctionnalité fournie par l'action différée n'est pas critique.
+Les variantes « await » ne placent le paquet qui provoque cette action différée dans l'état « triggers-awaited » que si la directive concernée est aussi « await ». La variante « noawait » ne place jamais les paquets qui provoquent cette action différée dans l'état « triggers-awaited ». Elle ne devrait être utilisée que lorsque la fonctionnalité fournie par l'action différée n'est pas critique.
Si ce paquet disparaît durant le dépaquetage d'un autre paquet, l'action différée sera activée lorsque la disparition est constatée vers la fin du dépaquetage. L'exécution d'une action différée, et donc le passage du statut triggers-awaited (action-différée-attendue) à installed (installé), ne provoquera pas l'activation. Dans le cas d'un dépaquetage, les actions différées listées dans l'ancienne et la nouvelle version du paquet seront activées.
@@ -56,13 +56,13 @@ Si ce paquet disparaît durant le dépaquetage d'un autre paquet, l'action diff
Les directives inconnues sont des erreurs qui empêcheront l'installation du paquet.
-Les variantes S<« -noawait »> doivent toujours être privilégiées quand c'est possible dans la mesure où les paquets provoquant une action différée ne sont pas placés en état S<« triggers-awaited »> (actions différées attendues), et peuvent donc être immédiatement configurés sans recourir à l'exécution de l'action différée. Si les paquets provoquant l'action différée sont des dépendances d'autres paquets mis à jour, cela évitera le lancement de l'action différée et rendra possible l'exécution de l'action différée une seule fois au cours des étapes finales de la mise à jour.
+Les variantes « -noawait » doivent toujours être privilégiées quand c'est possible dans la mesure où les paquets provoquant une action différée ne sont pas placés en état « triggers-awaited » (actions différées attendues), et peuvent donc être immédiatement configurés sans recourir à l'exécution de l'action différée. Si les paquets provoquant l'action différée sont des dépendances d'autres paquets mis à jour, cela évitera le lancement de l'action différée et rendra possible l'exécution de l'action différée une seule fois au cours des étapes finales de la mise à jour.
-Les variantes S<« -noawait »> ne sont gérées qu'à partir de dpkg 1.16.1 et provoqueront des erreurs avec les versions plus anciennes.
+Les variantes « -noawait » ne sont gérées qu'à partir de dpkg 1.16.1 et provoqueront des erreurs avec les versions plus anciennes.
-Les alias de variantes S<« -await »> ne sont gérés qu'à partir de dpkg 1.17.21 et provoqueront des erreurs avec les versions plus anciennes.
+Les alias de variantes « -await » ne sont gérés qu'à partir de dpkg 1.17.21 et provoqueront des erreurs avec les versions plus anciennes.
-Si un paquet fournit une directive B<interest-noawait>, toute activation mettra le paquet provoquant l'action différée en mode S<« noawait »,> indépendamment du mode d'attente demandé par l'activation (soit S<« await »,> soit S<« noawait »).> Si un paquet fournit une directive B<interest> ou B<interest-await>, toute activation mettra le paquet provoquant l'action différée en mode S<« await »> ou S<« noawait »> selon la manière dont il a été activé.
+Si un paquet fournit une directive B<interest-noawait>, toute activation mettra le paquet provoquant l'action différée en mode « noawait », indépendamment du mode d'attente demandé par l'activation (soit « await », soit « noawait »). Si un paquet fournit une directive B<interest> ou B<interest-await>, toute activation mettra le paquet provoquant l'action différée en mode « await » ou « noawait » selon la manière dont il a été activé.
=head1 VOIR AUSSI
diff --git a/man/fr/deb-version.pod b/man/fr/deb-version.pod
index ded9180..4ee5507 100644
--- a/man/fr/deb-version.pod
+++ b/man/fr/deb-version.pod
@@ -22,7 +22,7 @@ deb-version - Format du numéro de version des paquets Debian
=head1 DESCRIPTION
-Les numéros de version utilisés pour les paquets sources et binaires se composent de trois parties. Celles-ci S<sont :>
+Les numéros de version utilisés pour les paquets sources et binaires se composent de trois parties. Celles-ci sont :
=over
@@ -34,19 +34,19 @@ Cette valeur est destinée à permettre de gérer des erreurs dans les anciens n
=item I<version_amont>
-La partie principale du numéro de version. Cela correspond normalement au numéro de version du paquet d'origine S<(« upstream »)> qui a servi à créer le fichier I<.deb>, si cela peut s'appliquer. Le format d'origine spécifié par l'auteur est généralement conservé ; cependant, il arrive qu'il soit nécessaire d'adapter ce numéro pour qu'il se conforme au format du système de gestion de paquet et du procédé de comparaison des numéros de version.
+La partie principale du numéro de version. Cela correspond normalement au numéro de version du paquet d'origine (« upstream ») qui a servi à créer le fichier I<.deb>, si cela peut s'appliquer. Le format d'origine spécifié par l'auteur est généralement conservé ; cependant, il arrive qu'il soit nécessaire d'adapter ce numéro pour qu'il se conforme au format du système de gestion de paquet et du procédé de comparaison des numéros de version.
Le principe de comparaison du système de gestion de paquets en ce qui concerne la I<version_amont> est décrit ci-dessous. La partie I<version_amont> du numéro de version est obligatoire.
-La I<version_amont> ne doit contenir que des caractères alphanumériques S<(« A-Za-z0-9 »)> et les caractères B<.> B<+> B<-> B<:> B<~> (point, plus, tiret, deux-points, tilde) et devrait commencer par un chiffre. S'il n'y a pas de partie I<révision_Debian> alors le tiret n'est pas autorisé ; s'il n'y a pas d'I<epoch>, alors c'est le caractère deux-points qui n'est pas autorisé.
+La I<version_amont> ne doit contenir que des caractères alphanumériques (« A-Za-z0-9 ») et les caractères B<.> B<+> B<-> B<:> B<~> (point, plus, tiret, deux-points, tilde) et devrait commencer par un chiffre. S'il n'y a pas de partie I<révision_Debian> alors le tiret n'est pas autorisé ; s'il n'y a pas d'I<epoch>, alors c'est le caractère deux-points qui n'est pas autorisé.
=item I<révision_Debian>
Cette partie du numéro de version indique la version du paquet Debian à partir du numéro de la version amont. Elle ne doit contenir que des symboles alphanumériques et les caractères B<+> B<.> B<~> (plus, point, tilde). Elle est analysée de la même façon que la I<version_amont>.
-Cette partie est facultative ; si elle n'est pas présente, la I<version_amont> ne doit pas contenir de tiret. Ce format est prévu pour le cas où un logiciel a été directement conçu comme paquet Debian, il n'y a donc qu'une seule S<« debianisation »> et donc par la suite pas besoin d'indication de révision.
+Cette partie est facultative ; si elle n'est pas présente, la I<version_amont> ne doit pas contenir de tiret. Ce format est prévu pour le cas où un logiciel a été directement conçu comme paquet Debian, il n'y a donc qu'une seule « debianisation » et donc par la suite pas besoin d'indication de révision.
-Il est convenu de repartir à S<« 1 »> pour la I<révision_Debian> à chaque fois que la I<version_amont> est incrémentée.
+Il est convenu de repartir à « 1 » pour la I<révision_Debian> à chaque fois que la I<version_amont> est incrémentée.
Dpkg s'arrêtera au dernier tiret du numéro de version (s'il y en a un) pour déterminer la partie I<version_amont> et la I<révision_Debian>. L'absence de I<révision_Debian> est comparée avant sa présence, mais il faut noter que la I<révision_Debian> est la partie la moins significative du numéro de version.
@@ -54,21 +54,21 @@ Dpkg s'arrêtera au dernier tiret du numéro de version (s'il y en a un) pour d
=head2 Algorithme de tri
-Les parties I<version_amont> et I<révision_Debian> sont comparées par le système de gestion de paquet en utilisant le même S<algorithme :>
+Les parties I<version_amont> et I<révision_Debian> sont comparées par le système de gestion de paquet en utilisant le même algorithme :
Les chaînes sont comparées de la gauche vers la droite.
-Pour commencer, la première partie de chaque chaîne composée uniquement de caractères non numériques est déterminée. Puis ces deux parties (l'une peut être vide) sont comparées lexicalement. Si une différence est trouvée, elle est renvoyée. La comparaison lexicale est effectuée sur une version modifiée des valeurs ASCII afin que les lettres passent avant les autres caractères et que les tildes ("~") passent avant tous les caractères, même la fin d'une partie. Par exemple, les éléments suivants sont ordonnés S<ainsi :> S<« ~~ »,> S<« ~~a »,> S<« ~ »,> partie vide, S<« a ».>
+Pour commencer, la première partie de chaque chaîne composée uniquement de caractères non numériques est déterminée. Puis ces deux parties (l'une peut être vide) sont comparées lexicalement. Si une différence est trouvée, elle est renvoyée. La comparaison lexicale est effectuée sur une version modifiée des valeurs ASCII afin que les lettres passent avant les autres caractères et que les tildes ("~") passent avant tous les caractères, même la fin d'une partie. Par exemple, les éléments suivants sont ordonnés ainsi : « ~~ », « ~~a », « ~ », partie vide, « a ».
Puis, le début de ce qui reste des chaînes de caractères qui ne doivent plus contenir que des chiffres est déterminé. Ces valeurs numériques sont comparées et les différences sont remontées. Dans le cas d'une chaîne vide (ce qui peut arriver si une chaîne est plus longue que l'autre lors de la comparaison) elle compte pour un zéro.
Ces deux étapes (comparaison et suppression des caractères non numériques puis de suppression des caractères numériques dans le début de la chaîne) sont répétées jusqu'à ce qu'une différence soit trouvée ou la fin des chaînes atteinte.
-Notez que le rôle de epoch est de permettre de se sortir des problèmes de numérotation de version, et de faire face à des situations de changement de logique de numérotation. Cela n'est B<pas> destiné à faire face à des numéros de version qui contiennent des chaînes de lettres que le système de gestion de paquet ne sait pas interpréter (comme S<« ALPHA »,> S<« pre- »)> ou d'autres choses stupides.
+Notez que le rôle de epoch est de permettre de se sortir des problèmes de numérotation de version, et de faire face à des situations de changement de logique de numérotation. Cela n'est B<pas> destiné à faire face à des numéros de version qui contiennent des chaînes de lettres que le système de gestion de paquet ne sait pas interpréter (comme « ALPHA », « pre- ») ou d'autres choses stupides.
=head1 NOTES
-Le caractère tilde S<(« ~ »)> et sa propriété spéciale pour les comparaisons ont été introduites dans la version 1.10 de dpkg. Ce n'est qu'à partir des versions supérieures (1.10.x) que certaines parties des scripts de construction de dpkg ont commencé à gérer ce système.
+Le caractère tilde (« ~ ») et sa propriété spéciale pour les comparaisons ont été introduites dans la version 1.10 de dpkg. Ce n'est qu'à partir des versions supérieures (1.10.x) que certaines parties des scripts de construction de dpkg ont commencé à gérer ce système.
=head1 VOIR AUSSI
diff --git a/man/fr/deb.pod b/man/fr/deb.pod
index 45ce598..e5ddd95 100644
--- a/man/fr/deb.pod
+++ b/man/fr/deb.pod
@@ -22,25 +22,25 @@ I<nom-du-fichier>B<.deb>
=head1 DESCRIPTION
-Le format B<.deb> est le format des paquets binaires de Debian. Il est compatible depuis la S<version 0.93.76> de dpkg, et il est généré par défaut depuis les S<versions 1.2.0> de dpkg et 1.1.1elf (constructions i386/ELF).
+Le format B<.deb> est le format des paquets binaires de Debian. Il est compatible depuis la version 0.93.76 de dpkg, et il est généré par défaut depuis les versions 1.2.0 de dpkg et 1.1.1elf (constructions i386/ELF).
The format described here is used since Debian 0.93; details of the old format are described in L<deb-old(5)>.
=head1 FORMAT
-Ce fichier est une archive B<ar> avec une valeur magique de B<!E<lt>archE<gt>>. Seul le format commun B<ar> est géré, sans extension pour les noms longs de fichiers, mais avec optionnellement un caractère S<« / »> final, ce qui limite leur longueur utile à 15 caractères (sur les 16 autorisés). Les tailles de fichiers sont limitées à 10 chiffres décimaux ASCII, ce qui permet d'utiliser des fichiers membres d'une taille jusqu'à environ S<9536,74 Mio.>
+Ce fichier est une archive B<ar> avec une valeur magique de B<!E<lt>archE<gt>>. Seul le format commun B<ar> est géré, sans extension pour les noms longs de fichiers, mais avec optionnellement un caractère « / » final, ce qui limite leur longueur utile à 15 caractères (sur les 16 autorisés). Les tailles de fichiers sont limitées à 10 chiffres décimaux ASCII, ce qui permet d'utiliser des fichiers membres d'une taille jusqu'à environ 9536,74 Mio.
-Les archives B<tar> actuellement gérées sont le S<format v7> d'origine, le format ustar pré-POSIX, un sous-ensemble du format GNU (uniquement le nouveau format de noms longs pour les chemins et les liens, gérés depuis S<dpkg 1.4.1.17> ; S<« large> file S<metadata »> depuis S<dpkg 1.18.24)> et le format ustar POSIX (noms longs gérés depuis S<dpkg 1.15.0).> Les marqueurs tar S<(« typeflags »)> inconnus provoquent une erreur. La taille de chaque entrée dans une archive tar est limitée à 11 chiffres en octal ASCII ce qui permet d'utiliser des entrées tar d'une taille jusqu'à S<8 Gio.> La gestion des S<« large> file S<metadata »> de GNU permet des entrées tar S<95 bits> et des horodatages négatifs, ainsi que des numéros de S<63 bits> d'UID, GID et de périphériques.
+Les archives B<tar> actuellement gérées sont le format v7 d'origine, le format ustar pré-POSIX, un sous-ensemble du format GNU (uniquement le nouveau format de noms longs pour les chemins et les liens, gérés depuis dpkg 1.4.1.17 ; « large file metadata » depuis dpkg 1.18.24) et le format ustar POSIX (noms longs gérés depuis dpkg 1.15.0). Les marqueurs tar (« typeflags ») inconnus provoquent une erreur. La taille de chaque entrée dans une archive tar est limitée à 11 chiffres en octal ASCII ce qui permet d'utiliser des entrées tar d'une taille jusqu'à 8 Gio. La gestion des « large file metadata » de GNU permet des entrées tar 95 bits et des horodatages négatifs, ainsi que des numéros de 63 bits d'UID, GID et de périphériques.
-Le premier membre est nommé B<debian-binary> et contient une succession de lignes, séparées par des caractères saut de ligne. Pour le moment, une seule ligne est S<présente :> le numéro de version du format, B<2.0> à l'heure où ce document a été écrit. Les programmes lisant des archives Debian récentes doivent être préparés à une augmentation du numéro de version mineur et à la présence de nouvelles lignes, et doivent les ignorer si tel est le cas.
+Le premier membre est nommé B<debian-binary> et contient une succession de lignes, séparées par des caractères saut de ligne. Pour le moment, une seule ligne est présente : le numéro de version du format, B<2.0> à l'heure où ce document a été écrit. Les programmes lisant des archives Debian récentes doivent être préparés à une augmentation du numéro de version mineur et à la présence de nouvelles lignes, et doivent les ignorer si tel est le cas.
Si le numéro de version majeur a changé, cela signifie qu'une modification entraînant une incompatibilité entre les versions a été effectuée, et le programme doit alors s'arrêter. Si ce n'est pas le cas, le programme doit être en mesure de continuer à traiter correctement le fichier, à moins qu'il ne rencontre un membre non reconnu dans l'archive (excepté à la fin de cette dernière), comme décrit ci-dessous.
-Le second membre requis est nommé B<control.tar>. Il s'agit d'une archive tar contenant les informations de contrôle du paquet, soit non compressée (gérée depuis S<dpkg 1.17.6)> ou compressée grâce à gzip (avec extension B<.gz>), xz (avec extension B<.xz>, gérée depuis S<dpkg 1.17.6)> ou zstd (avec extension B<.zst>, gérée depuis S<dpkg 1.21.18),> sous la forme d'une série de fichiers simples, parmi lesquels le fichier B<control> est strictement requis et contient les principales informations de contrôle, les fichiers B<md5sums>, B<conffiles>, B<triggers>, B<shlibs> et B<symbols> qui contiennent des informations de contrôle optionnelles, et les fichiers B<preinst>, B<postinst>, B<prerm> et B<postrm> qui sont des scripts optionnels du responsable. L'archive de contrôle peut éventuellement contenir une entrée pour S<« . »,> le répertoire courant.
+Le second membre requis est nommé B<control.tar>. Il s'agit d'une archive tar contenant les informations de contrôle du paquet, soit non compressée (gérée depuis dpkg 1.17.6) ou compressée grâce à gzip (avec extension B<.gz>), xz (avec extension B<.xz>, gérée depuis dpkg 1.17.6) ou zstd (avec extension B<.zst>, gérée depuis dpkg 1.21.18), sous la forme d'une série de fichiers simples, parmi lesquels le fichier B<control> est strictement requis et contient les principales informations de contrôle, les fichiers B<md5sums>, B<conffiles>, B<triggers>, B<shlibs> et B<symbols> qui contiennent des informations de contrôle optionnelles, et les fichiers B<preinst>, B<postinst>, B<prerm> et B<postrm> qui sont des scripts optionnels du responsable. L'archive de contrôle peut éventuellement contenir une entrée pour « . », le répertoire courant.
-Le troisième et dernier membre obligatoire est appelé B<data.tar>. Il contient le système de fichiers sous forme d'une archive tar, soit non compressée (gérée depuis S<dpkg 1.10.24)> ou compressée avec gzip (avec extension B<.gz>), xz (avec extension B<.xz>, gérée depuis S<dpkg 1.15.6),> zstd (avec extension B<.zst>, gérée depuis S<dpkg 1.21.18),> bzip2 (avec extensions B<.bz2>, gérée depuis S<dpkg 1.10.24)> ou lzma (avec extension B<.lzma>, gérée depuis S<dpkg 1.13.25).>
+Le troisième et dernier membre obligatoire est appelé B<data.tar>. Il contient le système de fichiers sous forme d'une archive tar, soit non compressée (gérée depuis dpkg 1.10.24) ou compressée avec gzip (avec extension B<.gz>), xz (avec extension B<.xz>, gérée depuis dpkg 1.15.6), zstd (avec extension B<.zst>, gérée depuis dpkg 1.21.18), bzip2 (avec extensions B<.bz2>, gérée depuis dpkg 1.10.24) ou lzma (avec extension B<.lzma>, gérée depuis dpkg 1.13.25).
-Ces membres doivent apparaître dans cet ordre exact. Les implémentations actuelles devraient ignorer tout membre additionnel après B<data.tar>. D'autres membres seront éventuellement proposés, et (si possible) seront placés après ces trois derniers. Tout autre membre qui nécessitera d'être inséré après B<debian-binary> et avant B<control.tar> ou B<data.tar> et qui pourra être ignoré sans problème par des programmes plus anciens, aura un nom commençant par un caractère de soulignement, S<« B<_> ».>
+Ces membres doivent apparaître dans cet ordre exact. Les implémentations actuelles devraient ignorer tout membre additionnel après B<data.tar>. D'autres membres seront éventuellement proposés, et (si possible) seront placés après ces trois derniers. Tout autre membre qui nécessitera d'être inséré après B<debian-binary> et avant B<control.tar> ou B<data.tar> et qui pourra être ignoré sans problème par des programmes plus anciens, aura un nom commençant par un caractère de soulignement, « B<_> ».
Les nouveaux membres qui ne pourront pas être ignorés sans conséquence seront insérés avant B<data.tar> avec des noms préfixés par quelque chose d'autre qu'un caractère de soulignement, ou impliqueront plus probablement une incrémentation du numéro majeur de version.
diff --git a/man/fr/deb822.pod b/man/fr/deb822.pod
index da7e889..7ea5c72 100644
--- a/man/fr/deb822.pod
+++ b/man/fr/deb822.pod
@@ -22,11 +22,11 @@ Le système de gestion de paquets manipule des données représentées dans un f
=head1 SYNTAXE
-Un fichier de contrôle consiste en un ou plusieurs paragraphes de champs (en anglais, les paragraphes sont ici appelés strophes, S<« stanzas »).> Les paragraphes sont séparés par des lignes vides. Les analyseurs peuvent accepter des lignes qui ne contiennent que des caractères U+0020 B<ESPACE> et U+0009 B<TABULATION> comme séparateurs de paragraphes, mais les fichiers de contrôle utiliseront des lignes vides. Certains fichiers de contrôle acceptent seulement un paragraphe unique, d'autres plusieurs, dans ce cas, chaque paragraphe fait référence habituellement à un paquet différent. (Par exemple, dans les paquets source, le premier paragraphe fait référence au paquet source, et les paragraphes suivants font référence aux paquets binaires créés à partir du source.) L'ordre des paragraphes dans les fichiers de contrôles est important.
+Un fichier de contrôle consiste en un ou plusieurs paragraphes de champs (en anglais, les paragraphes sont ici appelés strophes, « stanzas »). Les paragraphes sont séparés par des lignes vides. Les analyseurs peuvent accepter des lignes qui ne contiennent que des caractères U+0020 B<ESPACE> et U+0009 B<TABULATION> comme séparateurs de paragraphes, mais les fichiers de contrôle utiliseront des lignes vides. Certains fichiers de contrôle acceptent seulement un paragraphe unique, d'autres plusieurs, dans ce cas, chaque paragraphe fait référence habituellement à un paquet différent. (Par exemple, dans les paquets source, le premier paragraphe fait référence au paquet source, et les paragraphes suivants font référence aux paquets binaires créés à partir du source.) L'ordre des paragraphes dans les fichiers de contrôles est important.
-Chaque paragraphe consiste en une série de champs de données. Chaque champ est constitué d'un nom de champ suivi de deux-points (U+003A S<« B<:> »),> puis les données ou valeur associées à ce champ. Le nom du champ est composé de caractères US-ASCII à l'exception des caractères de contrôle, de l'espace et des deux-points (c'est-à dire des caractères entre U+0021 S<« B<!> »> et U+0039 S<« B<9> »,> et entre U+003B S<« B<;> »> et U+007E S<« B<~> »> compris). Les noms de champ ne doivent pas commencer par le caractère de commentaire S<« (U+0023> S<B<#> »,> ni par le caractère trait d'union (U+002D S<« B<-> »).>
+Chaque paragraphe consiste en une série de champs de données. Chaque champ est constitué d'un nom de champ suivi de deux-points (U+003A « B<:> »), puis les données ou valeur associées à ce champ. Le nom du champ est composé de caractères US-ASCII à l'exception des caractères de contrôle, de l'espace et des deux-points (c'est-à dire des caractères entre U+0021 « B<!> » et U+0039 « B<9> », et entre U+003B « B<;> » et U+007E « B<~> » compris). Les noms de champ ne doivent pas commencer par le caractère de commentaire « (U+0023 B<#> », ni par le caractère trait d'union (U+002D « B<-> »).
-Les champs se terminent à la fin de la ligne ou à la fin de la dernière ligne de continuation (voir ci-dessous). Une espace horizontale (U+0020 B<ESPACE> et U+0009 B<TABULATION>) peut apparaître immédiatement avant ou après la valeur et est ignorée dans ce cas ; par convention, il y une espace unique après les deux-points. Par exemple, un champ pourrait S<être :>
+Les champs se terminent à la fin de la ligne ou à la fin de la dernière ligne de continuation (voir ci-dessous). Une espace horizontale (U+0020 B<ESPACE> et U+0009 B<TABULATION>) peut apparaître immédiatement avant ou après la valeur et est ignorée dans ce cas ; par convention, il y une espace unique après les deux-points. Par exemple, un champ pourrait être :
=over
@@ -40,7 +40,7 @@ Des valeurs de champ vides ne sont permises que dans les fichiers de contrôle d
Un paragraphe ne doit pas contenir plus d'une instance d'un nom de champ particulier.
-Il y a trois types de S<champ :>
+Il y a trois types de champ :
=over
@@ -52,7 +52,7 @@ Ce champ, y compris sa valeur, doit être une ligne unique. La coupure du champ
=item B<coupé>
-La valeur d'un champ coupé S<(« folded »)> est une ligne logique qui peut s'étendre sur plusieurs lignes. Les lignes qui suivent la première sont appelées ligne de continuation et doivent commencer par un caractère U+0020 B<ESPACE> ou U+0009 B<TABULATION>. Une espace, y compris les caractères saut de ligne, n'est pas importante dans les valeurs de champ des champs coupés.
+La valeur d'un champ coupé (« folded ») est une ligne logique qui peut s'étendre sur plusieurs lignes. Les lignes qui suivent la première sont appelées ligne de continuation et doivent commencer par un caractère U+0020 B<ESPACE> ou U+0009 B<TABULATION>. Une espace, y compris les caractères saut de ligne, n'est pas importante dans les valeurs de champ des champs coupés.
La méthode de coupure est similaire à RFC5322, permettant à des fichiers de contrôle, qui contiennent seulement un paragraphe et pas des champs à plusieurs lignes, d'être lus par les analyseurs écrits pour RFC5322.
@@ -68,7 +68,7 @@ La présence et le but d'un champ, ainsi que la syntaxe de sa valeur peuvent dif
Les noms de champ ne sont pas sensibles à la casse, mais il est habituel de mettre en capitale l'initiale des noms de champ utilisant une casse mixte comme indiqué plus bas. Les valeurs de champ sont sensibles à la casse à moins que la description du champ ne dise le contraire.
-Les séparateurs de paragraphes (lignes vides) et les lignes constituées uniquement de U+0020 B<ESPACE> et U+0009 B<TABULATION>, ne sont pas permis dans les valeurs de champ ou entre les champs. Les lignes vides dans les valeurs de champ sont habituellement protégées par une U+0020 B<ESPACE> suivie par un point (U+002E S<« B<.> »).>
+Les séparateurs de paragraphes (lignes vides) et les lignes constituées uniquement de U+0020 B<ESPACE> et U+0009 B<TABULATION>, ne sont pas permis dans les valeurs de champ ou entre les champs. Les lignes vides dans les valeurs de champ sont habituellement protégées par une U+0020 B<ESPACE> suivie par un point (U+002E « B<.> »).
Lines starting with U+0023 ‘B<#>’, without any preceding whitespace are comments lines that are only permitted in source package control files (I<debian/control>) and in L<deb-origin(5)> files. These comment lines are ignored, even between two continuation lines. They do not end logical lines.
diff --git a/man/fr/dpkg-architecture.pod b/man/fr/dpkg-architecture.pod
index f82c997..560dad2 100644
--- a/man/fr/dpkg-architecture.pod
+++ b/man/fr/dpkg-architecture.pod
@@ -38,11 +38,11 @@ Afficher les variables d'environnement, une par ligne, en utilisant le format I<
=item B<-e>, B<--equal> I<architecture>
-Vérifier l'égalité d'architectures (depuis S<dpkg 1.13.13).> Cela compare l'architecture Debian en cours (ou celle spécifiée) à I<architecture> afin de vérifier leur égalité. Cette action ne gère pas les architectures joker. La commande quitte avec un code de retour de B<0> si l'architecture correspond et de B<1> dans le cas contraire.
+Vérifier l'égalité d'architectures (depuis dpkg 1.13.13). Cela compare l'architecture Debian en cours (ou celle spécifiée) à I<architecture> afin de vérifier leur égalité. Cette action ne gère pas les architectures joker. La commande quitte avec un code de retour de B<0> si l'architecture correspond et de B<1> dans le cas contraire.
=item B<-i>, B<--is> I<architecture-joker>
-Vérifier l'identité des architectures (depuis S<dpkg 1.13.13).> Cela compare l'architecture Debian en cours (ou celle spécifiée) à I<architecture-joker> (après expansion de celle-ci) afin de vérifier leur correspondance. La commande quitte avec un code de retour de B<0> si l'architecture correspond et de B<1> dans le cas contraire.
+Vérifier l'identité des architectures (depuis dpkg 1.13.13). Cela compare l'architecture Debian en cours (ou celle spécifiée) à I<architecture-joker> (après expansion de celle-ci) afin de vérifier leur correspondance. La commande quitte avec un code de retour de B<0> si l'architecture correspond et de B<1> dans le cas contraire.
=item B<-q>, B<--query> I<nom-de-variable>
@@ -50,7 +50,7 @@ Afficher la valeur d'une seule variable.
=item B<-s>, B<--print-set>
-Produire une commande d'exportation, qui peut être utilisée pour positionner les variables d'environnement utilisant le B<shell> POSIX ou S<« make> S<B<eval> »,> selon le format de sortie.
+Produire une commande d'exportation, qui peut être utilisée pour positionner les variables d'environnement utilisant le B<shell> POSIX ou « make B<eval> », selon le format de sortie.
=item B<-u>, B<--print-unset>
@@ -64,7 +64,7 @@ If the I<command-string> contains shell metacharacters, then it will be invoked
=item B<-L>, B<--list-known>
-Afficher une liste des architectures valables. Elle peut être restreinte par une ou plusieurs des options correspondantes B<--match-wildcard>, B<--match-bits> ou B<--match-endian> (depuis S<dpkg 1.17.14).>
+Afficher une liste des architectures valables. Elle peut être restreinte par une ou plusieurs des options correspondantes B<--match-wildcard>, B<--match-bits> ou B<--match-endian> (depuis dpkg 1.17.14).
=item B<-?>, B<--help>
@@ -90,27 +90,27 @@ Définir le type de système GNU en cours.
=item B<-A>, B<--target-arch> I<architecture>
-Définir l'architecture Debian de la cible (depuis S<dpkg 1.17.14).>
+Définir l'architecture Debian de la cible (depuis dpkg 1.17.14).
=item B<-T>, B<--target-type> I<type-de-système-gnu>
-Définir le type de système GNU de la cible (depuis S<dpkg 1.17.14).>
+Définir le type de système GNU de la cible (depuis dpkg 1.17.14).
=item B<-W>, B<--match-wildcard> I<architecture-joker>
-Restreindre les architectures listées par B<--list-known> à celles correspondant à l'architecture-joker (depuis S<dpkg 1.17.14).>
+Restreindre les architectures listées par B<--list-known> à celles correspondant à l'architecture-joker (depuis dpkg 1.17.14).
=item B<-B>, B<--match-bits> I<bits-de-l'architecture>
-Restreindre les architectures listées par B<--list-known> à celles employant un CPU disposant du nombre de bits indiqués (depuis S<dpkg 1.17.14).> Soit B<32>, soit B<64>.
+Restreindre les architectures listées par B<--list-known> à celles employant un CPU disposant du nombre de bits indiqués (depuis dpkg 1.17.14). Soit B<32>, soit B<64>.
=item B<-E>, B<--match-endian> I<boutisme-d'architecture>
-Restreindre les architectures listées par B<--list-known> à celles correspondant au boutisme spécifié (depuis S<dpkg 1.17.14).> Soit B<little>, soit B<big>.
+Restreindre les architectures listées par B<--list-known> à celles correspondant au boutisme spécifié (depuis dpkg 1.17.14). Soit B<little>, soit B<big>.
=item B<--print-format> I<format>
-Configurer le format de sortie de B<--print-set> et B<--print-unset> (depuis S<dpkg 1.20.6),> pour B<shell> (par défaut) ou B<make>.
+Configurer le format de sortie de B<--print-set> et B<--print-unset> (depuis dpkg 1.20.6), pour B<shell> (par défaut) ou B<make>.
=item B<-f>, B<--force>
@@ -136,11 +136,11 @@ La machine pour laquelle le compilateur construit ou pour laquelle l'émulateur
=item Architecture Debian
-Chaîne de caractères de l'architecture Debian qui spécifie l'emplacement dans l'archive FTP. Par S<exemple :> i386, sparc, hurd-i386.
+Chaîne de caractères de l'architecture Debian qui spécifie l'emplacement dans l'archive FTP. Par exemple : i386, sparc, hurd-i386.
=item N-uplet d'architecture Debian
-Un n-uplet d'architecture Debian est l'architecture pleinement qualifiée avec tous ses composants énoncés. C'est différent des architectures Debian en ce que le composant I<processeur> n'intègre pas l'I<ABI>. Le n-uplet actuel a la forme I<ABI>-I<libc>-I<os>-I<processeur>. S<Exemples :> base-gnu-linux-amd64, eabihf-musl-linux-arm.
+Un n-uplet d'architecture Debian est l'architecture pleinement qualifiée avec tous ses composants énoncés. C'est différent des architectures Debian en ce que le composant I<processeur> n'intègre pas l'I<ABI>. Le n-uplet actuel a la forme I<ABI>-I<libc>-I<os>-I<processeur>. Exemples : base-gnu-linux-amd64, eabihf-musl-linux-arm.
=item Architecture Debian joker
@@ -156,21 +156,21 @@ Une architecture Debian joker est une architecture spéciale qui correspond à t
=back
-S<Exemples :> linux-any, any-i386, hurd-any, eabi-any-any-arm, musl-any-any.
+Exemples : linux-any, any-i386, hurd-any, eabi-any-any-arm, musl-any-any.
=item Type de système GNU
-Chaîne de caractères définissant l'architecture et constituée de deux parties séparées par un S<tiret :> processeur et système. Par S<exemple :> i586-linux-gnu, sparc-linux-gnu, i386-gnu, x86_64-netbsd.
+Chaîne de caractères définissant l'architecture et constituée de deux parties séparées par un tiret : processeur et système. Par exemple : i586-linux-gnu, sparc-linux-gnu, i386-gnu, x86_64-netbsd.
=item n-uplet multiarchitecture
-Type en clair de système GNU, utilisé pour les chemins du système de fichiers. Ce n-uplet ne change pas même quand l'ISA de base est incrémentée, de sorte que les chemins résultants sont stables dans la durée. La seule différence actuelle avec le type du système GNU est que la partie processeur pour les systèmes basés sur l'i386 est toujours i386. S<Exemples :> i386-linux-gnu, x86_64-linux-gnu. Exemple de S<chemins :> /lib/powerpc64le-linux-gnu/, /usr/lib/i386-kfreebsd-gnu/.
+Type en clair de système GNU, utilisé pour les chemins du système de fichiers. Ce n-uplet ne change pas même quand l'ISA de base est incrémentée, de sorte que les chemins résultants sont stables dans la durée. La seule différence actuelle avec le type du système GNU est que la partie processeur pour les systèmes basés sur l'i386 est toujours i386. Exemples : i386-linux-gnu, x86_64-linux-gnu. Exemple de chemins : /lib/powerpc64le-linux-gnu/, /usr/lib/i386-kfreebsd-gnu/.
=back
=head1 VARIABLES D'ENVIRONNEMENT
-Les variables suivantes sont lues à partir de l'environnement (à moins que B<--force> n'ait été spécifié) et sont positionnées par B<dpkg-architecture> (voir la section B<TERMS> pour une description du schéma de S<nommage) :>
+Les variables suivantes sont lues à partir de l'environnement (à moins que B<--force> n'ait été spécifié) et sont positionnées par B<dpkg-architecture> (voir la section B<TERMS> pour une description du schéma de nommage) :
=over
@@ -180,27 +180,27 @@ Architecture Debian de la machine de construction.
=item B<DEB_BUILD_ARCH_ABI>
-Nom de l'ABI Debian de la machine de construction (depuis S<dpkg 1.18.11).>
+Nom de l'ABI Debian de la machine de construction (depuis dpkg 1.18.11).
=item B<DEB_BUILD_ARCH_LIBC>
-Nom de la libc Debian de la machine de construction (depuis S<dpkg 1.18.11).>
+Nom de la libc Debian de la machine de construction (depuis dpkg 1.18.11).
=item B<DEB_BUILD_ARCH_OS>
-Nom du système Debian de la machine de construction (depuis S<dpkg 1.13.2).>
+Nom du système Debian de la machine de construction (depuis dpkg 1.13.2).
=item B<DEB_BUILD_ARCH_CPU>
-Nom de processeur Debian de la machine de construction (depuis S<dpkg 1.13.2).>
+Nom de processeur Debian de la machine de construction (depuis dpkg 1.13.2).
=item B<DEB_BUILD_ARCH_BITS>
-Taille de pointeur de la machine de construction (en bits, depuis S<dpkg 1.15.4).>
+Taille de pointeur de la machine de construction (en bits, depuis dpkg 1.15.4).
=item B<DEB_BUILD_ARCH_ENDIAN>
-Boutisme de la machine de construction (petit ou gros, depuis S<dpkg 1.15.4).>
+Boutisme de la machine de construction (petit ou gros, depuis dpkg 1.15.4).
=item B<DEB_BUILD_GNU_CPU>
@@ -216,7 +216,7 @@ Type de système GNU de la machine de construction.
=item B<DEB_BUILD_MULTIARCH>
-Le type en clair de système GNU de la machine de construction, utilisé pour les chemins du système de fichiers (depuis S<dpkg 1.16.0).>
+Le type en clair de système GNU de la machine de construction, utilisé pour les chemins du système de fichiers (depuis dpkg 1.16.0).
=item B<DEB_HOST_ARCH>
@@ -224,27 +224,27 @@ Architecture Debian de la machine hôte.
=item B<DEB_HOST_ARCH_ABI>
-Nom de l'ABI Debian de la machine hôte (depuis S<dpkg 1.18.11).>
+Nom de l'ABI Debian de la machine hôte (depuis dpkg 1.18.11).
=item B<DEB_HOST_ARCH_LIBC>
-Nom de la libc Debian de la machine hôte (depuis S<dpkg 1.18.11).>
+Nom de la libc Debian de la machine hôte (depuis dpkg 1.18.11).
=item B<DEB_HOST_ARCH_OS>
-Nom du système Debian de la machine hôte (depuis S<dpkg 1.13.2).>
+Nom du système Debian de la machine hôte (depuis dpkg 1.13.2).
=item B<DEB_HOST_ARCH_CPU>
-Nom du processeur Debian de la machine hôte (depuis S<dpkg 1.13.2).>
+Nom du processeur Debian de la machine hôte (depuis dpkg 1.13.2).
=item B<DEB_HOST_ARCH_BITS>
-Taille de pointeur de la machine hôte (en bits, depuis S<dpkg 1.15.4).>
+Taille de pointeur de la machine hôte (en bits, depuis dpkg 1.15.4).
=item B<DEB_HOST_ARCH_ENDIAN>
-Boutisme de la machine hôte (petit ou gros, depuis S<dpkg 1.15.4).>
+Boutisme de la machine hôte (petit ou gros, depuis dpkg 1.15.4).
=item B<DEB_HOST_GNU_CPU>
@@ -260,51 +260,51 @@ Type de système GNU de la machine hôte.
=item B<DEB_HOST_MULTIARCH>
-Le type en clair de système GNU de la machine hôte, utilisé pour les chemins du système de fichiers (depuis S<dpkg 1.16.0).>
+Le type en clair de système GNU de la machine hôte, utilisé pour les chemins du système de fichiers (depuis dpkg 1.16.0).
=item B<DEB_TARGET_ARCH>
-L'architecture Debian de la machine cible (depuis S<dpkg 1.17.14).>
+L'architecture Debian de la machine cible (depuis dpkg 1.17.14).
=item B<DEB_TARGET_ARCH_ABI>
-Nom de l'ABI Debian de la machine cible (depuis S<dpkg 1.18.11).>
+Nom de l'ABI Debian de la machine cible (depuis dpkg 1.18.11).
=item B<DEB_TARGET_ARCH_LIBC>
-Nom de la libc Debian de la machine cible (depuis S<dpkg 1.18.11).>
+Nom de la libc Debian de la machine cible (depuis dpkg 1.18.11).
=item B<DEB_TARGET_ARCH_OS>
-Nom du système Debian de la machine cible (depuis S<dpkg 1.17.14).>
+Nom du système Debian de la machine cible (depuis dpkg 1.17.14).
=item B<DEB_TARGET_ARCH_CPU>
-Nom du processeur Debian de la machine cible (depuis S<dpkg 1.17.14).>
+Nom du processeur Debian de la machine cible (depuis dpkg 1.17.14).
=item B<DEB_TARGET_ARCH_BITS>
-Taille de pointeur de la machine cible (en bits, depuis S<dpkg 1.17.14).>
+Taille de pointeur de la machine cible (en bits, depuis dpkg 1.17.14).
=item B<DEB_TARGET_ARCH_ENDIAN>
-Boutisme de la machine cible (petit ou gros, depuis S<dpkg 1.17.14).>
+Boutisme de la machine cible (petit ou gros, depuis dpkg 1.17.14).
=item B<DEB_TARGET_GNU_CPU>
-Partie CPU GNU de B<DEB_TARGET_GNU_TYPE> (depuis S<dpkg 1.17.14).>
+Partie CPU GNU de B<DEB_TARGET_GNU_TYPE> (depuis dpkg 1.17.14).
=item B<DEB_TARGET_GNU_SYSTEM>
-Partie S<système GNU> de B<DEB_TARGET_GNU_TYPE> (depuis S<dpkg 1.17.14).>
+Partie système GNU de B<DEB_TARGET_GNU_TYPE> (depuis dpkg 1.17.14).
=item B<DEB_TARGET_GNU_TYPE>
-Type du système GNU de la machine cible (depuis S<dpkg 1.17.14).>
+Type du système GNU de la machine cible (depuis dpkg 1.17.14).
=item B<DEB_TARGET_MULTIARCH>
-Le type en clair du système GNU de la machine cible, utilisé pour les chemins du système de fichiers (depuis S<dpkg 1.17.14).>
+Le type en clair du système GNU de la machine cible, utilisé pour les chemins du système de fichiers (depuis dpkg 1.17.14).
=back
@@ -312,25 +312,25 @@ Le type en clair du système GNU de la machine cible, utilisé pour les chemins
=head2 Tables d'architectures
-Tous ces fichiers sont nécessaires afin que B<dpkg-architecture> puisse fonctionner. Leurs emplacements peuvent être modifiés lors du traitement à l'aide de la variable d'environnement B<DPKG_DATADIR>. Ces tables contiennent en première ligne un pseudo-champ de B<Version> de format pour indiquer leur format de sorte que les analyseurs peuvent vérifier s'ils les comprennent, tel que S<« #> S<Version=1.0 ».>
+Tous ces fichiers sont nécessaires afin que B<dpkg-architecture> puisse fonctionner. Leurs emplacements peuvent être modifiés lors du traitement à l'aide de la variable d'environnement B<DPKG_DATADIR>. Ces tables contiennent en première ligne un pseudo-champ de B<Version> de format pour indiquer leur format de sorte que les analyseurs peuvent vérifier s'ils les comprennent, tel que « # Version=1.0 ».
=over
=item I<%PKGDATADIR%/table-processeur>
-Table des noms de processeurs connus et liaison avec leur nom GNU. Version 1.0 de format (depuis S<dpkg 1.13.2).>
+Table des noms de processeurs connus et liaison avec leur nom GNU. Version 1.0 de format (depuis dpkg 1.13.2).
=item I<%PKGDATADIR%/table-système-exploitation>
-Table des noms des systèmes d'exploitation connus et liaison avec leurs noms GNU. Version 2.0 de format (depuis S<dpkg 1.18.11).>
+Table des noms des systèmes d'exploitation connus et liaison avec leurs noms GNU. Version 2.0 de format (depuis dpkg 1.18.11).
=item I<%PKGDATADIR%/table-n-uplet>
-Correspondances entre les n-uplets de l'architecture Debian et les noms des architectures Debian. Format version 1.0 (depuis S<dpkg 1.18.11).>
+Correspondances entre les n-uplets de l'architecture Debian et les noms des architectures Debian. Format version 1.0 (depuis dpkg 1.18.11).
=item I<%PKGDATADIR%/table-ABI>
-Table des substituts d'attributs d'ABI d'architecture Debian. Format version 2.0 (depuis S<dpkg 1.18.11).>
+Table des substituts d'attributs d'ABI d'architecture Debian. Format version 2.0 (depuis dpkg 1.18.11).
=back
@@ -340,13 +340,13 @@ Table des substituts d'attributs d'ABI d'architecture Debian. Format version 2.0
=item I<%PKGDATADIR%/architecture.mk>
-Un fragment de fichier Makefile qui définit correctement et exporte toutes les variables que B<dpkg-architecture> peut fournir (depuis S<dpkg 1.16.1).>
+Un fragment de fichier Makefile qui définit correctement et exporte toutes les variables que B<dpkg-architecture> peut fournir (depuis dpkg 1.16.1).
=back
=head1 EXEMPLES
-B<dpkg-buildpackage> accepte l'option B<-a>, et la passe à B<dpkg-architecture>. Voici d'autres S<exemples :>
+B<dpkg-buildpackage> accepte l'option B<-a>, et la passe à B<dpkg-architecture>. Voici d'autres exemples :
=over
@@ -356,7 +356,7 @@ B<dpkg-buildpackage> accepte l'option B<-a>, et la passe à B<dpkg-architecture>
=back
-Vérifier si l'architecture en cours (ou celle spécifiée) est identique à une S<architecture :>
+Vérifier si l'architecture en cours (ou celle spécifiée) est identique à une architecture :
=over
@@ -366,7 +366,7 @@ Vérifier si l'architecture en cours (ou celle spécifiée) est identique à une
=back
-Vérifier si l'architecture en cours (ou celle spécifiée) est un système S<Linux :>
+Vérifier si l'architecture en cours (ou celle spécifiée) est un système Linux :
=over
@@ -378,9 +378,9 @@ Vérifier si l'architecture en cours (ou celle spécifiée) est un système S<Li
=head2 Utilisation dans debian/rules
-Les variables d'environnement définies par B<dpkg-architecture> sont fournies à I<debian/rules> comme variables pour make (consultez la documentation de make). Cependant, vous ne devez pas compter là-dessus puisque cela empêche les appels manuels à ce script. À la place, vous devez toujours les initialiser en utilisant B<dpkg-architecture> avec l'option B<-q>. Voici quelques exemples, qui indiquent aussi comment améliorer la gestion des compilations croisées de votre S<paquet :>
+Les variables d'environnement définies par B<dpkg-architecture> sont fournies à I<debian/rules> comme variables pour make (consultez la documentation de make). Cependant, vous ne devez pas compter là-dessus puisque cela empêche les appels manuels à ce script. À la place, vous devez toujours les initialiser en utilisant B<dpkg-architecture> avec l'option B<-q>. Voici quelques exemples, qui indiquent aussi comment améliorer la gestion des compilations croisées de votre paquet :
-Récupération du type de système GNU et passage à S<./configure :>
+Récupération du type de système GNU et passage à ./configure :
=over
@@ -398,7 +398,7 @@ Récupération du type de système GNU et passage à S<./configure :>
=back
-Effectuer une action pour une architecture S<spécifique :>
+Effectuer une action pour une architecture spécifique :
=over
@@ -412,7 +412,7 @@ Effectuer une action pour une architecture S<spécifique :>
Ou, si vous n'avez besoin que de vérifier le type du processeur et du système, utilisez les variables B<DEB_HOST_ARCH_CPU> ou B<DEB_HOST_ARCH_OS>.
-Veuillez noter qu'il est également possible d'utiliser un fragment externe de fichier Makefile pour définir correctement toutes les variables que B<dpkg-architecture> peut S<fournir :>
+Veuillez noter qu'il est également possible d'utiliser un fragment externe de fichier Makefile pour définir correctement toutes les variables que B<dpkg-architecture> peut fournir :
=over
@@ -432,21 +432,21 @@ Dans tous les cas, il ne faut jamais utiliser B<dpkg --print-architecture> pour
=item B<DPKG_DATADIR>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée comme répertoire de données de B<dpkg> où sont placées les tables d'architecture (depuis S<dpkg 1.14.17).> Par défaut «%PKGDATADIR%».
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée comme répertoire de données de B<dpkg> où sont placées les tables d'architecture (depuis dpkg 1.14.17). Par défaut «%PKGDATADIR%».
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=item B<DPKG_NLS>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis S<dpkg 1.19.0).> Les valeurs permises S<sont :> B<0> et B<1> (par défaut).
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis dpkg 1.19.0). Les valeurs permises sont : B<0> et B<1> (par défaut).
=back
=head1 NOTES
-Tous les noms de commandes et d'options longs ne sont disponibles qu'à partir de S<dpkg 1.17.17.>
+Tous les noms de commandes et d'options longs ne sont disponibles qu'à partir de dpkg 1.17.17.
=head1 VOIR AUSSI
diff --git a/man/fr/dpkg-checkbuilddeps.pod b/man/fr/dpkg-checkbuilddeps.pod
index dab0f25..cff0118 100644
--- a/man/fr/dpkg-checkbuilddeps.pod
+++ b/man/fr/dpkg-checkbuilddeps.pod
@@ -50,7 +50,7 @@ Ignore les dépendances et les conflits de construction internes (depuis dpkg 1.
=item B<-c> I<chaîne-des-conflits-de-construction>
-Utilise les dépendances et conflits de construction donnés au lieu de ceux indiqués dans le fichier I<debian/control> (depuis S<dpkg 1.14.17).>
+Utilise les dépendances et conflits de construction donnés au lieu de ceux indiqués dans le fichier I<debian/control> (depuis dpkg 1.14.17).
=item B<-a> I<arch>
@@ -58,7 +58,7 @@ Vérifie les dépendances et conflits de construction en supposant que le paquet
=item B<-P> I<profil>[B<,>...]
-Vérifie les dépendances et conflits de construction en supposant que le paquet décrit dans le fichier de contrôle doit être construit pour le ou les profils donnés (depuis S<dpkg 1.17.2).> L'argument est une liste séparée par des virgules des noms de profil.
+Vérifie les dépendances et conflits de construction en supposant que le paquet décrit dans le fichier de contrôle doit être construit pour le ou les profils donnés (depuis dpkg 1.17.2). L'argument est une liste séparée par des virgules des noms de profil.
=item B<-?>, B<--help>
@@ -74,17 +74,21 @@ Afficher le numéro de version puis quitter.
=over
+=item B<DEB_HOST_ARCH>
+
+Sets the host architecture. This affects the dependency resolution logic, which might then not match what the system dpkg considers satisfiable.
+
=item B<DEB_BUILD_PROFILES>
Si cette option est utilisée, elle sera utilisée comme profil(s) de construction actif(s) pour le paquet à construire. C'est une liste séparée par des espaces de noms de profil. Cette option est outrepassée par l'option B<-P>.
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=item B<DPKG_NLS>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis S<dpkg 1.19.0).> Les valeurs permises S<sont :> B<0> et B<1> (par défaut).
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis dpkg 1.19.0). Les valeurs permises sont : B<0> et B<1> (par défaut).
=back
diff --git a/man/fr/dpkg-deb.pod b/man/fr/dpkg-deb.pod
index 7ddc8df..0152f05 100644
--- a/man/fr/dpkg-deb.pod
+++ b/man/fr/dpkg-deb.pod
@@ -28,7 +28,7 @@ B<dpkg> sert à installer ou à supprimer des paquets sur le système.
Il est possible d'exécuter B<dpkg-deb> en appelant B<dpkg> avec les options de B<dpkg-deb>. B<dpkg> comprend que B<dpkg-deb> est appelé et le lance.
-Pour la plupart des commandes recevant un argument d'entrée d'archive, l'archive peut être lue à partir de l'entrée standard si le nom d'archive est donné sous la forme d'un caractère moins S<(« B<-> »)> unique ; sinon, l'absence de prise en charge sera documentée dans leurs descriptions de commande respectives.
+Pour la plupart des commandes recevant un argument d'entrée d'archive, l'archive peut être lue à partir de l'entrée standard si le nom d'archive est donné sous la forme d'un caractère moins (« B<-> ») unique ; sinon, l'absence de prise en charge sera documentée dans leurs descriptions de commande respectives.
=head1 COMMANDES
@@ -36,7 +36,7 @@ Pour la plupart des commandes recevant un argument d'entrée d'archive, l'archiv
=item B<-b>, B<--build> I<répertoire-binaire> [I<archive>|I<répertoire>]
-Crée une archive Debian avec l'arborescence contenue dans I<répertoire-binaire>. I<répertoire-binaire> doit posséder un sous-répertoire B<DEBIAN> qui contient les fichiers de contrôle tels que le fichier S<« control »> lui-même. Ce répertoire I<n'apparaît pas> dans l'archive de l'arborescence du paquet binaire ; mais les fichiers qu'il contient sont mis dans la zone de contrôle du paquet binaire.
+Crée une archive Debian avec l'arborescence contenue dans I<répertoire-binaire>. I<répertoire-binaire> doit posséder un sous-répertoire B<DEBIAN> qui contient les fichiers de contrôle tels que le fichier « control » lui-même. Ce répertoire I<n'apparaît pas> dans l'archive de l'arborescence du paquet binaire ; mais les fichiers qu'il contient sont mis dans la zone de contrôle du paquet binaire.
À moins de préciser B<--nocheck>, B<dpkg-deb> lit B<DEBIAN/control> et l'analyse. Il cherche dans le fichier les erreurs de syntaxe et d'autres problèmes existants ; puis il affiche le nom du paquet binaire qu'il construit. B<dpkg-deb> vérifie aussi les permissions des scripts du responsable et des autres fichiers qu'il trouve dans le répertoire de contrôle B<DEBIAN>.
@@ -50,9 +50,9 @@ Quand le second argument est un répertoire, B<dpkg-deb> écrira dans le fichier
Donne des renseignements sur une archive de paquet binaire.
-Quand aucun argument I<fichier-control> n'est précisé, un résumé du contenu du paquet ainsi que son fichier S<« control »> sont affichés.
+Quand aucun argument I<fichier-control> n'est précisé, un résumé du contenu du paquet ainsi que son fichier « control » sont affichés.
-Quand un argument I<fichier-control> est précisé, B<dpkg-deb> affiche les éléments dans l'ordre d'apparition ; quand l'un des éléments n'est pas présent, il affiche un message d'erreur sur S<« stderr »> et quitte avec un code égal à B<2>.
+Quand un argument I<fichier-control> est précisé, B<dpkg-deb> affiche les éléments dans l'ordre d'apparition ; quand l'un des éléments n'est pas présent, il affiche un message d'erreur sur « stderr » et quitte avec un code égal à B<2>.
=item B<-W>, B<--show> I<archive>
@@ -60,11 +60,11 @@ Cette option donne des informations sur l'archive d'un paquet binaire selon le f
=item B<-f>, B<--field> I<archive> [I<nom-du-champ-de-control>...]
-Extrait les renseignements du fichier S<« control »> de l'archive du paquet binaire.
+Extrait les renseignements du fichier « control » de l'archive du paquet binaire.
-Quand aucun I<nom-du-champ-de-control> n'est précisé, le fichier S<« control »> est affiché en entier.
+Quand aucun I<nom-du-champ-de-control> n'est précisé, le fichier « control » est affiché en entier.
-Quand il y en a un, B<dpkg-deb> affiche ses éléments en suivant leur ordre d'apparition dans le fichier S<« control ».> Quand il y a plus d'un argument I<nom-champ-control>, B<dpkg-deb> fait précéder chacun par le nom de son champ (puis par un S<« deux-points »> et une espace).
+Quand il y en a un, B<dpkg-deb> affiche ses éléments en suivant leur ordre d'apparition dans le fichier « control ». Quand il y a plus d'un argument I<nom-champ-control>, B<dpkg-deb> fait précéder chacun par le nom de son champ (puis par un « deux-points » et une espace).
L'absence des champs demandés ne provoque pas de message d'erreur.
@@ -86,11 +86,11 @@ Comme B<--extract> (B<-x>) avec B<--verbose> (B<-v>), ce qui affiche la liste de
=item B<-R>, B<--raw-extract> I<archive> I<répertoire>
-Extrait l'arborescence des fichiers d'un paquet archive dans le répertoire spécifié et les fichiers d'information de contrôle dans un sous-répertoire nommé B<DEBIAN> de ce répertoire (depuis S<dpkg 1.16.1).>
+Extrait l'arborescence des fichiers d'un paquet archive dans le répertoire spécifié et les fichiers d'information de contrôle dans un sous-répertoire nommé B<DEBIAN> de ce répertoire (depuis dpkg 1.16.1).
Le répertoire cible est créé si nécessaire (mais pas ses répertoires parents).
-L'archive d'entrée n'est pas actuellement traitée de façon séquentielle, aussi, sa lecture à partir de l'entrée standard S<(« B<-> »)> n'est B<pas> prise en charge.
+L'archive d'entrée n'est pas actuellement traitée de façon séquentielle, aussi, sa lecture à partir de l'entrée standard (« B<-> ») n'est B<pas> prise en charge.
=item B<--ctrl-tarfile> I<archive>
@@ -128,15 +128,15 @@ Cette option sert à spécifier le format de sortie de l'option B<--show>. Ce fo
The string may reference any status field using the “${I<field-name>}” form, a list of the valid fields can be easily produced using B<-I> on the same package. A complete explanation of the formatting options (including escape sequences and field tabbing) can be found in the explanation of the B<--showformat> option in L<dpkg-query(1)>.
-Par défaut, la valeur de ce champ est S<« ${Package}\t${Version}\n ».>
+Par défaut, la valeur de ce champ est « ${Package}\t${Version}\n ».
=item B<-z>I<niveau_compression>
-Indique le niveau de compression à fournir au logiciel de compression appelé en sous-main lors de la compression du paquet. La valeur par défaut est 9 pour gzip, 6 pour xz, 3 pour zstd. Les valeurs possibles sont spécifiques aux S<compresseurs :> pour gzip entre 0 et 9, 0 correspond à aucune compression, pour xz entre 0 et 9, pour zstd de 0 à 22, les niveaux 20 à 22 activant son mode ultra. Avant la version 1.16.2, la valeur 0 correspondait à S<« aucune> S<compression »> pour tous les logiciels de compression.
+Indique le niveau de compression à fournir au logiciel de compression appelé en sous-main lors de la compression du paquet. La valeur par défaut est 9 pour gzip, 6 pour xz, 3 pour zstd. Les valeurs possibles sont spécifiques aux compresseurs : pour gzip entre 0 et 9, 0 correspond à aucune compression, pour xz entre 0 et 9, pour zstd de 0 à 22, les niveaux 20 à 22 activant son mode ultra. Avant la version 1.16.2, la valeur 0 correspondait à « aucune compression » pour tous les logiciels de compression.
=item B<-S>I<stratégie-compression>
-Indique la stratégie de compression à fournir au logiciel de compression appelé en sous-main lors de la construction du paquet (depuis S<dpkg 1.16.2).> Les valeurs autorisées sont B<none> (depuis S<dpkg 1.16.4),> B<filtered>, B<huffman>, B<rle> et B<fixed> pour gzip (depuis S<dpkg 1.17.0)> et B<extreme> pour xz.
+Indique la stratégie de compression à fournir au logiciel de compression appelé en sous-main lors de la construction du paquet (depuis dpkg 1.16.2). Les valeurs autorisées sont B<none> (depuis dpkg 1.16.4), B<filtered>, B<huffman>, B<rle> et B<fixed> pour gzip (depuis dpkg 1.17.0) et B<extreme> pour xz.
=item B<-Z>I<type_compression>
@@ -144,23 +144,23 @@ Specify which compression type to use when building a package. Allowed values a
=item B<--[no-]uniform-compression>
-Indique que les mêmes paramètres de compression doivent être utilisés pour tous les membres de l'archive (c'est-à-dire B<control.tar> et B<data.tar> ; depuis S<dpkg 1.17.6).> Sinon, seul le membre B<data.tar> utilisera ces paramètres. Les seuls types de compression pris en charge permis pour une utilisation uniforme sont B<none>, B<gzip>, B<xz> et B<zstd>. L'option B<--no-uniform-compression> désactive la compression uniforme (depuis S<dpkg 1.19.0).> La compression uniforme est l'option par défaut (depuis S<dpkg 1.19.0).>
+Indique que les mêmes paramètres de compression doivent être utilisés pour tous les membres de l'archive (c'est-à-dire B<control.tar> et B<data.tar> ; depuis dpkg 1.17.6). Sinon, seul le membre B<data.tar> utilisera ces paramètres. Les seuls types de compression pris en charge permis pour une utilisation uniforme sont B<none>, B<gzip>, B<xz> et B<zstd>. L'option B<--no-uniform-compression> désactive la compression uniforme (depuis dpkg 1.19.0). La compression uniforme est l'option par défaut (depuis dpkg 1.19.0).
=item B<--threads-max=>I<threads>
-Fixe le nombre maximal de processus permis pour les compresseurs qui gèrent les opérations multi-threadées (depuis S<dpkg 1.21.9).>
+Fixe le nombre maximal de processus permis pour les compresseurs qui gèrent les opérations multi-threadées (depuis dpkg 1.21.9).
=item B<--root-owner-group>
Fixe le propriétaire et le groupe de chaque entrée dans les données de l'arborescence du système de fichiers à root avec l'identité 0 (depuis dpkg 1.19.0).
-S<B<Note> :> cette option peut être utile pour les constructions sans root (voir I<rootless-builds.txt>) mais ne devrait B<pas> être utilisée si les entrées ont un propriétaire ou un groupe qui n'est pas root. Leur prise en charge sera ajoutée plus tard sous la forme d'un méta-manifeste.
+B<Note> : cette option peut être utile pour les constructions sans root (voir I<rootless-builds.txt>) mais ne devrait B<pas> être utilisée si les entrées ont un propriétaire ou un groupe qui n'est pas root. Leur prise en charge sera ajoutée plus tard sous la forme d'un méta-manifeste.
=item B<--deb-format=>I<format>
-Indique la version du format d'archive utilisé lors de la construction (depuis S<dpkg 1.17.0).> Les valeurs autorisées sont B<2.0> pour le nouveau format et B<0.939000> pour l'ancien (la valeur par défaut est B<2.0>).
+Indique la version du format d'archive utilisé lors de la construction (depuis dpkg 1.17.0). Les valeurs autorisées sont B<2.0> pour le nouveau format et B<0.939000> pour l'ancien (la valeur par défaut est B<2.0>).
-L'ancien format d'archive, moins facilement compris par les outils non-Debian, est maintenant dépassé. On l'utilise seulement quand on construit des paquets qui doivent être analysés par des versions de dpkg plus anciennes que la version 0.93.76 (septembre 1995), qui fut produite uniquement pour le format S<« i386> S<a.out ».>
+L'ancien format d'archive, moins facilement compris par les outils non-Debian, est maintenant dépassé. On l'utilise seulement quand on construit des paquets qui doivent être analysés par des versions de dpkg plus anciennes que la version 0.93.76 (septembre 1995), qui fut produite uniquement pour le format « i386 a.out ».
=item B<--nocheck>
@@ -168,7 +168,7 @@ Empêche les vérifications normales de B<dpkg-deb --build> quant au contenu pro
=item B<-v>, B<--verbose>
-Active l'affichage bavard (depuis S<dpkg 1.16.1).> Cela n'affecte actuellement que B<--extract> et le rend analogue à B<--vextract>.
+Active l'affichage bavard (depuis dpkg 1.16.1). Cela n'affecte actuellement que B<--extract> et le rend analogue à B<--vextract>.
=item B<-D>, B<--debug>
@@ -196,25 +196,29 @@ Erreur fatale ou irrécupérable due à l'utilisation d'une ligne de commande no
=item B<DPKG_DEB_THREADS_MAX>
-Fixe le nombre maximal de processus permis pour les compresseurs qui gèrent les opérations multi-threadées (depuis S<dpkg 1.21.9).>
+Fixe le nombre maximal de processus permis pour les compresseurs qui gèrent les opérations multi-threadées (depuis dpkg 1.21.9).
L'option B<--threads-max> outrepasse cette valeur.
=item B<DPKG_DEB_COMPRESSOR_TYPE>
-Définit le type de compresseur à utiliser (depuis S<dpkg 1.21.10).>
+Définit le type de compresseur à utiliser (depuis dpkg 1.21.10).
L'option B<-Z> outrepasse cette valeur.
=item B<DPKG_DEB_COMPRESSOR_LEVEL>
-Définit le niveau de compression à utiliser (depuis S<dpkg 1.21.10).>
+Définit le niveau de compression à utiliser (depuis dpkg 1.21.10).
L'option B<-z> outrepasse cette valeur.
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+
+=item B<DPKG_NLS>
+
+If set, it will be used to decide whether to activate Native Language Support, also known as internationalization (or i18n) support (since dpkg 1.22.7). The accepted values are: B<0> and B<1> (default).
=item B<TMPDIR>
diff --git a/man/fr/dpkg-distaddfile.pod b/man/fr/dpkg-distaddfile.pod
index 3d6bde8..f5dd9c8 100644
--- a/man/fr/dpkg-distaddfile.pod
+++ b/man/fr/dpkg-distaddfile.pod
@@ -52,11 +52,11 @@ Afficher le numéro de version puis quitter.
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=item B<DPKG_NLS>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis S<dpkg 1.19.0).> Les valeurs permises S<sont :> B<0> et B<1> (par défaut).
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis dpkg 1.19.0). Les valeurs permises sont : B<0> et B<1> (par défaut).
=back
diff --git a/man/fr/dpkg-divert.pod b/man/fr/dpkg-divert.pod
index 6795a0e..231998a 100644
--- a/man/fr/dpkg-divert.pod
+++ b/man/fr/dpkg-divert.pod
@@ -44,7 +44,7 @@ Liste tous les détournements, ou ceux qui correspondent à I<motif-global>.
=item B<--listpackage> I<fichier>
-Affiche le nom du paquet qui détourne I<fichier> (depuis S<dpkg 1.15.0).> Affiche LOCAL si I<fichier> est détourné localement et n'affiche rien si I<fichier> n'est pas détourné.
+Affiche le nom du paquet qui détourne I<fichier> (depuis dpkg 1.15.0). Affiche LOCAL si I<fichier> est détourné localement et n'affiche rien si I<fichier> n'est pas détourné.
=item B<--truename> I<fichier>
@@ -58,15 +58,15 @@ Affiche le vrai nom d'un fichier détourné.
=item B<--admindir> I<répertoire>
-Définit le répertoire d'administration comme I<répertoire>. Par défaut c'est S<« I<%ADMINDIR%> »> si B<DPKG_ADMINDIR> n'a pas été défini.
+Définit le répertoire d'administration comme I<répertoire>. Par défaut c'est « I<%ADMINDIR%> » si B<DPKG_ADMINDIR> n'a pas été défini.
=item B<--instdir> I<répertoire>
-Définit le répertoire d'installation qui désigne le répertoire où les paquets sont installés (depuis S<dpkg 1.19.2).> Par défaut c'est S<« I</> »> si B<DPKG_ROOT> n'a pas été défini.
+Définit le répertoire d'installation qui désigne le répertoire où les paquets sont installés (depuis dpkg 1.19.2). Par défaut c'est « I</> » si B<DPKG_ROOT> n'a pas été défini.
=item B<--root> I<répertoire>
-Définit le répertoire root à B<directory>, ce qui définit le répertoire d'installation à S<« I<répertoire> »> et le répertoire d'administration à S<« I<répertoire>B<%ADMINDIR%> »> (depuis S<dpkg 1.19.2)> si B<DPKG_ROOT> n'a pas été défini.
+Définit le répertoire root à B<directory>, ce qui définit le répertoire d'installation à « I<répertoire> » et le répertoire d'administration à « I<répertoire>B<%ADMINDIR%> » (depuis dpkg 1.19.2) si B<DPKG_ROOT> n'a pas été défini.
=item B<--divert> I<détourner-dans>
@@ -90,7 +90,7 @@ Met en fait le fichier de côté. Quand le fichier de destination existe, B<dpkg
=item B<--no-rename>
-Indique que le fichier ne doit pas être renommé lors de l'ajout ou du retrait d'un détournement de la base de données (depuis S<dpkg 1.19.1).> Cela est destiné au détournement de fichiers de l'ensemble de paquets B<essential>, où la disparition temporaire du fichier original n'est pas acceptable, car il rend non fonctionnel le système. C'est le comportement par défaut, mais cela changera durant le cycle de dpkg 1.20.x.
+Indique que le fichier ne doit pas être renommé lors de l'ajout ou du retrait d'un détournement de la base de données (depuis dpkg 1.19.1). Cela est destiné au détournement de fichiers de l'ensemble de paquets B<essential>, où la disparition temporaire du fichier original n'est pas acceptable, car il rend non fonctionnel le système. C'est le comportement par défaut, mais cela changera durant le cycle de dpkg 1.20.x.
=item B<--test>
@@ -126,7 +126,7 @@ Erreur fatale ou irrécupérable due à l'utilisation d'une ligne de commande no
=item B<DPKG_ROOT>
-Si cette variable est positionnée et que les options B<--admindir> ou B<--root> ne sont pas précisées, ce répertoire sera utilisé comme répertoire racine du système de fichiers (depuis S<dpkg 1.19.2).>
+Si cette variable est positionnée et que les options B<--admindir> ou B<--root> ne sont pas précisées, ce répertoire sera utilisé comme répertoire racine du système de fichiers (depuis dpkg 1.19.2).
=item B<DPKG_ADMINDIR>
@@ -138,11 +138,15 @@ Si cette variable est positionnée et que les options B<--local> et B<--package>
=item B<DPKG_DEBUG>
-Définit le masque de débogage (depuis S<dpkg 1.21.10)> à partir d'une valeur octale. Actuellement, les drapeaux acceptés sont décrits dans l'option B<dpkg --debug>, mais ces drapeaux n'auront pas tous un effet sur ce programme.
+Définit le masque de débogage (depuis dpkg 1.21.10) à partir d'une valeur octale. Actuellement, les drapeaux acceptés sont décrits dans l'option B<dpkg --debug>, mais ces drapeaux n'auront pas tous un effet sur ce programme.
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+
+=item B<DPKG_NLS>
+
+If set, it will be used to decide whether to activate Native Language Support, also known as internationalization (or i18n) support (since dpkg 1.22.7). The accepted values are: B<0> and B<1> (default).
=back
@@ -168,20 +172,20 @@ Care should be taken when diverting shared libraries, L<ldconfig(8)> creates a s
=head1 EXEMPLES
-Pour détourner toutes les copies de I</usr/bin/example> vers I</usr/bin/example.toto>, c'est-à-dire demander aux paquets qui fournissent I</usr/bin/example> de l'installer dans I</usr/bin/example.toto>, en effectuant le changement de nom si S<nécessaire :>
+Pour détourner toutes les copies de I</usr/bin/example> vers I</usr/bin/example.toto>, c'est-à-dire demander aux paquets qui fournissent I</usr/bin/example> de l'installer dans I</usr/bin/example.toto>, en effectuant le changement de nom si nécessaire :
dpkg-divert --divert /usr/bin/example.toto --rename /usr/bin/example
-Pour supprimer ce S<détournement :>
+Pour supprimer ce détournement :
dpkg-divert --rename --remove /usr/bin/example
-Pour détourner n'importe quel paquet qui veut installer I</usr/bin/example> dans I</usr/bin/example.toto>, sauf votre propre paquet S<I<wibble> :>
+Pour détourner n'importe quel paquet qui veut installer I</usr/bin/example> dans I</usr/bin/example.toto>, sauf votre propre paquet I<wibble> :
dpkg-divert --package wibble --divert /usr/bin/example.toto \
--rename /usr/bin/example
-Pour supprimer ce S<détournement :>
+Pour supprimer ce détournement :
dpkg-divert --package wibble --rename --remove /usr/bin/example
diff --git a/man/fr/dpkg-fsys-usrunmess.pod b/man/fr/dpkg-fsys-usrunmess.pod
index 18b0c21..615dc36 100644
--- a/man/fr/dpkg-fsys-usrunmess.pod
+++ b/man/fr/dpkg-fsys-usrunmess.pod
@@ -24,9 +24,9 @@ B<dpkg-fsys-usrunmess> [I<option>...]
B<dpkg-fsys-usrunmess> est un outil pour corriger les systèmes de fichiers qui ont été installés à nouveau avec les installateurs récents qui ont des valeurs par défaut fâcheuses ou migrés vers la disposition cassée de /usr fusionné au moyen d'alias de répertoires, ce qui B<n'est pas> pris en charge par dpkg. Voir la FAQ de dpkg.
-S<B<Note> :> le comité technique de Debian a décidé que dans la publication suivant Bookworm, la disposition sans fusion de /usr ne serait plus prise en charge et par conséquent, certains des responsables de paquet pourraient ne plus corriger les problèmes ou retirer de façon intentionnelle la prise en charge la disposition sans fusion, aussi vous devrez vous décider et choisir votre poison.
+B<Note> : le comité technique de Debian a décidé que dans la publication suivant Bookworm, la disposition sans fusion de /usr ne serait plus prise en charge et par conséquent, certains des responsables de paquet pourraient ne plus corriger les problèmes ou retirer de façon intentionnelle la prise en charge la disposition sans fusion, aussi vous devrez vous décider et choisir votre poison.
-Le programme réalisera les actions globales S<suivantes :>
+Le programme réalisera les actions globales suivantes :
=over
@@ -104,11 +104,11 @@ Désinscrire le B<policy-rc.d> et restaurer l'état des alternatives.
=back
-S<B<Note> :> Lors de l'exécution du programme à partir de certains interpréteurs tels que L<bash(1)> ou L<zsh(1)>, après exécution, vous devrez peut-être demander à l'interpréteur d'oublier tous les emplacements retenus d'exécutable avec par exemple la commande C<hash -r>.
+B<Note> : Lors de l'exécution du programme à partir de certains interpréteurs tels que L<bash(1)> ou L<zsh(1)>, après exécution, vous devrez peut-être demander à l'interpréteur d'oublier tous les emplacements retenus d'exécutable avec par exemple la commande C<hash -r>.
-S<B<Note> :> certains répertoires pourraient subsister après la migration au cas où ils contiennent des fichiers non suivis. Une liste est affichée une fois que le script s'est terminé pour une investigation plus approfondie.
+B<Note> : certains répertoires pourraient subsister après la migration au cas où ils contiennent des fichiers non suivis. Une liste est affichée une fois que le script s'est terminé pour une investigation plus approfondie.
-S<B<Attention> :> notez que cette opération peut potentiellement rendre le système inutilisable ou cassé en cas de plantage brutal, ou de redémarrage, d'état inattendu du système ou des bogues potentiel dans le script. Soyez prêt avec des médias de récupération et pensez à réaliser des sauvegarde au préalable.
+B<Attention> : notez que cette opération peut potentiellement rendre le système inutilisable ou cassé en cas de plantage brutal, ou de redémarrage, d'état inattendu du système ou des bogues potentiel dans le script. Soyez prêt avec des médias de récupération et pensez à réaliser des sauvegarde au préalable.
This program was introduced in dpkg 1.20.6.
diff --git a/man/fr/dpkg-genbuildinfo.pod b/man/fr/dpkg-genbuildinfo.pod
index a0e4a53..1ed1a73 100644
--- a/man/fr/dpkg-genbuildinfo.pod
+++ b/man/fr/dpkg-genbuildinfo.pod
@@ -34,7 +34,7 @@ This program was introduced in dpkg 1.18.11.
Indique un I<type> de construction à partir d'une liste séparée par des virgules de composants.
-Les valeurs autorisées S<sont :>
+Les valeurs autorisées sont :
=over
@@ -48,7 +48,7 @@ Génère les informations de construction comprenant les dépendances de constru
=item B<source>
-Effectivement S<ignoré :> génère les informations de construction avec seulement les dépendances de construction non qualifiées (B<Build-Depends>).
+Effectivement ignoré : génère les informations de construction avec seulement les dépendances de construction non qualifiées (B<Build-Depends>).
=item B<binary>
@@ -88,7 +88,7 @@ Cherche les fichiers à installer dans I<répertoire-des-fichiers-à-installer>
Par défaut le champ B<Build-Kernel-Version> ne sera pas écrit.
-Il faut préciser cette option (depuis S<dpkg 1.19.0)> pour toujours remplir un champ B<Build-Kernel-Version> lors de la création de B<.buildinfo>.
+Il faut préciser cette option (depuis dpkg 1.19.0) pour toujours remplir un champ B<Build-Kernel-Version> lors de la création de B<.buildinfo>.
=item B<--always-include-path>
@@ -122,15 +122,23 @@ Afficher le numéro de version puis quitter.
=item B<DEB_BUILD_OPTIONS>
-Cette variable peut être utilisée pour activer ou désactiver diverses fonctions qui affectent les informations comprises dans le fichier .buildinfo au moyen de l'option B<buildinfo> (depuis S<dpkg 1.18.19).> Cette option fournit une liste, séparée par des virgules, de fonctionnalités, préfixées par les modificateurs S<« B<+> »> ou S<« B<-> »> pour indiquer s'il faut les activer ou les désactiver. La fonction spéciale S<« B<all> »> peut être utilisée pour activer ou désactiver toutes les autres fonctions. La fonction S<« B<path> »> contrôle l'inclusion sans condition du champ B<Build-Path>.
+Cette variable peut être utilisée pour activer ou désactiver diverses fonctions qui affectent les informations comprises dans le fichier .buildinfo au moyen de l'option B<buildinfo> (depuis dpkg 1.18.19). Cette option fournit une liste, séparée par des virgules, de fonctionnalités, préfixées par les modificateurs « B<+> » ou « B<-> » pour indiquer s'il faut les activer ou les désactiver. La fonction spéciale « B<all> » peut être utilisée pour activer ou désactiver toutes les autres fonctions. La fonction « B<path> » contrôle l'inclusion sans condition du champ B<Build-Path>.
+
+=item B<DEB_BUILD_ARCH>
+
+Sets the build architecture. This affects the value for the B<Build-Architecture> field, and the check for the cross-compilation mode.
+
+=item B<DEB_HOST_ARCH>
+
+Sets the host architecture. This affects the filename used for the .buildinfo file, and the check for the cross-compilation mode.
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=item B<DPKG_NLS>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis S<dpkg 1.19.0).> Les valeurs permises S<sont :> B<0> et B<1> (par défaut).
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis dpkg 1.19.0). Les valeurs permises sont : B<0> et B<1> (par défaut).
=back
diff --git a/man/fr/dpkg-genchanges.pod b/man/fr/dpkg-genchanges.pod
index e4098c1..a991a87 100644
--- a/man/fr/dpkg-genchanges.pod
+++ b/man/fr/dpkg-genchanges.pod
@@ -14,7 +14,7 @@ If the PO get lost, keeping this translation up-to-date will be harder.
=head1 NOM
-dpkg-genchanges - Créer des fichiers S<« .changes ».>
+dpkg-genchanges - Créer des fichiers « .changes ».
=head1 SYNOPSIS
@@ -30,9 +30,9 @@ B<dpkg-genchanges> lit les informations à la fois dans une arborescence debian
=item B<--build=>I<type>
-Indique le I<type> de construction à partir d'une liste, séparée par des virgules, de composants (depuis S<dpkg 1.18.5).>
+Indique le I<type> de construction à partir d'une liste, séparée par des virgules, de composants (depuis dpkg 1.18.5).
-Les valeurs autorisées S<sont :>
+Les valeurs autorisées sont :
=over
@@ -60,11 +60,11 @@ Envoyer tout. C'est un alias de B<source,any,all> et identique au cas par défau
=item B<-g>
-Équivalent de B<--build=source,all> (depuis S<dpkg 1.17.11).>
+Équivalent de B<--build=source,all> (depuis dpkg 1.17.11).
=item B<-G>
-Équivalent de B<--build=source,any> (depuis S<dpkg 1.17.11).>
+Équivalent de B<--build=source,any> (depuis dpkg 1.17.11).
=item B<-b>
@@ -90,7 +90,7 @@ Les options B<-s>I<x> contrôlent si l'archive source d'origine est incluse dans
=item B<-si>
-Par défaut, ou quand l'option est indiquée, les sources d'origine sont incluses uniquement si le numéro de version majeur (c'est-à-dire la version sans les parties epoch et S<« révision> S<Debian »)> diffère de la version précédente indiquée dans le fichier de changelog.
+Par défaut, ou quand l'option est indiquée, les sources d'origine sont incluses uniquement si le numéro de version majeur (c'est-à-dire la version sans les parties epoch et « révision Debian ») diffère de la version précédente indiquée dans le fichier de changelog.
=item B<-sa>
@@ -98,23 +98,23 @@ Force l'inclusion des sources d'origine.
=item B<-sd>
-Force l'exclusion des sources d'origine et inclut seulement le S<« diff ».>
+Force l'exclusion des sources d'origine et inclut seulement le « diff ».
=item B<-v>I<version>
-Force l'utilisation des informations contenues dans le fichier S<« changelog »> et qui concernent toutes les versions strictement plus récentes que I<version>.
+Force l'utilisation des informations contenues dans le fichier « changelog » et qui concernent toutes les versions strictement plus récentes que I<version>.
=item B<-C>I<description-des-changements>
-Lit la description des changements dans le fichier I<description-des-changements> plutôt que dans le fichier S<« changelog »> de l'arborescence source.
+Lit la description des changements dans le fichier I<description-des-changements> plutôt que dans le fichier « changelog » de l'arborescence source.
=item B<-m>I<adresse-du-responsable>
-Utilise I<adresse-du-responsable> comme nom et adresse électronique du responsable de paquet plutôt que d'utiliser les informations contenues dans le fichier S<« control »> de l'arborescence source.
+Utilise I<adresse-du-responsable> comme nom et adresse électronique du responsable de paquet plutôt que d'utiliser les informations contenues dans le fichier « control » de l'arborescence source.
=item B<-e>I<adresse-du-responsable>
-Utilise I<adresse-du-responsable> comme nom et adresse électronique du responsable de paquet pour cette mise en place, plutôt que d'utiliser les informations contenues dans le fichier S<« changelog »> de l'arborescence source.
+Utilise I<adresse-du-responsable> comme nom et adresse électronique du responsable de paquet pour cette mise en place, plutôt que d'utiliser les informations contenues dans le fichier « changelog » de l'arborescence source.
=item B<-V>I<nom>B<=>I<valeur>
@@ -122,7 +122,7 @@ Set an output substitution variable. See L<deb-substvars(5)> for a discussion o
=item B<-T>I<fichier-substvars>
-Lecture des variables de substitution depuis I<fichier-substvars> ; la valeur par défaut est B<debian/substvars>. Aucune substitution de variable n'est faite sur les champs de sortie, sauf pour les contenus extraits de chaque champ B<Description> du paquet binaire (depuis S<dpkg 1.19.0),> cependant la variable spéciale I<Format> remplacera le champ qui porte le même nom. Cette option peut être utilisée plusieurs fois pour lire les variables de substitution depuis plusieurs fichiers (depuis S<dpkg 1.15.6).>
+Lecture des variables de substitution depuis I<fichier-substvars> ; la valeur par défaut est B<debian/substvars>. Aucune substitution de variable n'est faite sur les champs de sortie, sauf pour les contenus extraits de chaque champ B<Description> du paquet binaire (depuis dpkg 1.19.0), cependant la variable spéciale I<Format> remplacera le champ qui porte le même nom. Cette option peut être utilisée plusieurs fois pour lire les variables de substitution depuis plusieurs fichiers (depuis dpkg 1.15.6).
=item B<-D>I<champ>B<=>I<valeur>
@@ -158,7 +158,7 @@ B<dpkg-genchanges> affiche habituellement des messages d'information sur la sort
=item B<-O>[I<nom-de-fichier>]
-Affiche le fichier des modifications sur la sortie standard (par défaut) ou dans I<nom-de-fichier> s'il est indiqué (depuis S<dpkg 1.18.5).>
+Affiche le fichier des modifications sur la sortie standard (par défaut) ou dans I<nom-de-fichier> s'il est indiqué (depuis dpkg 1.18.5).
=item B<-?>, B<--help>
@@ -174,13 +174,17 @@ Afficher le numéro de version puis quitter.
=over
+=item B<DEB_HOST_ARCH>
+
+Sets the host architecture.
+
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=item B<DPKG_NLS>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis S<dpkg 1.19.0).> Les valeurs permises S<sont :> B<0> et B<1> (par défaut).
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis dpkg 1.19.0). Les valeurs permises sont : B<0> et B<1> (par défaut).
=back
diff --git a/man/fr/dpkg-gencontrol.pod b/man/fr/dpkg-gencontrol.pod
index 25af8d8..bc15e72 100644
--- a/man/fr/dpkg-gencontrol.pod
+++ b/man/fr/dpkg-gencontrol.pod
@@ -22,9 +22,9 @@ B<dpkg-gencontrol> [I<option>...]
=head1 DESCRIPTION
-B<dpkg-gencontrol> lit les informations contenues dans une arborescence Debian dépaquetée et crée le fichier S<« control »> d'un paquet binaire (par défaut, c'est le fichier debian/tmp/DEBIAN/control) ; durant cette action il y a simplification des champs de relations.
+B<dpkg-gencontrol> lit les informations contenues dans une arborescence Debian dépaquetée et crée le fichier « control » d'un paquet binaire (par défaut, c'est le fichier debian/tmp/DEBIAN/control) ; durant cette action il y a simplification des champs de relations.
-B<Pre-Depends>, B<Depends>, B<Recommends> et B<Suggests> sont simplifiés dans cet ordre pour supprimer les dépendances qui sont connues pour être vérifiées par la plus forte dépendance déjà traitée. Sont aussi supprimées toutes les auto-dépendances (dans les faits, cela supprime les dépendances qui sont déjà validées par la version du paquet déjà installé). Logiquement, il conserve les correspondances entre plusieurs dépendances dans le même paquet. L'ordre des dépendances est conservé du mieux S<possible :> si une dépendance doit être supprimée à cause d'une autre dépendance qui apparaît plus loin dans le champ, la dépendance remplaçante prendra la place de celle éliminée.
+B<Pre-Depends>, B<Depends>, B<Recommends> et B<Suggests> sont simplifiés dans cet ordre pour supprimer les dépendances qui sont connues pour être vérifiées par la plus forte dépendance déjà traitée. Sont aussi supprimées toutes les auto-dépendances (dans les faits, cela supprime les dépendances qui sont déjà validées par la version du paquet déjà installé). Logiquement, il conserve les correspondances entre plusieurs dépendances dans le même paquet. L'ordre des dépendances est conservé du mieux possible : si une dépendance doit être supprimée à cause d'une autre dépendance qui apparaît plus loin dans le champ, la dépendance remplaçante prendra la place de celle éliminée.
Les autres champs (B<Enhances>, B<Conflicts>, B<Breaks>, B<Replaces> et B<Provides>) sont également simplifiés individuellement par l'analyse des différentes dépendances lorsque un paquet est indiqué plusieurs fois dans le champ.
@@ -44,7 +44,7 @@ Set an output substitution variable. See L<deb-substvars(5)> for discussion of
=item B<-T>I<fichier-substvars>
-Lecture des variables de substitution depuis I<fichier-substvars> ; la valeur par défaut est B<debian/substvars>. Cette option peut être utilisée plusieurs fois pour lire les variables de substitution depuis plusieurs fichiers (depuis S<dpkg 1.15.6).>
+Lecture des variables de substitution depuis I<fichier-substvars> ; la valeur par défaut est B<debian/substvars>. Cette option peut être utilisée plusieurs fois pour lire les variables de substitution depuis plusieurs fichiers (depuis dpkg 1.15.6).
=item B<-D>I<champ>B<=>I<valeur>
@@ -76,7 +76,7 @@ Cette option produit les informations concernant le paquet binaire I<paquet>.Si
=item B<-n>I<nom-de-fichier>
-Le nom du paquet est I<nom-de-fichier> au lieu de S<l'habituel :> paquet_version_arch.deb.
+Le nom du paquet est I<nom-de-fichier> au lieu de l'habituel : paquet_version_arch.deb.
=item B<-is>, B<-ip>, B<-isp>
@@ -88,7 +88,7 @@ Analyse I<répertoire-construction-paquet> au lieu de B<debian/tmp>. Cette valeu
=item B<-O>[I<nom-de-fichier>]
-Affiche le fichier S<« control »> sur la sortie standard (ou I<nom-de-fichier>, depuis S<dpkg 1.17.2),> au lieu de B<debian/tmp/DEBIAN/control> (ou I<répertoire-construction-paquet>B</DEBIAN/control> si l'option B<-P> a été utilisée).
+Affiche le fichier « control » sur la sortie standard (ou I<nom-de-fichier>, depuis dpkg 1.17.2), au lieu de B<debian/tmp/DEBIAN/control> (ou I<répertoire-construction-paquet>B</DEBIAN/control> si l'option B<-P> a été utilisée).
=item B<-?>, B<--help>
@@ -104,13 +104,17 @@ Afficher le numéro de version puis quitter.
=over
+=item B<DEB_HOST_ARCH>
+
+Sets the host architecture.
+
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=item B<DPKG_NLS>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis S<dpkg 1.19.0).> Les valeurs permises S<sont :> B<0> et B<1> (par défaut).
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis dpkg 1.19.0). Les valeurs permises sont : B<0> et B<1> (par défaut).
=back
@@ -124,7 +128,7 @@ Le principal fichier d'information sur les sources ; il donne des renseignements
=item B<debian/files>
-La liste des fichiers créés qui font partie de ceux qui seront envoyés sur le serveur. B<dpkg-gencontrol> ajoute les noms présumés des fichiers des paquets binaires à partir des fichiers S<« control »> qu'il crée.
+La liste des fichiers créés qui font partie de ceux qui seront envoyés sur le serveur. B<dpkg-gencontrol> ajoute les noms présumés des fichiers des paquets binaires à partir des fichiers « control » qu'il crée.
=back
diff --git a/man/fr/dpkg-gensymbols.pod b/man/fr/dpkg-gensymbols.pod
index 510ff34..5c531db 100644
--- a/man/fr/dpkg-gensymbols.pod
+++ b/man/fr/dpkg-gensymbols.pod
@@ -24,7 +24,7 @@ B<dpkg-gensymbols> [I<option>...]
B<dpkg-gensymbols> analyse un répertoire temporaire de construction (par défaut debian/tmp), y recherche les bibliothèques et crée un fichier I<symbols> qui les décrit. Si ce fichier n'est pas vide, il est installé dans le sous-répertoire DEBIAN du répertoire de construction afin de pouvoir être inclus dans les informations de contrôle du paquet.
-Lors de la création de ces fichiers, il utilise en entrée certains fichiers de symboles fournis par le responsable. Il recherche les fichiers suivants (en utilisant le premier S<trouvé) :>
+Lors de la création de ces fichiers, il utilise en entrée certains fichiers de symboles fournis par le responsable. Il recherche les fichiers suivants (en utilisant le premier trouvé) :
=over
@@ -60,7 +60,7 @@ Les fichiers de symboles deviennent réellement utiles lorsqu'ils permettent de
Pour effectuer cette opération correctement, le fichier de différences indiqué dans le journal de construction peut être utilisé, mais en plus, le mainteneur doit s'assurer que le comportement de ces symboles n'a pas changé d'une manière qui pourrait faire que tout ce qui utilise ces symboles et qui est lié à la nouvelle version cesse de fonctionner avec l'ancienne version.
-Dans la plupart des cas, ce fichier de différences peut être appliqué tel quel au fichier debian/I<paquet>.symbols. Cela étant, quelques adaptations sont généralement S<nécessaires :> il est par exemple recommandé de retirer le numéro de révision Debian de la version minimale afin que les paquets rétro-portés, de numéro de version inférieur mais avec la même version amont continuent à répondre aux pré-requis. Si le numéro de révision Debian ne peut vraiment pas être retiré, car le nouveau symbole est la conséquence d'une modification propre à Debian, il est suggéré d'ajouter un suffixe S<« B<~> »> au numéro de version.
+Dans la plupart des cas, ce fichier de différences peut être appliqué tel quel au fichier debian/I<paquet>.symbols. Cela étant, quelques adaptations sont généralement nécessaires : il est par exemple recommandé de retirer le numéro de révision Debian de la version minimale afin que les paquets rétro-portés, de numéro de version inférieur mais avec la même version amont continuent à répondre aux pré-requis. Si le numéro de révision Debian ne peut vraiment pas être retiré, car le nouveau symbole est la conséquence d'une modification propre à Debian, il est suggéré d'ajouter un suffixe « B<~> » au numéro de version.
Avant d'appliquer le correctif au fichier de symboles, le responsable doit contrôler qu'il est correct. Les symboles publics sont supposés ne jamais disparaître et le correctif ne devrait donc qu'ajouter des lignes.
@@ -70,7 +70,7 @@ N'oubliez pas de vérifier si les anciennes versions des symboles ne doivent pas
=head2 Bonnes pratiques de gestion des bibliothèques
-Une bibliothèque bien maintenue offre les possibilités S<suivantes :>
+Une bibliothèque bien maintenue offre les possibilités suivantes :
=over
@@ -112,7 +112,7 @@ Only analyze libraries explicitly listed instead of finding all public libraries
=item B<-l>I<répertoire>
-Ajoute I<répertoire> au début de la liste des répertoires où chercher des bibliothèques partagées privées (depuis S<dpkg 1.19.1).> Cette option peut être utilisée plusieurs fois.
+Ajoute I<répertoire> au début de la liste des répertoires où chercher des bibliothèques partagées privées (depuis dpkg 1.19.1). Cette option peut être utilisée plusieurs fois.
B<Note>: Use this option instead of setting B<LD_LIBRARY_PATH>, as that environment variable is used to control the run-time linker and abusing it to set the shared library paths at build-time can be problematic when cross-compiling for example.
@@ -134,23 +134,23 @@ Définit les contrôles à effectuer lors de la comparaison du fichier de symbol
=over
-=item S<Niveau 0>
+=item Niveau 0
Sans échec.
-=item S<Niveau 1>
+=item Niveau 1
Échoue si certains symboles ont disparu.
-=item S<Niveau 2>
+=item Niveau 2
Échoue si de nouveaux symboles ont été ajoutés.
-=item S<Niveau 3>
+=item Niveau 3
Échoue si certaines bibliothèques ont disparu.
-=item S<Niveau 4>
+=item Niveau 4
Échoue si des bibliothèques ont été ajoutées.
@@ -188,17 +188,21 @@ Afficher le numéro de version puis quitter.
=over
+=item B<DEB_HOST_ARCH>
+
+Sets the host architecture if the B<--arch> option has not be specified.
+
=item B<DPKG_GENSYMBOLS_CHECK_LEVEL>
Remplace le niveau de vérification de commande, même si l'argument en ligne de commande B<-c> a été donné (notez que cela va à l'encontre de la convention générale qui veut que les arguments en ligne de commande ont la préséance sur les variables d'environnement).
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=item B<DPKG_NLS>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis S<dpkg 1.19.0).> Les valeurs permises S<sont :> B<0> et B<1> (par défaut).
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis dpkg 1.19.0). Les valeurs permises sont : B<0> et B<1> (par défaut).
=back
diff --git a/man/fr/dpkg-maintscript-helper.pod b/man/fr/dpkg-maintscript-helper.pod
index 33bb0b3..4d6867a 100644
--- a/man/fr/dpkg-maintscript-helper.pod
+++ b/man/fr/dpkg-maintscript-helper.pod
@@ -62,7 +62,7 @@ Par exemple, pour un fichier de configuration supprimé dans la version B<2.0-1>
=item I<paquet>
-Le nom du paquet propriétaire du (des) nom(s) de chemin. Si le paquet est S<« Multi-Arch:> S<same »> ce paramètre doit inclure le type d'architecture, sinon, il ne devrait B<pas> habituellement inclure le type d'architecture (parce qu'il pourrait interdire les catégories croisées, ou le passage d'une architecture spécifique à l'architecture B<all> ou vice-versa). Si le paramètre est vide ou omis, les variables d'environnement B<DPKG_MAINTSCRIPT_PACKAGE> et B<DPKG_MAINTSCRIPT_ARCH> (telles que définies par B<dpkg> lors de l'exécution des scripts du responsable) seront utilisées pour créer un nom de paquet avec une qualification d'architecture.
+Le nom du paquet propriétaire du (des) nom(s) de chemin. Si le paquet est « Multi-Arch: same » ce paramètre doit inclure le type d'architecture, sinon, il ne devrait B<pas> habituellement inclure le type d'architecture (parce qu'il pourrait interdire les catégories croisées, ou le passage d'une architecture spécifique à l'architecture B<all> ou vice-versa). Si le paramètre est vide ou omis, les variables d'environnement B<DPKG_MAINTSCRIPT_PACKAGE> et B<DPKG_MAINTSCRIPT_ARCH> (telles que définies par B<dpkg> lors de l'exécution des scripts du responsable) seront utilisées pour créer un nom de paquet avec une qualification d'architecture.
=item B<-->
@@ -82,7 +82,7 @@ B<Note>: This can be replaced in most cases by the C<remove-on-upgrade> flag in
If a conffile is completely removed, it should be removed from disk, unless the user has modified it. If there are local modifications, they should be preserved. If the package upgrade aborts, the newly obsolete conffile should not disappear.
-L'ensemble de ces pré-requis est mis en œuvre en utilisant les commandes shell suivantes dans les scripts B<preinst>, B<postinst> et S<B<postrm> :>
+L'ensemble de ces pré-requis est mis en œuvre en utilisant les commandes shell suivantes dans les scripts B<preinst>, B<postinst> et B<postrm> :
=over
@@ -94,13 +94,13 @@ Z<>
I<fichier-de-configuration> est le nom du fichier de configuration à supprimer.
-Détails de la mise en œuvre S<actuelle :> dans le script B<preinst>, il est vérifié si le fichier de configuration a été modifié. Celui-ci est alors renommé, soit en I<fichier-de-configuration>B<.dpkg-remove> s'il n'a pas été modifié, soit en I<fichier-de-configuration>B<.dpkg-backup> s'il l'a été. Dans le script B<postinst>, ce dernier fichier est ensuite renommé en I<fichier-de-configuration>B<.dpkg-bak> et conservé pour référence puisqu'il contient des modifications locales, mais le premier est supprimé. Si la mise à jour du paquet est interrompue, le script B<postrm> remet en place le fichier de configuration d'origine. À la purge du paquet, le script B<postrm> supprimera également le fichier B<.dpkg-bak> qui avait été conservé jusque là.
+Détails de la mise en œuvre actuelle : dans le script B<preinst>, il est vérifié si le fichier de configuration a été modifié. Celui-ci est alors renommé, soit en I<fichier-de-configuration>B<.dpkg-remove> s'il n'a pas été modifié, soit en I<fichier-de-configuration>B<.dpkg-backup> s'il l'a été. Dans le script B<postinst>, ce dernier fichier est ensuite renommé en I<fichier-de-configuration>B<.dpkg-bak> et conservé pour référence puisqu'il contient des modifications locales, mais le premier est supprimé. Si la mise à jour du paquet est interrompue, le script B<postrm> remet en place le fichier de configuration d'origine. À la purge du paquet, le script B<postrm> supprimera également le fichier B<.dpkg-bak> qui avait été conservé jusque là.
=head2 Renommer un fichier de configuration
Si un fichier de configuration est déplacé à un autre endroit, il est nécessaire de garantir la préservation des modifications locales. À première vue, cela peut sembler être une simple modification dans le script B<preinst>, mais cela risque de résulter en une demande, par B<dpkg>, d'approbation de modifications locales qui n'existent pas réellement.
-Un renommage élégant peut être mis en œuvre avec les extraits shell qui suivent, dans les scripts B<preinst>, B<postinst> et S<B<postrm> :>
+Un renommage élégant peut être mis en œuvre avec les extraits shell qui suivent, dans les scripts B<preinst>, B<postinst> et B<postrm> :
=over
@@ -113,7 +113,7 @@ Z<>
I<ancien-fichier-configuration> et I<nouveau-fichier-configuration> sont l'ancien et le nouveau nom du fichier de configuration à renommer.
-Détails de la mise en œuvre S<actuelle :> dans le script B<preinst>, il est vérifié si le fichier de configuration a été modifié. Celui-ci est alors soit laissé en place s'il a été modifié, soit renommé en I<ancien-fichier-configuration>B<.dpkg-remove> s'il ne l'a pas été. Lors de la configuration, le script B<postinst> supprime I<ancien-fichier-configuration>B<.dpkg-remove> et renomme I<ancien-fichier-configuration> et I<nouveau-fichier-configuration> si I<ancien-fichier-configuration> existe toujours. Si la mise à jour ou l'installation sont interrompues, le script B<postrm> renomme I<ancien-fichier-configuration>B<.dpkg-remove> en I<ancien-fichier-configuration> si c'est indispensable.
+Détails de la mise en œuvre actuelle : dans le script B<preinst>, il est vérifié si le fichier de configuration a été modifié. Celui-ci est alors soit laissé en place s'il a été modifié, soit renommé en I<ancien-fichier-configuration>B<.dpkg-remove> s'il ne l'a pas été. Lors de la configuration, le script B<postinst> supprime I<ancien-fichier-configuration>B<.dpkg-remove> et renomme I<ancien-fichier-configuration> et I<nouveau-fichier-configuration> si I<ancien-fichier-configuration> existe toujours. Si la mise à jour ou l'installation sont interrompues, le script B<postrm> renomme I<ancien-fichier-configuration>B<.dpkg-remove> en I<ancien-fichier-configuration> si c'est indispensable.
=head1 SUBSTITUTIONS DE LIENS SYMBOLIQUES ET DE RÉPERTOIRES
@@ -125,7 +125,7 @@ B<Note>: The symlinks and directories created during these switches need to be s
Si un lien symbolique est substitué à un répertoire réel, il est nécessaire de garantir qu'avant le dépaquetage le lien symbolique est retiré. À première vue, cela peut sembler être une simple modification dans le script B<preinst>, mais cela risque de résulter en problèmes si l'administrateur local a personnalisé le lien symbolique ou si l'on revient à une version antérieure du paquet.
-Un renommage élégant peut être mis en œuvre avec les extraits shell qui suivent, dans les scripts B<preinst>, B<postinst> et S<B<postrm> :>
+Un renommage élégant peut être mis en œuvre avec les extraits shell qui suivent, dans les scripts B<preinst>, B<postinst> et B<postrm> :
=over
@@ -137,13 +137,13 @@ Z<>
I<nom-de-chemin> est le nom absolu de l'ancien lien symbolique (le chemin sera un répertoire à la fin de l'installation) et I<ancienne-cible> la cible de l'ancien lien symbolique vers I<nom-de-chemin>. Cela peut être un chemin absolu ou relatif vers le répertoire contenant I<nom-de-chemin>.
-Détails de la mise en œuvre S<actuelle :> dans le script B<preinst>, il est vérifié si le lien symbolique existe et pointe vers I<ancienne-cible>. Si ce n'est pas le cas, il est alors soit laissé en place, soit renommé en I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup>. Lors de la configuration, le script B<postinst> supprime I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup> si I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup> est encore un lien symbolique. Si la mise à niveau ou l'installation sont interrompues, le script B<postrm> renomme I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup> en I<nom-de-chemin> si c'est indispensable.
+Détails de la mise en œuvre actuelle : dans le script B<preinst>, il est vérifié si le lien symbolique existe et pointe vers I<ancienne-cible>. Si ce n'est pas le cas, il est alors soit laissé en place, soit renommé en I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup>. Lors de la configuration, le script B<postinst> supprime I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup> si I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup> est encore un lien symbolique. Si la mise à niveau ou l'installation sont interrompues, le script B<postrm> renomme I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup> en I<nom-de-chemin> si c'est indispensable.
=head2 Substituer un répertoire à un lien symbolique
Si un répertoire réel est substitué à un lien symbolique, il est nécessaire de garantir qu'avant le dépaquetage le répertoire est retiré. À première vue, cela peut sembler être une simple modification dans le script B<preinst>, mais cela risque de résulter en problèmes si le répertoire contient des fichiers de configuration, des noms de chemins qui appartiennent à d'autres paquets, des noms de chemin créés localement ou si l'on revient à une version antérieure du paquet.
-Une substitution élégante peut être mise en œuvre avec les extraits shell qui suivent, dans les scripts B<preinst>, B<postinst> et S<B<postrm> :>
+Une substitution élégante peut être mise en œuvre avec les extraits shell qui suivent, dans les scripts B<preinst>, B<postinst> et B<postrm> :
=over
@@ -155,13 +155,13 @@ Z<>
I<nom-de-chemin> est le nom absolu de l'ancien répertoire (le chemin sera un lien symbolique à la fin de l'installation) et I<nouvelle-cible> la cible du nouveau lien symbolique vers I<nom-de-chemin>. Cela peut être un chemin absolu ou relatif vers le répertoire contenant I<nom-de-chemin>.
-Détails de la mise en œuvre S<actuelle :> dans le script B<preinst>, il est vérifié si le répertoire existe et ne contient pas de fichiers de configuration, de noms de chemin qui appartiennent à d'autres paquets, de noms de chemin créés localement. Si ce n'est pas le cas, il est alors soit laissé en place, soit renommé en I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup> et un répertoire vide provisoire nommé I<nom-de-chemin> est créé, marqué par un fichier pour que dpkg le suive. Lors de la configuration, le script B<postinst> achève la substitution si I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup> est encore un répertoire et si I<nom-de-chemin> est le répertoire provisoire. Il supprime le fichier qui marque le fichier provisoire et déplace les fichiers nouvellement créés dans le répertoire provisoire vers la cible du lien symbolique I<nouvelle-cible>, remplace le répertoire provisoire I<nom-de-chemin>, maintenant vide, par un lien symbolique vers la I<nouvelle-cible> et, enfin supprime I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup>. Si la mise à niveau ou l'installation sont interrompues, le script B<postrm> renomme I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup> en I<nom-de-chemin> si c'est indispensable.
+Détails de la mise en œuvre actuelle : dans le script B<preinst>, il est vérifié si le répertoire existe et ne contient pas de fichiers de configuration, de noms de chemin qui appartiennent à d'autres paquets, de noms de chemin créés localement. Si ce n'est pas le cas, il est alors soit laissé en place, soit renommé en I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup> et un répertoire vide provisoire nommé I<nom-de-chemin> est créé, marqué par un fichier pour que dpkg le suive. Lors de la configuration, le script B<postinst> achève la substitution si I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup> est encore un répertoire et si I<nom-de-chemin> est le répertoire provisoire. Il supprime le fichier qui marque le fichier provisoire et déplace les fichiers nouvellement créés dans le répertoire provisoire vers la cible du lien symbolique I<nouvelle-cible>, remplace le répertoire provisoire I<nom-de-chemin>, maintenant vide, par un lien symbolique vers la I<nouvelle-cible> et, enfin supprime I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup>. Si la mise à niveau ou l'installation sont interrompues, le script B<postrm> renomme I<nom-de-chemin>B<.dpkg-backup> en I<nom-de-chemin> si c'est indispensable.
=head1 INTÉGRATION DANS LES PAQUETS
When using a packaging helper, please check if it has native B<dpkg-maintscript-helper> integration, which might make your life easier. See for example L<dh_installdeb(1)>.
-Comme B<dpkg-maintscript-helper> est utilisé dans le script B<preinst>, l'utiliser sans conditions impose une pré-dépendance afin de garantir que la version minimale nécessaire de B<dpkg> ait bien été préalablement configurée. La version minimale dépend de la commande S<utilisée :> ainsi pour B<rm_conffile> et B<mv_conffile>, cette version est 1.15.7.2, pour B<symlink_to_dir> et B<dir_to_symlink>, c'est S<1.17.14 :>
+Comme B<dpkg-maintscript-helper> est utilisé dans le script B<preinst>, l'utiliser sans conditions impose une pré-dépendance afin de garantir que la version minimale nécessaire de B<dpkg> ait bien été préalablement configurée. La version minimale dépend de la commande utilisée : ainsi pour B<rm_conffile> et B<mv_conffile>, cette version est 1.15.7.2, pour B<symlink_to_dir> et B<dir_to_symlink>, c'est 1.17.14 :
=over
@@ -169,7 +169,7 @@ Comme B<dpkg-maintscript-helper> est utilisé dans le script B<preinst>, l'utili
=back
-Cependant, dans de nombreux cas, l'opération réalisée par le programme n'est pas critique pour le paquet et au lieu d'utiliser une pré-dépendance, il est possible de ne lancer le programme que si on a la certitude que la commande nécessaire est gérée par la version actuellement installée de S<B<dpkg> :>
+Cependant, dans de nombreux cas, l'opération réalisée par le programme n'est pas critique pour le paquet et au lieu d'utiliser une pré-dépendance, il est possible de ne lancer le programme que si on a la certitude que la commande nécessaire est gérée par la version actuellement installée de B<dpkg> :
=over
@@ -196,7 +196,7 @@ Si cette variable est positionnée, ce répertoire sera utilisé comme répertoi
=item B<DPKG_COLORS>
-Fixe le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.19.1).> Les valeurs admises actuellement sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Fixe le mode de couleur (depuis dpkg 1.19.1). Les valeurs admises actuellement sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=back
diff --git a/man/fr/dpkg-mergechangelogs.pod b/man/fr/dpkg-mergechangelogs.pod
index f76db53..bb2772c 100644
--- a/man/fr/dpkg-mergechangelogs.pod
+++ b/man/fr/dpkg-mergechangelogs.pod
@@ -22,9 +22,9 @@ B<dpkg-mergechangelogs> [I<option>...] I<ancien> I<nouveau-a> I<nouveau-b> [I<so
=head1 DESCRIPTION
-Ce programme utilise les 3 versions fournies de journal des modifications S<(« changelog »)> Debian pour créer un fichier de journalisation fusionné. Le résultat est placé dans le fichier I<sortie> ou affiché sur la sortie standard si ce paramètre est omis.
+Ce programme utilise les 3 versions fournies de journal des modifications (« changelog ») Debian pour créer un fichier de journalisation fusionné. Le résultat est placé dans le fichier I<sortie> ou affiché sur la sortie standard si ce paramètre est omis.
-Chaque entrée est identifiée par son numéro de version. Les entrées ne sont pas censées entrer en conflit, mais sont simplement fusionnées dans le bon ordre (par numéro de version décroissant). Si l'option B<--merge-prereleases> est utilisée, la partie de numéro de version qui suit le dernier caractère tilde est omise ; les versions 1.0-1~exp1 et 1.0-1~exp5 sont ainsi considérées comme la même entrée. Quand la même version est mentionnée dans I<nouveau-a> et I<nouveau-b>, une fusion S<« 3-way »> standard est tentée (sous réserve que le module Algorithm::Merge soit disponible — il est fourni par le paquet libalgorithm-merge-perl. Dans le cas contraire, un conflit global est créé dans le contexte de cette entrée.
+Chaque entrée est identifiée par son numéro de version. Les entrées ne sont pas censées entrer en conflit, mais sont simplement fusionnées dans le bon ordre (par numéro de version décroissant). Si l'option B<--merge-prereleases> est utilisée, la partie de numéro de version qui suit le dernier caractère tilde est omise ; les versions 1.0-1~exp1 et 1.0-1~exp5 sont ainsi considérées comme la même entrée. Quand la même version est mentionnée dans I<nouveau-a> et I<nouveau-b>, une fusion « 3-way » standard est tentée (sous réserve que le module Algorithm::Merge soit disponible — il est fourni par le paquet libalgorithm-merge-perl. Dans le cas contraire, un conflit global est créé dans le contexte de cette entrée.
This program was introduced in dpkg 1.15.7.
@@ -34,9 +34,9 @@ This program was introduced in dpkg 1.15.7.
=item B<--merge-unreleased>
-Ignorer le numéro de version quand les entrées sont marquées B<UNRELEASED> (depuis S<dpkg 1.21.0).>
+Ignorer le numéro de version quand les entrées sont marquées B<UNRELEASED> (depuis dpkg 1.21.0).
-C'est utile lorsqu'il y a des développements divergents pour des versions qui n'ont pas encore été publiées. Par exemple, une fois 2.1-1 publiée, le développement de la nouvelle version 2.2-1 arrive puis celui de la version 2.3-1, alors il est raisonnable d'aboutir finalement à une entrée consolidée de 2.3-1 intégrant tout le développement effectué S<dans 2.2-1.>
+C'est utile lorsqu'il y a des développements divergents pour des versions qui n'ont pas encore été publiées. Par exemple, une fois 2.1-1 publiée, le développement de la nouvelle version 2.2-1 arrive puis celui de la version 2.3-1, alors il est raisonnable d'aboutir finalement à une entrée consolidée de 2.3-1 intégrant tout le développement effectué dans 2.2-1.
=item B<-m>, B<--merge-prereleases>
@@ -60,11 +60,11 @@ Afficher le numéro de version puis quitter.
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=item B<DPKG_NLS>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis S<dpkg 1.19.0).> Les valeurs permises S<sont :> B<0> et B<1> (par défaut).
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis dpkg 1.19.0). Les valeurs permises sont : B<0> et B<1> (par défaut).
=back
@@ -74,13 +74,13 @@ Anything that is not parsed by L<Dpkg::Changelog> is lost during the merge. This
=head1 INTÉGRATION AVEC GIT
-Si vous souhaitez utiliser ce programme pour fusionner des journaux de modifications Debian dans un dépôt git, vous devez tout d'abord enregistrer un nouveau pilote de fusion dans B<.git/config> ou S<B<~/.gitconfig> :>
+Si vous souhaitez utiliser ce programme pour fusionner des journaux de modifications Debian dans un dépôt git, vous devez tout d'abord enregistrer un nouveau pilote de fusion dans B<.git/config> ou B<~/.gitconfig> :
[merge "dpkg-mergechangelogs"]
name = debian/changelog merge driver
driver = dpkg-mergechangelogs -m %O %A %B %A
-Vous devez ensuite configurer l'attribut de fusion pour le fichier debian/changelog, soit dans B<.gitattributes> du dépôt lui-même, soit dans S<B<.git/info/attributes> :>
+Vous devez ensuite configurer l'attribut de fusion pour le fichier debian/changelog, soit dans B<.gitattributes> du dépôt lui-même, soit dans B<.git/info/attributes> :
debian/changelog merge=dpkg-mergechangelogs
diff --git a/man/fr/dpkg-name.pod b/man/fr/dpkg-name.pod
index ad7c54d..1d6f037 100644
--- a/man/fr/dpkg-name.pod
+++ b/man/fr/dpkg-name.pod
@@ -22,7 +22,7 @@ B<dpkg-name> [I<option>...] [B<-->] I<fichier>...
=head1 DESCRIPTION
-Cette page de manuel documente le programme B<dpkg-name> qui fournit une façon simple de redonner aux paquets B<Debian> leur nom complet. Ce nom consiste en une chaîne I<paquet>B<_>I<version>B<_>I<architecture>B<.>I<type-de-paquet> telle qu'elle est indiquée dans le fichier S<« control »> du paquet. La partie I<version> du nom est composée d'informations sur la version originelle qui peuvent ou non être suivies d'un trait d'union et d'informations sur la révision. La partie I<type-de-paquet> provient de ce champ s'il existe. La valeur par défaut est B<deb>.
+This manual page documents the B<dpkg-name> program which provides an easy way to rename B<Debian> packages into their full package names. A full package name consists of I<package>B<_>I<version>B<_>I<architecture>B<.>I<package-type> as specified in the control file of the package. The I<version> part of the filename consists of the upstream version information optionally followed by a hyphen and the revision information. The I<package-type> part comes from that field if present or will fall back to B<deb>.
=head1 OPTIONS
@@ -42,7 +42,7 @@ Remplace des fichiers existants s'ils ont le même nom que le fichier de destina
=item B<-s>, B<--subdir> [I<rep>]
-Met les fichiers dans un sous-répertoire. Si le répertoire donné en paramètre existe, les fichiers sont déplacés dans ce répertoire ; sinon le répertoire cible, extrait du champ S<« section »> que contient la partie contrôle du paquet, sera S<« unstable/binary-I<architecture>/I<section> ».> Quand aucune information sur la section n'est trouvée dans le fichier S<« control »,> la section est supposée être B<no-section>. Dans ce cas, ainsi que si la section est B<non-free> ou B<contrib>, le répertoire cible est S<« I<section>/binary-I<architecture> ».> Le champ S<« section »> est facultatif ; aussi beaucoup de paquets sont dans la zone S<« no-section ».>
+Met les fichiers dans un sous-répertoire. Si le répertoire donné en paramètre existe, les fichiers sont déplacés dans ce répertoire ; sinon le répertoire cible, extrait du champ « section » que contient la partie contrôle du paquet, sera « unstable/binary-I<architecture>/I<section> ». Quand aucune information sur la section n'est trouvée dans le fichier « control », la section est supposée être B<no-section>. Dans ce cas, ainsi que si la section est B<non-free> ou B<contrib>, le répertoire cible est « I<section>/binary-I<architecture> ». Le champ « section » est facultatif ; aussi beaucoup de paquets sont dans la zone « no-section ».
B<Warning>: Use this option with care, it is messy.
@@ -66,13 +66,17 @@ Afficher le numéro de version puis quitter.
=over
+=item B<DEB_HOST_ARCH>
+
+Sets the host architecture. This affects the architecture name used in the package filename.
+
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=item B<DPKG_NLS>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis S<dpkg 1.19.0).> Les valeurs permises S<sont :> B<0> et B<1> (par défaut).
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis dpkg 1.19.0). Les valeurs permises sont : B<0> et B<1> (par défaut).
=back
diff --git a/man/fr/dpkg-parsechangelog.pod b/man/fr/dpkg-parsechangelog.pod
index 5bbdcd7..437d830 100644
--- a/man/fr/dpkg-parsechangelog.pod
+++ b/man/fr/dpkg-parsechangelog.pod
@@ -22,7 +22,7 @@ B<dpkg-parsechangelog> [I<option>...]
=head1 DESCRIPTION
-B<dpkg-parsechangelog> lit et fait l'analyse du fichier S<« changelog »> d'une arborescence source dépaquetée et affiche les informations qu'il contient sur la sortie standard et sous une forme lisible par la machine.
+B<dpkg-parsechangelog> lit et fait l'analyse du fichier « changelog » d'une arborescence source dépaquetée et affiche les informations qu'il contient sur la sortie standard et sous une forme lisible par la machine.
=head1 OPTIONS
@@ -30,7 +30,7 @@ B<dpkg-parsechangelog> lit et fait l'analyse du fichier S<« changelog »> d'une
=item B<-l>, B<--file> I<fichier-des-changements>
-Indique le fichier des changements où trouver des renseignements. Un S<« - »> peut être utilisé pour spécifier une lecture à partir de l'entrée standard. Par défaut, c'est le fichier B<debian/changelog>.
+Indique le fichier des changements où trouver des renseignements. Un « - » peut être utilisé pour spécifier une lecture à partir de l'entrée standard. Par défaut, c'est le fichier B<debian/changelog>.
=item B<-F> I<format-du-fichier-des-changements>
@@ -38,11 +38,11 @@ Specifies the format of the changelog. By default the format is read from a spe
=item B<-L> I<rep_lib>
-Option obsolète sans effet (depuis S<dpkg 1.18.8).> Fixer les variables d'environnement de Perl B<PERL5LIB> ou B<PERLLIB> a un effet similaire lors de la recherche des modules d'analyse de Perl.
+Option obsolète sans effet (depuis dpkg 1.18.8). Fixer les variables d'environnement de Perl B<PERL5LIB> ou B<PERLLIB> a un effet similaire lors de la recherche des modules d'analyse de Perl.
=item B<-S>, B<--show-field> I<champ>
-Indique le nom du champ à afficher (depuis S<dpkg 1.17.0).> Le nom du champ n'est pas affiché, mais seulement sa valeur.
+Indique le nom du champ à afficher (depuis dpkg 1.17.0). Le nom du champ n'est pas affiché, mais seulement sa valeur.
=item B<-?>, B<--help>
@@ -56,7 +56,7 @@ Afficher le numéro de version puis quitter.
=head2 Options de filtrage
-Les options suivantes peuvent être utilisées pour influencer la sortie de l'analyseur du journal des modifications S<(« changelog »),> par exemple la gamme d'entrées ou le format de sortie.
+Les options suivantes peuvent être utilisées pour influencer la sortie de l'analyseur du journal des modifications (« changelog »), par exemple la gamme d'entrées ou le format de sortie.
=over
@@ -92,15 +92,15 @@ The date of the entry as a string, as it appears in the changelog. With a L<str
=item B<Timestamp:> I<horodatage>
-La date de l'entrée comme horodatage en secondes depuis S<« l'epoch »> (depuis dpkg 1.18.8).
+La date de l'entrée comme horodatage en secondes depuis « l'epoch » (depuis dpkg 1.18.8).
=item B<Closes:> I<numéro-bogue>
-Les champs S<« Closes »> de toutes les entrées incluses sont fusionnés.
+Les champs « Closes » de toutes les entrées incluses sont fusionnés.
=item B<Changes:> I<entrées-du-fichier-des-changements>
-Les textes de toutes les entrées de changelog sont concaténés. Pour faire de ce champ un champ de contrôle Debian valable, les lignes multiples qui sont vides sont remplacées par un point S<B<« . »>> et toutes les lignes sont indentées par une seule espace. Le contenu exact dépend du format du changelog.
+Les textes de toutes les entrées de changelog sont concaténés. Pour faire de ce champ un champ de contrôle Debian valable, les lignes multiples qui sont vides sont remplacées par un point B<« . »> et toutes les lignes sont indentées par une seule espace. Le contenu exact dépend du format du changelog.
=back
@@ -112,7 +112,7 @@ Le format B<rfc822> utilise les mêmes champs mais le résultat est un paragraph
=item B<--reverse>
-Inclut toutes les modifications en ordre inverse (depuis S<dpkg 1.19.1).>
+Inclut toutes les modifications en ordre inverse (depuis dpkg 1.19.1).
B<Note>: For the B<dpkg> format the first entry will be the most ancient entry.
@@ -154,7 +154,7 @@ Modifie le point de départ pour B<--count>, à compter du début (ou la fin si
Il est possible d'utiliser un format différent de celui utilisé habituellement, en fournissant un analyseur pour le format alternatif.
-Afin que B<dpkg-parsechangelog> utilise le nouvel analyseur, il doit exister une ligne, parmi les 40 dernières du fichier, qui corresponde à l'expression régulière Perl “B<\schangelog-format:\s+([0-9a-z]+)\W> (la partie entre parenthèses doit être le nom du format). S<Exemple :>
+Afin que B<dpkg-parsechangelog> utilise le nouvel analyseur, il doit exister une ligne, parmi les 40 dernières du fichier, qui corresponde à l'expression régulière Perl “B<\schangelog-format:\s+([0-9a-z]+)\W> (la partie entre parenthèses doit être le nom du format). Exemple :
=over
@@ -162,7 +162,7 @@ Afin que B<dpkg-parsechangelog> utilise le nouvel analyseur, il doit exister une
=back
-Les noms de formats de journaux de modifications sont des chaînes non vides de caractères alphanumériques en minuscules S<(« a-z0-9 »).>
+Les noms de formats de journaux de modifications sont des chaînes non vides de caractères alphanumériques en minuscules (« a-z0-9 »).
Si une telle ligne existe, B<dpkg-parsechangelog> recherchera l'analyseur sous le nom du module Perl B<Dpkg::Changelog::>I<autreformat> ; s'il n'est pas présent, c'est une condition d'erreur. Le nom de l'analyseur dans le module Perl sera automatiquement mis en capitale. Le format de journaux de modifications par défaut est B<debian> et un analyseur pour ce format est fourni par défaut.
@@ -188,11 +188,11 @@ Analyse des options courtes avec des valeurs non-groupées, disponible seulement
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=item B<DPKG_NLS>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis S<dpkg 1.19.0).> Les valeurs permises S<sont :> B<0> et B<1> (par défaut).
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis dpkg 1.19.0). Les valeurs permises sont : B<0> et B<1> (par défaut).
=back
diff --git a/man/fr/dpkg-query.pod b/man/fr/dpkg-query.pod
index 0afa794..4fe8f63 100644
--- a/man/fr/dpkg-query.pod
+++ b/man/fr/dpkg-query.pod
@@ -30,7 +30,7 @@ B<dpkg-query> est un outil pour afficher des informations sur les paquets connus
=item B<-l>, B<--list> [I<motif-de-nom-de-paquet>...]
-Affiche les paquets correspondant à un ou plusieurs motifs, quelque soit leur statut, ce qui comprend tout paquet réel ou virtuel référencé dans tout champ de relation de dépendance (tel que B<Breaks>, B<Enhances>, etc.). Si aucun I<motif-de-nom-de-paquet> n'est indiqué, affiche tous les paquets de I<%ADMINDIR%/status>, sauf ceux qui ne sont pas installés (c'est-à-dire ceux qui ont été précédemment purgés). Les métacaractères ordinaires de l'interpréteur de commandes sont autorisés dans I<motif-de-nom-de-paquet>. Il faudra sans doute mettre I<motif-de-nom-de-paquet> entre apostrophes pour éviter l'expansion des noms de fichier par l'interpréteur de commandes. Par exemple, tous les paquets dont le nom commence par S<« libc6 »> seront affichés par la S<commande :>
+Affiche les paquets correspondant à un ou plusieurs motifs, quelque soit leur statut, ce qui comprend tout paquet réel ou virtuel référencé dans tout champ de relation de dépendance (tel que B<Breaks>, B<Enhances>, etc.). Si aucun I<motif-de-nom-de-paquet> n'est indiqué, affiche tous les paquets de I<%ADMINDIR%/status>, sauf ceux qui ne sont pas installés (c'est-à-dire ceux qui ont été précédemment purgés). Les métacaractères ordinaires de l'interpréteur de commandes sont autorisés dans I<motif-de-nom-de-paquet>. Il faudra sans doute mettre I<motif-de-nom-de-paquet> entre apostrophes pour éviter l'expansion des noms de fichier par l'interpréteur de commandes. Par exemple, tous les paquets dont le nom commence par « libc6 » seront affichés par la commande :
=over
@@ -38,9 +38,9 @@ Affiche les paquets correspondant à un ou plusieurs motifs, quelque soit leur s
=back
-Les trois premières colonnes affichées montrent dans S<l'ordre :> l'action souhaitée, l'état du paquet et les erreurs.
+Les trois premières colonnes affichées montrent dans l'ordre : l'action souhaitée, l'état du paquet et les erreurs.
-Action S<souhaitée :>
+Action souhaitée :
=over
@@ -56,7 +56,7 @@ Action S<souhaitée :>
=back
-État du S<paquet :>
+État du paquet :
=over
@@ -78,7 +78,7 @@ Action S<souhaitée :>
=back
-Drapeaux S<d'erreur :>
+Drapeaux d'erreur :
=over
@@ -100,18 +100,18 @@ Le format de sortie par défaut fournit une ligne pour chaque paquet qui corresp
=item B<-s>, B<--status> [I<nom-du-paquet>...]
-Donne l'état du paquet indiqué. C'est simplement l'affichage de l'entrée de la base de données concernant les états des paquets installés. Si aucun I<nom-de-paquet> n'est indiqué, toutes les entrées de paquet dans la base de données d'état seront affichées (depuis S<dpkg 1.19.1).> Lorsque des entrées de I<nom-de-paquet> multiples sont indiquées, les entrées d'état demandées sont séparées par une ligne vide et sont dans l'ordre utilisé pour la liste de paramètres.
+Donne l'état du paquet indiqué. C'est simplement l'affichage de l'entrée de la base de données concernant les états des paquets installés. Si aucun I<nom-de-paquet> n'est indiqué, toutes les entrées de paquet dans la base de données d'état seront affichées (depuis dpkg 1.19.1). Lorsque des entrées de I<nom-de-paquet> multiples sont indiquées, les entrées d'état demandées sont séparées par une ligne vide et sont dans l'ordre utilisé pour la liste de paramètres.
=item B<-L>, B<--listfiles> I<nom-du-paquet>...
Affiche la liste des fichiers du I<nom-du-paquet> installés sur le système. Lorsque plusieurs I<nom-du-paquet> sont indiqués, les différentes listes de fichiers sont séparées par une ligne vide et elles sont fournies dans l'ordre de la liste de paramètres.
-Chaque détournement de fichier est affiché sur sa ligne propre après le fichier détourné préfixé par une des chaînes traduites S<suivantes :>
+Chaque détournement de fichier est affiché sur sa ligne propre après le fichier détourné préfixé par une des chaînes traduites suivantes :
Z<>
- détourné localement S<en :> I<diverted-to>
- paquet détournant les autres S<vers :> I<diverted-to>
- détourné par I<paquet> S<vers :> I<diverted-to>
+ détourné localement en : I<diverted-to>
+ paquet détournant les autres vers : I<diverted-to>
+ détourné par I<paquet> vers : I<diverted-to>
B<Hint>: When machine parsing the output, it is customary to set the locale to B<C.UTF-8> to get reproducible results. On some systems this might also require adapting the B<LANGUAGE> environment variable appropriately if it is already set (see L<locale(7)>).
@@ -119,42 +119,42 @@ Cette commande ne donne pas les fichiers supplémentaires créés par les script
=item B<--control-list> I<nom-du-paquet>
-Affiche les fichiers de contrôle installés sur le système à partir de I<nom-du-paquet> (depuis S<dpkg 1.16.5).> Ceux-ci peuvent être utilisés en paramètres d'entrée de B<--control-show>.
+Affiche les fichiers de contrôle installés sur le système à partir de I<nom-du-paquet> (depuis dpkg 1.16.5). Ceux-ci peuvent être utilisés en paramètres d'entrée de B<--control-show>.
=item B<--control-show> I<nom-du-paquet> I<fichier-de-contrôle>
-Affiche sur la sortie standard le I<fichier-de-contrôle> installé sur le système pour I<nom-du-paquet> (depuis S<dpkg 1.16.5).>
+Affiche sur la sortie standard le I<fichier-de-contrôle> installé sur le système pour I<nom-du-paquet> (depuis dpkg 1.16.5).
=item B<-c>, B<--control-path> I<nom-du-paquet> [I<fichier-contrôle>]
-Affiche les chemins pour les fichiers de contrôle installés sur votre système pour I<nom-du-paquet> (depuis S<dpkg 1.15.4).> Si I<fichier-contrôle> est indiqué, seul le chemin pour ce fichier de contrôle sera affiché, s'il est présent.
+Affiche les chemins pour les fichiers de contrôle installés sur votre système pour I<nom-du-paquet> (depuis dpkg 1.15.4). Si I<fichier-contrôle> est indiqué, seul le chemin pour ce fichier de contrôle sera affiché, s'il est présent.
-S<B<Attention> :> cette commande est obsolète parce qu'elle donne un accès direct à la base de données interne de dpkg, et il est conseillé d'utiliser B<--control-list> et B<--control-show> à la place dans tous les cas où ces commandes peuvent donner le même résultat. Néanmoins, aussi longtemps qu'il y a un cas au moins où cette commande est nécessaire (c'est-à-dire quand il faut supprimer le script d'un responsable endommageant postrm), et tant qu'il n'y aura pas de bonne solution pour cela, cette commande ne sera pas supprimée.
+B<Warning>: This command is deprecated as it gives direct access to the internal dpkg database, please switch to use B<--control-list> and B<--control-show> instead for all cases where those commands might give the same end result. Although, as long as there is still at least one case where this command is needed (i.e. when having to remove a damaging postrm maintainer script), and while there is no good solution for that, this command will not get removed.
=item B<-S>, B<--search> I<motif-de-nom-à-rechercher>...
Recherche les paquets propriétaires de fichiers dont le nom correspond aux motifs indiqués. On peut utiliser tous les métacaractères de l'interpréteur de commandes dans le motif, où l'astérisque (B<*>) et le point d'interrogation (B<?>) correspondront à une barre oblique et la barre oblique inverse (B<\>) servira de caractère d'échappement.
-Si le premier caractère du I<motif-de-nom-à-rechercher> n'est aucun des caractères S<« B<*[?/> »,> il sera alors considéré comme une sous-chaîne de correspondance et sera implicitement entouré de S<« B<*> »> (comme B<*>I<motif-de-nom-à-rechercher>B<*>). Si la chaîne suivante contient un des caractères S<« B<*[?\> »,> il sera géré comme un motif global, sinon tout S<« B</> »> ou S<« B</.> »> terminal sera supprimé et une recherche littérale de chemin sera exécutée.
+Si le premier caractère du I<motif-de-nom-à-rechercher> n'est aucun des caractères « B<*[?/> », il sera alors considéré comme une sous-chaîne de correspondance et sera implicitement entouré de « B<*> » (comme B<*>I<motif-de-nom-à-rechercher>B<*>). Si la chaîne suivante contient un des caractères « B<*[?\> », il sera géré comme un motif global, sinon tout « B</> » ou « B</.> » terminal sera supprimé et une recherche littérale de chemin sera exécutée.
Cette commande ne donne pas les fichiers supplémentaires créés par les scripts du responsable de paquet, ni les alternatives.
-Le format de sortie consiste en une ligne par motif qui correspond, avec une liste de paquets possédant le chemin séparés par une virgule (U+002C S<« B<,> »)> et un espace(U+0020 ‘B< >’), suivi par deux-points (U+003A S<« B<:> »)> puis un espace suivi par le chemin, comme S<cela :>
+Le format de sortie consiste en une ligne par motif qui correspond, avec une liste de paquets possédant le chemin séparés par une virgule (U+002C « B<,> ») et un espace(U+0020 ‘B< >’), suivi par deux-points (U+003A « B<:> ») puis un espace suivi par le chemin, comme cela :
nom_paquet1, nom_paquet2: chemin1
nom_paquet3: chemin2
-Les détournements de fichier sont affichés avec les chaînes traduites S<suivantes :>
+Les détournements de fichier sont affichés avec les chaînes traduites suivantes :
Z<>
- détournement par I<nom_paquet> S<depuis :> I<diverted-from>
- détournement par I<nom_paquet> S<en :> I<diverted-to>
+ détournement par I<nom_paquet> depuis : I<diverted-from>
+ détournement par I<nom_paquet> en : I<diverted-to>
-ou pour des détournements S<locaux :>
+ou pour des détournements locaux :
Z<>
- détournement local S<depuis :> I<diverted-from>
- détournement localement S<en :> I<diverted-to>
+ détournement local depuis : I<diverted-from>
+ détournement localement en : I<diverted-to>
B<Hint>: When machine parsing the output, it is customary to set the locale to B<C.UTF-8> to get reproducible results.
@@ -184,11 +184,11 @@ Change l'endroit où se trouve la base de données de B<dpkg>. Par défaut, c'es
=item B<--root=>I<répertoire>
-Définit le répertoire root à B<directory>, ce qui définit le répertoire d'administration à S<« I<répertoire>B<%ADMINDIR%> »> (depuis S<dpkg 1.21.0).>
+Définit le répertoire root à B<directory>, ce qui définit le répertoire d'administration à « I<répertoire>B<%ADMINDIR%> » (depuis dpkg 1.21.0).
=item B<--load-avail>
-Charge également le fichier I<available> à l'utilisation des commandes B<--show> et B<--list>, ce qui désormais revient à n'interroger que le fichier d'état (depuis S<dpkg 1.16.2).>
+Charge également le fichier I<available> à l'utilisation des commandes B<--show> et B<--list>, ce qui désormais revient à n'interroger que le fichier d'état (depuis dpkg 1.16.2).
=item B<--no-pager>
@@ -196,9 +196,9 @@ Désactive l'utilisation d'un afficheur pour montrer les informations (depuis dp
=item B<-f>, B<--showformat=>I<format>
-Cette option sert à spécifier le format de sortie de l'option B<--show> (option courte depuis S<dpkg 1.13.1).> Ce format est une chaîne qui sera utilisée pour chaque paquet listé.
+Cette option sert à spécifier le format de sortie de l'option B<--show> (option courte depuis dpkg 1.13.1). Ce format est une chaîne qui sera utilisée pour chaque paquet listé.
-Dans la chaîne, S<« B<\> »> préfixe des caractères de S<contrôle :>
+Dans la chaîne, « B<\> » préfixe des caractères de contrôle :
=over
@@ -210,9 +210,9 @@ Dans la chaîne, S<« B<\> »> préfixe des caractères de S<contrôle :>
=back
-“B<\>” avant n'importe quel caractère supprime la signification spécial du caractère qui suit. C'est utile pour les caractères S<« B<\> »> et S<« B<$> ».>
+“B<\>” avant n'importe quel caractère supprime la signification spécial du caractère qui suit. C'est utile pour les caractères « B<\> » et « B<$> ».
-L'information relative à un paquet peut être indiquée en insérant des appels de variables spécifiant des champs du paquet avec la syntaxe S<suivante :> S<« B<${>I<champ>[B<;>I<largeur>]B<}> ».> Les champs sont alignés à droite, à moins que la largeur ne soit négative, auquel cas ils sont alignés à gauche. Les champs suivants sont reconnus, mais pas nécessairement disponibles dans le fichier d'état (seuls les champs internes ou les champs conservés avec le paquet binaire le S<sont) :>
+L'information relative à un paquet peut être indiquée en insérant des appels de variables spécifiant des champs du paquet avec la syntaxe suivante : « B<${>I<champ>[B<;>I<largeur>]B<}> ». Les champs sont alignés à droite, à moins que la largeur ne soit négative, auquel cas ils sont alignés à gauche. Les champs suivants sont reconnus, mais pas nécessairement disponibles dans le fichier d'état (seuls les champs internes ou les champs conservés avec le paquet binaire le sont) :
=over
@@ -232,6 +232,8 @@ L'information relative à un paquet peut être indiquée en insérant des appels
=item B<Description>
+=item B<Description-md5> (internal, front-end related)
+
=item B<Enhances>
=item B<Protected>
@@ -268,6 +270,12 @@ L'information relative à un paquet peut être indiquée en insérant des appels
=item B<Section>
+=item B<SHA1> (internal, front-end related)
+
+=item B<SHA256> (internal, front-end related)
+
+=item B<SHA512> (internal, front-end related)
+
=item B<Size> (interne, lié au programme frontal)
=item B<Source>
@@ -286,25 +294,25 @@ L'information relative à un paquet peut être indiquée en insérant des appels
=back
-Les champs suivants sont virtuels, créés par B<dpkg-query> à partir des valeurs d'autres champs (veuillez noter qu'ils utilisent des noms qui ne sont pas valables comme noms de champs dans le fichiers de S<contrôle) :>
+Les champs suivants sont virtuels, créés par B<dpkg-query> à partir des valeurs d'autres champs (veuillez noter qu'ils utilisent des noms qui ne sont pas valables comme noms de champs dans le fichiers de contrôle) :
=over
=item B<binary:Package>
-Contient le nom du paquet binaire avec éventuellement le type d'architecture tel que S<« libc6:amd64 »> (depuis S<dpkg 1.16.2).> Le type d'architecture sera présent pour rendre le nom de paquet non ambigu, pour les paquets avec un champ B<Multi-Arch> de valeur B<same> ou appartenant à une architecture différente, c'est-à-dire qui n'est ni l'architecture native ni B<all>.
+Contient le nom du paquet binaire avec éventuellement le type d'architecture tel que « libc6:amd64 » (depuis dpkg 1.16.2). Le type d'architecture sera présent pour rendre le nom de paquet non ambigu, pour les paquets avec un champ B<Multi-Arch> de valeur B<same> ou appartenant à une architecture différente, c'est-à-dire qui n'est ni l'architecture native ni B<all>.
=item B<binary:Synopsis>
-Il contient la description courte du paquet (depuis S<dpkg 1.19.1).>
+Il contient la description courte du paquet (depuis dpkg 1.19.1).
=item B<binary:Summary>
-C'est un alias de B<binary:Synopsis> (depuis S<dpkg 1.16.2).>
+C'est un alias de B<binary:Synopsis> (depuis dpkg 1.16.2).
=item B<db:Status-Abbrev>
-Il contient l'état du paquet dans sa forme abrégée en trois caractères, comme S<« ii>  » ou S<« iHR »> (depuis S<dpkg 1.16.2).> Voir la description de la commande B<--list> pour plus de détails.
+Il contient l'état du paquet dans sa forme abrégée en trois caractères, comme « ii  » ou « iHR » (depuis dpkg 1.16.2). Voir la description de la commande B<--list> pour plus de détails.
=item B<db:Status-Want>
@@ -316,11 +324,11 @@ Il contient l'expression d'état du paquet, extrait du champ Status (depuis dpkg
=item B<db:Status-Eflag>
-Il contient le drapeau d'erreur d'état du paquet, extrait du champ Status (depuis S<dpkg 1.17.11).>
+Il contient le drapeau d'erreur d'état du paquet, extrait du champ Status (depuis dpkg 1.17.11).
=item B<db-fsys:Files>
-Il contient la liste des entrées de paquets du système de fichiers, séparées par des sauts de lignes (depuis S<dpkg 1.19.3).>
+Il contient la liste des entrées de paquets du système de fichiers, séparées par des sauts de lignes (depuis dpkg 1.19.3).
=item B<db-fsys:Last-Modified>
@@ -340,7 +348,7 @@ Il contient la version du paquet source amont de ce paquet binaire (depuis dpkg
=back
-Le format par défaut est le S<suivant :> S<« B<${binary:Package}\t${Version}\n> ».> Tous les autres champs du fichier d'état, par exemple des champs définis par l'utilisateur, peuvent être demandés. Ils seront affichés mais sans aucune mise en forme et aucune conversion ou vérification n'est faite. Pour obtenir le nom du responsable de B<dpkg> et la version installée, exécutez par S<exemple :>
+Le format par défaut est le suivant : « B<${binary:Package}\t${Version}\n> ». Tous les autres champs du fichier d'état, par exemple des champs définis par l'utilisateur, peuvent être demandés. Ils seront affichés mais sans aucune mise en forme et aucune conversion ou vérification n'est faite. Pour obtenir le nom du responsable de B<dpkg> et la version installée, exécutez par exemple :
=over
@@ -377,7 +385,7 @@ Erreur fatale ou irrécupérable due à l'utilisation d'une ligne de commande no
=item B<SHELL>
-Définit le programme à exécuter lors du lancement d'une commande avec un shell (depuis S<dpkg 1.19.2).>
+Définit le programme à exécuter lors du lancement d'une commande avec un shell (depuis dpkg 1.19.2).
=item B<PAGER>
@@ -387,7 +395,7 @@ Sets the pager command to use (since dpkg 1.19.1), which will be executed with
=item B<DPKG_ROOT>
-Si cette variable est positionnée et que l'options B<--root> n'est pas précisées, ce répertoire sera utilisé comme répertoire racine du système de fichiers (depuis S<dpkg 1.21.0).>
+Si cette variable est positionnée et que l'options B<--root> n'est pas précisées, ce répertoire sera utilisé comme répertoire racine du système de fichiers (depuis dpkg 1.21.0).
=item B<DPKG_ADMINDIR>
@@ -395,11 +403,15 @@ Si cette variable est positionnée et que l'option B<--admindir> n'est pas préc
=item B<DPKG_DEBUG>
-Définit le masque de débogage (depuis S<dpkg 1.21.10)> à partir d'une valeur octale. Actuellement, les drapeaux acceptés sont décrits dans l'option B<dpkg --debug>, mais ces drapeaux n'auront pas tous un effet sur ce programme.
+Définit le masque de débogage (depuis dpkg 1.21.10) à partir d'une valeur octale. Actuellement, les drapeaux acceptés sont décrits dans l'option B<dpkg --debug>, mais ces drapeaux n'auront pas tous un effet sur ce programme.
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+
+=item B<DPKG_NLS>
+
+If set, it will be used to decide whether to activate Native Language Support, also known as internationalization (or i18n) support (since dpkg 1.22.7). The accepted values are: B<0> and B<1> (default).
=back
@@ -409,7 +421,7 @@ Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement ac
=item B<LESS>
-Définie à S<« B<-FRSXMQ> »> par B<dpkg-query>, si elle n'est pas déjà fixée, lors du lancement d'un afficheur (depuis S<dpkg 1.19.2).> Pour modifier le comportement par défaut, cette variable peut être réglée à une autre valeur y compris une chaîne vide, ou bien les variables B<PAGER> ou B<DPKG_PAGER> peuvent être fixées pour désactiver des options spécifiques avec S<« B<-+> »,> par exemple B<DPKG_PAGER="less -+F">.
+Définie à « B<-FRSXMQ> » par B<dpkg-query>, si elle n'est pas déjà fixée, lors du lancement d'un afficheur (depuis dpkg 1.19.2). Pour modifier le comportement par défaut, cette variable peut être réglée à une autre valeur y compris une chaîne vide, ou bien les variables B<PAGER> ou B<DPKG_PAGER> peuvent être fixées pour désactiver des options spécifiques avec « B<-+> », par exemple B<DPKG_PAGER="less -+F">.
=back
diff --git a/man/fr/dpkg-realpath.pod b/man/fr/dpkg-realpath.pod
index 86fbe8a..0c72daa 100644
--- a/man/fr/dpkg-realpath.pod
+++ b/man/fr/dpkg-realpath.pod
@@ -22,7 +22,7 @@ B<dpkg-realpath> [I<option>...] I<chemin>
=head1 DESCRIPTION
-B<dpkg-realpath> est un outil (depuis S<dpkg 1.20.1)> pour résoudre un nom de chemin qui prend en compte le répertoire racine de L<dpkg(1)>, soit de façon implicite à partir de la variable d'environnement B<DPKG_ROOT> ou à partir des options B<--root> ou B<--instdir> en ligne de commande, et renvoie un I<chemin> absolu relatif au répertoire racine. Le répertoire racine ne doit pas être préfixé du I<chemin> à résoudre.
+B<dpkg-realpath> est un outil (depuis dpkg 1.20.1) pour résoudre un nom de chemin qui prend en compte le répertoire racine de L<dpkg(1)>, soit de façon implicite à partir de la variable d'environnement B<DPKG_ROOT> ou à partir des options B<--root> ou B<--instdir> en ligne de commande, et renvoie un I<chemin> absolu relatif au répertoire racine. Le répertoire racine ne doit pas être préfixé du I<chemin> à résoudre.
Cela est destiné à être utilisé par d'autres assistants de B<dpkg> ou par les scripts du responsable à la place de l'utilisation de L<realpath(1)> ou L<readlink(1)> pour des noms de chemins canoniques dans la mesure où ces dernières commandes ne gèrent pas des chemins canoniques relatifs à une racine autre que F</>.
@@ -34,13 +34,13 @@ This program was introduced in dpkg 1.20.1.
=item B<-z>, B<--zero>
-Utiliser un octet NULL pour terminer les lignes de sortie à la place d'un caractère saut de ligne (depuis S<dpkg 1.20.6).>
+Utiliser un octet NULL pour terminer les lignes de sortie à la place d'un caractère saut de ligne (depuis dpkg 1.20.6).
=item B<--instdir> I<répertoire>
=item B<--root> I<répertoire>
-Définit le répertoire racine à I<répertoire> qui est le répertoire de base d'installation qui désigne le répertoire par rapport auquel les chemins deviennent canoniques. (La valeur par défaut est S<« B</> »> si B<DPKG_ROOT> n'a été défini.
+Définit le répertoire racine à I<répertoire> qui est le répertoire de base d'installation qui désigne le répertoire par rapport auquel les chemins deviennent canoniques. (La valeur par défaut est « B</> » si B<DPKG_ROOT> n'a été défini.
=item B<-?>, B<--help>
@@ -64,6 +64,10 @@ Si cette variable est positionnée et que les options B<--admindir> ou B<--root>
Définit le mode de couleur. Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+=item B<DPKG_NLS>
+
+If set, it will be used to decide whether to activate Native Language Support, also known as internationalization (or i18n) support (since dpkg 1.22.7). The accepted values are: B<0> and B<1> (default).
+
=back
=head1 VOIR AUSSI
diff --git a/man/fr/dpkg-scanpackages.pod b/man/fr/dpkg-scanpackages.pod
index 489b3b5..070aa6a 100644
--- a/man/fr/dpkg-scanpackages.pod
+++ b/man/fr/dpkg-scanpackages.pod
@@ -26,11 +26,11 @@ B<dpkg-scanpackages> sorts through a tree of Debian binary packages and creates
B<Note>: If you want to access the generated Packages file with L<apt(8)> you will probably need to compress the file with L<xz(1)> (generating a Packages.xz file), L<bzip2(1)> (generating a Packages.bz2 file) or L<gzip(1)> (generating a Packages.gz file). L<apt(8)> ignores uncompressed Packages files except on local access (i.e. B<file://> sources).
-I<chemin-de-binaires> est le nom de l'arborescence des paquets binaires (par exemple B<contrib/binary-i386)> que l'on veut traiter. Il vaut mieux qu'il soit relatif à la racine de l'archive Debian ; ainsi chaque champ S<« Filename »> dans le nouveau fichier S<« Packages »> commencera par cette chaîne.
+I<chemin-de-binaires> est le nom de l'arborescence des paquets binaires (par exemple B<contrib/binary-i386)> que l'on veut traiter. Il vaut mieux qu'il soit relatif à la racine de l'archive Debian ; ainsi chaque champ « Filename » dans le nouveau fichier « Packages » commencera par cette chaîne.
I<override-file> is the name of a file to read which contains information about how the package fits into the distribution (the file can be compressed since dpkg 1.15.5); see L<deb-override(5)>.
-I<préfixe-chemin> est une chaîne facultative qui préfixera les champs S<« Filename ».>
+I<préfixe-chemin> est une chaîne facultative qui préfixera les champs « Filename ».
S'il existe plusieurs versions d'un paquet, seule la plus récente est affichée en sortie. Si les paquets ont la même version mais diffèrent par l'architecture, seul le premier trouvé est utilisé.
@@ -52,7 +52,7 @@ Utilise un motif se composant de I<*_all.deb> et de I<*_arch.deb>, plutôt que d
=item B<-h>, B<--hash> I<liste-de-hachage>
-Générer uniquement le hachage de fichiers spécifiés (liste séparée par des virgules - depuis S<dpkg 1.17.14).> Par défaut, cela génère tous les hachages actuellement pris en charge. Valeurs prises en S<charges :> B<md5>, B<sha1>, B<sha256>.
+Générer uniquement le hachage de fichiers spécifiés (liste séparée par des virgules - depuis dpkg 1.17.14). Par défaut, cela génère tous les hachages actuellement pris en charge. Valeurs prises en charges : B<md5>, B<sha1>, B<sha256>.
=item B<-m>, B<--multiversion>
@@ -60,7 +60,7 @@ Affiche tous les paquets trouvés en sortie.
=item B<-M>, B<--medium> I<chaîne-id>
-Ajoute un champ B<X-Medium> qui contient la valeur I<chaîne-id> (depuis S<dpkg 1.15.5).> Ce champ est obligatoire si vous voulez créer des fichiers B<Packages.cd> destinés à être utilisés avec la méthode d'accès B<media> de B<dselect>.
+Ajoute un champ B<X-Medium> qui contient la valeur I<chaîne-id> (depuis dpkg 1.15.5). Ce champ est obligatoire si vous voulez créer des fichiers B<Packages.cd> destinés à être utilisés avec la méthode d'accès B<media> de B<dselect>.
=item B<-?>, B<--help>
@@ -78,17 +78,17 @@ Afficher le numéro de version puis quitter.
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=item B<DPKG_NLS>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis S<dpkg 1.19.0).> Les valeurs permises S<sont :> B<0> et B<1> (par défaut).
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis dpkg 1.19.0). Les valeurs permises sont : B<0> et B<1> (par défaut).
=back
=head1 DIAGNOSTICS
-B<dpkg-scanpackages> affiche les erreurs habituelles qui se comprennent d'elles-mêmes. Il affiche aussi des avertissements quand des paquets sont dans un mauvais sous-répertoire, existent en double exemplaire, ont des champs S<« Filename »> dans leur fichier S<« control »,> sont absents du fichier S<« override »> ou bien dont les substitutions de responsable ne peuvent pas s'appliquer.
+B<dpkg-scanpackages> affiche les erreurs habituelles qui se comprennent d'elles-mêmes. Il affiche aussi des avertissements quand des paquets sont dans un mauvais sous-répertoire, existent en double exemplaire, ont des champs « Filename » dans leur fichier « control », sont absents du fichier « override » ou bien dont les substitutions de responsable ne peuvent pas s'appliquer.
=head1 VOIR AUSSI
diff --git a/man/fr/dpkg-scansources.pod b/man/fr/dpkg-scansources.pod
index 8d6cbcd..295a1e7 100644
--- a/man/fr/dpkg-scansources.pod
+++ b/man/fr/dpkg-scansources.pod
@@ -28,7 +28,7 @@ The I<override-file>, if given, is used to set priorities in the resulting index
B<Note>: Since the override file is indexed by binary, not source packages, there's a bit of a problem here. The current implementation uses the highest priority of all the binary packages produced by a I<.dsc> file for the priority of the source package, and the override entry for the first binary package listed in the I<.dsc> file to modify maintainer information. This might change.
-Le I<préfixe-chemin>, s'il est indiqué, est ajouté au début du champ Directory S<(« répertoire »)> dans l'index des sources généré. C'est, en règle générale, utilisé pour que le champ Directory contienne un chemin depuis la racine de l'archive Debian.
+Le I<préfixe-chemin>, s'il est indiqué, est ajouté au début du champ Directory (« répertoire ») dans l'index des sources généré. C'est, en règle générale, utilisé pour que le champ Directory contienne un chemin depuis la racine de l'archive Debian.
B<Note>: If you want to access the generated Sources file with L<apt(8)> you will probably need to compress the file with L<gzip(1)> (generating a Sources.gz file). L<apt(8)> ignores uncompressed Sources files except on local access (i.e. B<file://> sources).
@@ -46,7 +46,7 @@ Scan I<file> to find supplementary overrides (since dpkg 1.15.4; the file can be
=item B<-s>, B<--source-override> I<fichier>
-Utilise I<fichier> comme fichier override des sources (ce fichier peut être compressé depuis S<dpkg 1.15.5).> La valeur par défaut est le nom du fichier override indiqué auquel est ajoutée l'extension I<.src>.
+Utilise I<fichier> comme fichier override des sources (ce fichier peut être compressé depuis dpkg 1.15.5). La valeur par défaut est le nom du fichier override indiqué auquel est ajoutée l'extension I<.src>.
Le format des fichiers override des sources est différent des fichiers override des binaires. Il ne contient que deux champs séparés par des espaces, le premier indique le paquet source et le second, la section. Les lignes blanches et les lignes de commentaire sont ignorées comme à l'habitude. Si un paquet apparaît dans chaque fichier, le fichier des sources est prioritaire pour fixer la section.
@@ -70,11 +70,11 @@ Afficher le numéro de version puis quitter.
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=item B<DPKG_NLS>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis S<dpkg 1.19.0).> Les valeurs permises S<sont :> B<0> et B<1> (par défaut).
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis dpkg 1.19.0). Les valeurs permises sont : B<0> et B<1> (par défaut).
=back
diff --git a/man/fr/dpkg-shlibdeps.pod b/man/fr/dpkg-shlibdeps.pod
index 74a47bb..8eb3258 100644
--- a/man/fr/dpkg-shlibdeps.pod
+++ b/man/fr/dpkg-shlibdeps.pod
@@ -24,11 +24,11 @@ B<dpkg-shlibdeps> [I<option>...] [B<-e>] I<exécutable> [I<option>...]
B<dpkg-shlibdeps> calcule, pour les exécutables indiqués dans ses paramètres, les dépendances envers les bibliothèques partagées. Ces dépendances sont ajoutées au fichier de variables de substitution B<debian/substvars> sous la forme B<shlibs:>I<champ-dépendance> où I<champ-dépendance> est le nom du champ de dépendance. Toute autre variable après I<shlibs:> est supprimée du fichier.
-B<dpkg-shlibdeps> a deux sources possibles pour créer les informations concernant les dépendances, soit les fichiers I<symbols>, soit les fichiers I<shlibs>. Pour chaque fichier binaire qu'il analyse, B<dpkg-shlibdeps> recherche la liste des bibliothèques partagées qui lui sont liées. Puis, pour chacune d'elles il analyse soit le fichier I<symbols>, soit le fichier I<shlibs> (si le premier n'existe pas ou si debian/shlibs.local contient les dépendances appropriées). Ces deux fichiers sont censés être fournis par le paquet de la bibliothèque et disponibles dans %ADMINDIR%/info/I<paquet>.I<symbols> ou %ADMINDIR%/info/I<paquet>.I<shlibs>. Le nom du paquet est trouvé en deux S<étapes :> en cherchant le fichier de la bibliothèque sur le système, dans le répertoire que B<ld.so> utiliserait, puis en utilisant B<dpkg -S> I<fichier-bibliothèque> pour trouver le paquet qui fournit cette bibliothèque.
+B<dpkg-shlibdeps> a deux sources possibles pour créer les informations concernant les dépendances, soit les fichiers I<symbols>, soit les fichiers I<shlibs>. Pour chaque fichier binaire qu'il analyse, B<dpkg-shlibdeps> recherche la liste des bibliothèques partagées qui lui sont liées. Puis, pour chacune d'elles il analyse soit le fichier I<symbols>, soit le fichier I<shlibs> (si le premier n'existe pas ou si debian/shlibs.local contient les dépendances appropriées). Ces deux fichiers sont censés être fournis par le paquet de la bibliothèque et disponibles dans %ADMINDIR%/info/I<paquet>.I<symbols> ou %ADMINDIR%/info/I<paquet>.I<shlibs>. Le nom du paquet est trouvé en deux étapes : en cherchant le fichier de la bibliothèque sur le système, dans le répertoire que B<ld.so> utiliserait, puis en utilisant B<dpkg -S> I<fichier-bibliothèque> pour trouver le paquet qui fournit cette bibliothèque.
=head2 Fichiers symboles
-Les fichiers symboles contiennent des informations de dépendances plus fines en fournissant les dépendances minimales pour chaque symbole de la bibliothèque exportée. Le script essaie de trouver un fichier de symboles associé à un paquet de bibliothèque dans les emplacements suivants (le premier trouvé est S<utilisé) :>
+Les fichiers symboles contiennent des informations de dépendances plus fines en fournissant les dépendances minimales pour chaque symbole de la bibliothèque exportée. Le script essaie de trouver un fichier de symboles associé à un paquet de bibliothèque dans les emplacements suivants (le premier trouvé est utilisé) :
=over
@@ -56,7 +56,7 @@ As a safe-guard measure, a symbols file can provide a B<Build-Depends-Package> o
Les fichiers Shlibs associent directement une bibliothèque à une dépendance (sans regarder les symboles). C'est donc souvent plus puissant que les besoins réels mais cela reste très sûr et facile à manipuler.
-Les dépendances d'une bibliothèque sont recherchées à plusieurs endroits. Le premier fichier d'informations trouvé qui concerne la bibliothèque est S<utilisé :>
+Les dépendances d'une bibliothèque sont recherchées à plusieurs endroits. Le premier fichier d'informations trouvé qui concerne la bibliothèque est utilisé :
=over
@@ -72,7 +72,7 @@ Fichier système remplaçant les informations qui concernent les dépendances en
Information sur la bibliothèque partagée générée par le processus actuel de construction qui invoque aussi B<dpkg-shlibdeps>. Il n'est utilisé que si la bibliothèque se trouve dans l'arbre de construction du paquet. Le fichier shlibs qui construit l'arbre a priorité sur les fichiers shlibs des autres paquets binaires.
-=item Affichage de S<« B<dpkg-query> --control-path> I<paquet> S<shlibs »>
+=item Affichage de « B<dpkg-query --control-path> I<paquet> shlibs »
Les informations de dépendance de bibliothèque partagée fournies par le paquet. Sauf indication contraire par le biais de B<--admindir>, ces fichiers sont par défaut dans %ADMINDIR%.
@@ -96,25 +96,35 @@ Cette option inclut les bonnes dépendances envers les bibliothèques partagées
=item B<-l>I<répertoire>
-Ajoute I<répertoire> au début de la liste des répertoires où chercher des bibliothèques partagées privées (depuis S<dpkg 1.17.0).> Cette option peut être utilisée plusieurs fois.
+Ajoute I<répertoire> au début de la liste des répertoires où chercher des bibliothèques partagées privées (depuis dpkg 1.17.0). Cette option peut être utilisée plusieurs fois.
B<Note>: Use this option instead of setting B<LD_LIBRARY_PATH>, as that environment variable is used to control the run-time linker and abusing it to set the shared library paths at build-time can be problematic when cross-compiling for example.
=item B<-d>I<champ-dépendance>
-Cette option ajoute les dépendances destinées au champ S<« dépendance »> du fichier de contrôle I<champ-dépendance>. (Les dépendances pour ce champ sont dans la variable B<shlibs:>I<champ-dépendance>.)
+Cette option ajoute les dépendances destinées au champ « dépendance » du fichier de contrôle I<champ-dépendance>. (Les dépendances pour ce champ sont dans la variable B<shlibs:>I<champ-dépendance>.)
L'option B<-d>I<champ-dépendance> concerne tous les exécutables qui suivent l'option, jusqu'à la prochaine option B<-d>I<champ-dépendance>. Par défaut, I<champ-dépendance> vaut B<Depends>.
Quand, dans plusieurs champs reconnus ayant trait aux dépendances comme les champs B<Pre-Depends>, B<Depends>, B<Recommends>, B<Enhances> ou B<Suggests> apparaît la même entrée (ou bien un ensemble d'alternatives), B<dpkg-shlibdeps> supprime automatiquement les dépendances dans tous les champs sauf celui qui représente les dépendances les plus importantes.
+=item B<--package=>I<package>
+
+Define the package name.
+
+When specified, the package name will be used to change defaults based on the binary package metadata in F<debian/control>.
+
+If the package is B<Essential: yes>, then the default dependency field is B<Pre-Depends>, otherwise B<Depends>. The default package type is set from the B<Package-Type> field. The package is added to the set of packages excluded by B<-x>.
+
+Option supported since dpkg 1.22.7.
+
=item B<-p>I<préfixe-pour-le-nom-des-variables>
Fait commencer les variables de substitution par I<préfixe-pour-le-nom-des-variables>B<:> au lieu de B<shlibs:>. De même, toute variable de substitution commençant par I<préfixe-pour-le-nom-des-variables>B<:> (au lieu de B<shlibs:>) est enlevée du fichier de substitution des variables.
=item B<-O>[I<nom-de-fichier>]
-Affiche les définitions des variables de substitution sur la sortie standard (ou I<nom-de-fichier> si spécifié, depuis S<dpkg 1.17.2),> plutôt que de les ajouter dans le fichier de substitution des variables qui est par défaut B<debian/substvars>.
+Affiche les définitions des variables de substitution sur la sortie standard (ou I<nom-de-fichier> si spécifié, depuis dpkg 1.17.2), plutôt que de les ajouter dans le fichier de substitution des variables qui est par défaut B<debian/substvars>.
=item B<-t>I<type>
@@ -130,27 +140,27 @@ Lire les informations de remplacement concernant les dépendances envers les bib
=item B<-v>
-Active le mode bavard (depuis S<dpkg 1.14.8).> De nombreux messages sont affichés pour expliquer ce que B<dpkg-shlibdeps> fait.
+Active le mode bavard (depuis dpkg 1.14.8). De nombreux messages sont affichés pour expliquer ce que B<dpkg-shlibdeps> fait.
=item B<-x>I<package>
-Exclut le paquet des dépendances générées (depuis S<dpkg 1.14.8).> Cela évite les auto-dépendances pour les paquets fournissant des exécutables ELF (exécutables ou modules complémentaires de bibliothèque) qui utilisent une bibliothèque incluse dans ce même paquet. Cette option peut être utilisée plusieurs fois pour exclure plusieurs paquets.
+Exclut le paquet des dépendances générées (depuis dpkg 1.14.8). Cela évite les auto-dépendances pour les paquets fournissant des exécutables ELF (exécutables ou modules complémentaires de bibliothèque) qui utilisent une bibliothèque incluse dans ce même paquet. Cette option peut être utilisée plusieurs fois pour exclure plusieurs paquets.
=item B<-S>I<répertoire-construction-paquet>
-Recherche dans I<répertoire-construction-paquet> en premier et essaie de trouver une bibliothèque (depuis S<dpkg 1.14.15).> C'est utile lorsque le paquet source construit plusieurs saveurs de la même bibliothèque et que vous voulez vous assurer que vous obtiendrez la dépendance d'un paquet binaire donné. Cette option peut être utilisée plusieurs S<fois :> les répertoires seront examinés dans le même ordre avant les répertoires d'autres paquets binaires.
+Recherche dans I<répertoire-construction-paquet> en premier et essaie de trouver une bibliothèque (depuis dpkg 1.14.15). C'est utile lorsque le paquet source construit plusieurs saveurs de la même bibliothèque et que vous voulez vous assurer que vous obtiendrez la dépendance d'un paquet binaire donné. Cette option peut être utilisée plusieurs fois : les répertoires seront examinés dans le même ordre avant les répertoires d'autres paquets binaires.
=item B<-I>I<répertoire-construction-paquet>
-Ignore I<répertoire-construction-paquet> lors de la recherche des fichiers shlibs, de symboles et des bibliothèques partagées (depuis S<dpkg 1.18.5).> Cette option peut être utilisée plusieurs fois.
+Ignore I<répertoire-construction-paquet> lors de la recherche des fichiers shlibs, de symboles et des bibliothèques partagées (depuis dpkg 1.18.5). Cette option peut être utilisée plusieurs fois.
=item B<--ignore-missing-info>
-Pas d'échec si l'information de dépendance ne peut pas être trouvée pour une bibliothèque partagée (depuis S<dpkg 1.14.8).> L'utilisation de cette option est déconseillée, toutes les bibliothèques devraient fournir leurs informations de dépendance (que ce soit avec les fichiers shlibs, ou avec les fichiers symboles), même si elles ne sont pas encore utilisées par d'autres paquets.
+Pas d'échec si l'information de dépendance ne peut pas être trouvée pour une bibliothèque partagée (depuis dpkg 1.14.8). L'utilisation de cette option est déconseillée, toutes les bibliothèques devraient fournir leurs informations de dépendance (que ce soit avec les fichiers shlibs, ou avec les fichiers symboles), même si elles ne sont pas encore utilisées par d'autres paquets.
=item B<--warnings=>I<valeur>
-I<valeur> est un champ de S<« bit »> définissant l'ensemble des avertissements qui peuvent être émis par B<dpkg-shlibdeps> (depuis S<dpkg 1.14.17).> Le bit B<0> (valeur = 1) active l'avertissement S<« symbole> I<sym> utilisé par le I<binaire> trouvé dans aucune des S<bibliothèques ».> Le bit B<1> (valeur = 2) active l'avertissement S<« le> paquet pourrait éviter une dépendance S<inutile ».> Le bit B<2> (valeur = 4) active l'avertissement S<« Le> I<binaire> ne devrait pas être lié à S<I<bibliothèque> ».> La I<valeur> par défaut est S<B<3> :> les deux premières mises en garde sont actives par défaut, la dernière ne l'est pas. Positionnez la I<valeur> à 7 si vous souhaitez que tous les avertissements soient actifs.
+I<valeur> est un champ de « bit » définissant l'ensemble des avertissements qui peuvent être émis par B<dpkg-shlibdeps> (depuis dpkg 1.14.17). Le bit B<0> (valeur = 1) active l'avertissement « symbole I<sym> utilisé par le I<binaire> trouvé dans aucune des bibliothèques ». Le bit B<1> (valeur = 2) active l'avertissement « le paquet pourrait éviter une dépendance inutile ». Le bit B<2> (valeur = 4) active l'avertissement « Le I<binaire> ne devrait pas être lié à I<bibliothèque> ». La I<valeur> par défaut est B<3> : les deux premières mises en garde sont actives par défaut, la dernière ne l'est pas. Positionnez la I<valeur> à 7 si vous souhaitez que tous les avertissements soient actifs.
=item B<--admindir>=I<répertoire>
@@ -170,13 +180,17 @@ Afficher le numéro de version puis quitter.
=over
+=item B<DEB_HOST_ARCH>
+
+Sets the host architecture. This affects the objects and symbols files searched for and their default search pathnames.
+
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=item B<DPKG_NLS>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis S<dpkg 1.19.0).> Les valeurs permises S<sont :> B<0> et B<1> (par défaut).
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis dpkg 1.19.0). Les valeurs permises sont : B<0> et B<1> (par défaut).
=back
@@ -184,7 +198,7 @@ Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation d
=head2 Avertissements
-Depuis que B<dpkg-shlibdeps> analyse l'ensemble des symboles utilisés par chaque binaire généré par le paquet, il est en mesure d'émettre des avertissements dans plusieurs cas. Ils vous informent des choses qui peuvent être améliorées dans le paquet. Dans la plupart des cas, ces améliorations concernent directement les sources amont. Dans l'ordre d'importance décroissant, voici les différents avertissements que vous pouvez S<rencontrer :>
+Depuis que B<dpkg-shlibdeps> analyse l'ensemble des symboles utilisés par chaque binaire généré par le paquet, il est en mesure d'émettre des avertissements dans plusieurs cas. Ils vous informent des choses qui peuvent être améliorées dans le paquet. Dans la plupart des cas, ces améliorations concernent directement les sources amont. Dans l'ordre d'importance décroissant, voici les différents avertissements que vous pouvez rencontrer :
=over
@@ -196,7 +210,7 @@ Le symbole indiqué n'a pas été trouvé dans les bibliothèques liées au bina
=item I<binary> B<contient une référence non résolue au symbole> I<sym> B<: il
s'agit probablement d'un greffon (plugin)>
-Le symbole indiqué n'a pas été trouvé dans les bibliothèques liées avec le fichier binaire. Le I<binaire> est très probablement un greffon (plugin) et le symbole est probablement fourni par le programme qui charge ce greffon. En théorie, un greffon n'a pas de S<« SONAME »> mais ce binaire en possède un et n'a pas pu être identifié en tant que tel. Cependant, le fait que le binaire soit stocké dans un répertoire non public est une indication forte qu'il ne s'agit pas d'une bibliothèque partagée normale. Si le binaire est vraiment un greffon, vous pouvez ignorer cet avertissement. Il existe cependant une possibilité qu'il s'agisse d'un vrai binaire et que les programmes avec lequel il est lié utilisent un RPATH afin que le chargeur dynamique le trouve. Dans ce cas, la bibliothèque est incorrecte et doit être corrigée.
+Le symbole indiqué n'a pas été trouvé dans les bibliothèques liées avec le fichier binaire. Le I<binaire> est très probablement un greffon (plugin) et le symbole est probablement fourni par le programme qui charge ce greffon. En théorie, un greffon n'a pas de « SONAME » mais ce binaire en possède un et n'a pas pu être identifié en tant que tel. Cependant, le fait que le binaire soit stocké dans un répertoire non public est une indication forte qu'il ne s'agit pas d'une bibliothèque partagée normale. Si le binaire est vraiment un greffon, vous pouvez ignorer cet avertissement. Il existe cependant une possibilité qu'il s'agisse d'un vrai binaire et que les programmes avec lequel il est lié utilisent un RPATH afin que le chargeur dynamique le trouve. Dans ce cas, la bibliothèque est incorrecte et doit être corrigée.
=item B<paquet pourrait éviter une dépendance inutile si> I<le binaire> B<n'était
pas lié avec> I<bibliothèque> B<(il ne fait usage d'aucun de ses symboles)>
@@ -223,9 +237,9 @@ B<dpkg-shlibdeps> échouera s'il ne peut pas trouver de bibliothèque publique u
=over
=item B<impossible de trouver la bibliothèque> I<library-soname> B<demandée par
-le> I<binaire> B<(son RPATH est «> S<I<rpath>B< »)>>
+le> I<binaire> B<(son RPATH est «> I<rpath>B< »)>
-Le I<binaire> utilise une bibliothèque appelée I<library-soname> mais B<dpkg-shlibdeps> n'a pas été en mesure de trouver cette bibliothèque. B<dpkg-shlibdeps> crée une liste de répertoires à vérifier de la manière S<suivante :> les répertoires énumérés dans le RPATH du binaire, les répertoires ajoutés par l'option B<-l>, les répertoires listés dans la variable d'environnement B<LD_LIBRARY_PATH>, les répertoires croisés multi-architerctures (par exemple, /lib/arm64-linux-gnu, /usr/lib/arm64-linux-gnu), les répertoires publics standard (/lib, /usr/lib), les répertoires listés dans /etc/ld.so.conf et les répertoires obsolètes multilib (/lib32, /usr/lib32, /lib64, /usr/lib64). Ensuite, il vérifie les répertoires qui sont dans l'arbre de construction du paquet binaire en cours d'analyse, dans l'arbre de construction du paquet indiqué avec l'option de ligne de commande B<-S>, dans les autres arbres de paquets qui contiennent un fichier DEBIAN/shlibs ou DEBIAN/symbols et enfin dans le répertoire racine. Si la bibliothèque n'est pas trouvée dans l'un de ces répertoires, alors ce message d'erreur est obtenu.
+Le I<binaire> utilise une bibliothèque appelée I<library-soname> mais B<dpkg-shlibdeps> n'a pas été en mesure de trouver cette bibliothèque. B<dpkg-shlibdeps> crée une liste de répertoires à vérifier de la manière suivante : les répertoires énumérés dans le RPATH du binaire, les répertoires ajoutés par l'option B<-l>, les répertoires listés dans la variable d'environnement B<LD_LIBRARY_PATH>, les répertoires croisés multi-architerctures (par exemple, /lib/arm64-linux-gnu, /usr/lib/arm64-linux-gnu), les répertoires publics standard (/lib, /usr/lib), les répertoires listés dans /etc/ld.so.conf et les répertoires obsolètes multilib (/lib32, /usr/lib32, /lib64, /usr/lib64). Ensuite, il vérifie les répertoires qui sont dans l'arbre de construction du paquet binaire en cours d'analyse, dans l'arbre de construction du paquet indiqué avec l'option de ligne de commande B<-S>, dans les autres arbres de paquets qui contiennent un fichier DEBIAN/shlibs ou DEBIAN/symbols et enfin dans le répertoire racine. Si la bibliothèque n'est pas trouvée dans l'un de ces répertoires, alors ce message d'erreur est obtenu.
Si la bibliothèque non trouvée est cependant disponible dans le répertoire privé de ce même paquet, alors il vous faut ajouter ce répertoire avec B<-l>. S'il est dans un autre paquet binaire en cours de construction, alors assurez-vous que le fichier shlibs/symbols de ce paquet a déjà créé et que B<-l> contient le répertoire approprié si c'est aussi un répertoire privé.
diff --git a/man/fr/dpkg-source.pod b/man/fr/dpkg-source.pod
index 9631300..817449f 100644
--- a/man/fr/dpkg-source.pod
+++ b/man/fr/dpkg-source.pod
@@ -32,23 +32,23 @@ Aucune de ces commandes ne permet la combinaison de plusieurs options en une seu
=item B<-x> , B<--extract> I<nom-de-fichier>.dsc [I<répertoire-de-sortie>]
-Cette option sert à extraire un paquet source (B<--extract> depuis dpkg 1.17.14). Un seul argument sans option doit être S<donné :> le nom du fichier de contrôle des sources Debian (B<.dsc>). Un deuxième argument sans option peut également être donné pour indiquer le répertoire où extraire le paquet S<source :> ce répertoire ne doit pas déjà exister. Quand aucun répertoire n'est indiqué, le paquet source est extrait dans un répertoire I<source>-I<version> du répertoire courant.
+Cette option sert à extraire un paquet source (B<--extract> depuis dpkg 1.17.14). Un seul argument sans option doit être donné : le nom du fichier de contrôle des sources Debian (B<.dsc>). Un deuxième argument sans option peut également être donné pour indiquer le répertoire où extraire le paquet source : ce répertoire ne doit pas déjà exister. Quand aucun répertoire n'est indiqué, le paquet source est extrait dans un répertoire I<source>-I<version> du répertoire courant.
B<dpkg-source> lit, dans le fichier de contrôle, les noms des fichiers qui composent le paquet source ; il suppose qu'ils sont dans le même répertoire que le fichier B<.dsc>.
-Les fichiers extraits du paquet auront leurs propriétaires et permissions définis à ceux attendus s'ils avaient été simplement créés. Les répertoires et les fichiers exécutables auront une permission égale à 0777 et les simples fichiers à 0666, les deux étant modifiées par le masque (umask) de celui qui fait l'extraction. Si le répertoire parent est S<« setgid »,> les répertoires extraits le seront aussi et tous les fichiers et répertoires hériteront de sa propriété de groupe.
+Les fichiers extraits du paquet auront leurs propriétaires et permissions définis à ceux attendus s'ils avaient été simplement créés. Les répertoires et les fichiers exécutables auront une permission égale à 0777 et les simples fichiers à 0666, les deux étant modifiées par le masque (umask) de celui qui fait l'extraction. Si le répertoire parent est « setgid », les répertoires extraits le seront aussi et tous les fichiers et répertoires hériteront de sa propriété de groupe.
-Si le paquet source utilise un format non standard (actuellement, cela signifie tous les formats sauf le S<« 1.0 »),> son nom sera enregistré dans B<debian/source/format> de sorte que la construction du paquet source utilise le même format par défaut.
+Si le paquet source utilise un format non standard (actuellement, cela signifie tous les formats sauf le « 1.0 »), son nom sera enregistré dans B<debian/source/format> de sorte que la construction du paquet source utilise le même format par défaut.
=item B<-b>, B<--build> I<répertoire> [I<paramètres-dans-un-format-spécifique>]
-Construit un paquet source (B<--build> depuis S<dpkg 1.17.14).> Le premier argument sans option est pris comme nom du répertoire contenant l'arborescence des sources debianisée (c'est-à-dire avec un sous-répertoire debian et peut-être des modifications sur les fichiers d'origine). Selon le format du paquet source utilisé pour construire le paquet, d'autres paramètres peuvent être acceptés.
+Construit un paquet source (B<--build> depuis dpkg 1.17.14). Le premier argument sans option est pris comme nom du répertoire contenant l'arborescence des sources debianisée (c'est-à-dire avec un sous-répertoire debian et peut-être des modifications sur les fichiers d'origine). Selon le format du paquet source utilisé pour construire le paquet, d'autres paramètres peuvent être acceptés.
B<dpkg-source> will build the source package with the first format found in this ordered list: the format indicated with the I<--format> command line option, the format indicated in B<debian/source/format>, “1.0”. The fallback to “1.0” is deprecated and will be removed at some point in the future, you should always document the desired source format in B<debian/source/format>. See section L</SOURCE PACKAGE FORMATS> for an extensive description of the various source package formats.
=item B<--print-format> I<répertoire>
-Affiche le format source qui serait utilisé pour construire le paquet source si B<dpkg-source --build> I<répertoire> était utilisé (dans les mêmes conditions et avec les mêmes options ; depuis S<dpkg 1.15.5).>
+Affiche le format source qui serait utilisé pour construire le paquet source si B<dpkg-source --build> I<répertoire> était utilisé (dans les mêmes conditions et avec les mêmes options ; depuis dpkg 1.15.5).
=item B<--before-build> I<répertoire>
@@ -60,7 +60,7 @@ Exécute le point d'entrée correspondant du format de paquet source (depuis dpk
=item B<--commit> [I<répertoire>] ...
-Enregistre les modifications dans l'arborescence source décompressée dans I<répertoire> (depuis S<dpkg 1.16.1).> Cette commande peut accepter des paramètres supplémentaires selon le format source. Elle provoquera une erreur pour les formats où cette opération n'a pas de signification.
+Enregistre les modifications dans l'arborescence source décompressée dans I<répertoire> (depuis dpkg 1.16.1). Cette commande peut accepter des paramètres supplémentaires selon le format source. Elle provoquera une erreur pour les formats où cette opération n'a pas de signification.
=item B<-?>, B<--help>
@@ -112,24 +112,24 @@ Supprime en sortie un champ dans le fichier de contrôle.
=item B<-Z>I<compression>, B<--compression>=I<compression>
-Spécifie le niveau de compression à utiliser pour les fichiers archive et diff créés (B<--compression> depuis S<dpkg 1.15.5).> Notez que cette option ne causera pas la recompression des archives existantes, cela ne concerne que les nouveaux fichiers. Les valeurs acceptées sont les S<suivantes :> I<gzip>, I<bzip2>, I<lzma> et I<xz>. L'option par défaut est I<xz> pour les formats 2.0 et plus récents, et I<gzip> pour le format 1.0. I<xz> n'est géré que depuis S<dpkg 1.15.5.>
+Spécifie le niveau de compression à utiliser pour les fichiers archive et diff créés (B<--compression> depuis dpkg 1.15.5). Notez que cette option ne causera pas la recompression des archives existantes, cela ne concerne que les nouveaux fichiers. Les valeurs acceptées sont les suivantes : I<gzip>, I<bzip2>, I<lzma> et I<xz>. L'option par défaut est I<xz> pour les formats 2.0 et plus récents, et I<gzip> pour le format 1.0. I<xz> n'est géré que depuis dpkg 1.15.5.
=item B<-z>I<niveau>, B<--compression-level>=I<niveau>
-Niveau de compression à utiliser (B<--compression-level> depuis dpkg 1.15.5). Comme avec B<-Z> cela ne concerne que les fichiers nouvellement créés. Les valeurs prises possibles sont les S<suivantes :> I<1> à I<9>, I<best> et I<fast>. La valeur par défaut est I<9> pour gzip et bzip2, I<6> pour xz et lzma.
+Niveau de compression à utiliser (B<--compression-level> depuis dpkg 1.15.5). Comme avec B<-Z> cela ne concerne que les fichiers nouvellement créés. Les valeurs prises possibles sont les suivantes : I<1> à I<9>, I<best> et I<fast>. La valeur par défaut est I<9> pour gzip et bzip2, I<6> pour xz et lzma.
=item B<-i>[I<expression-rationnelle>],
B<--diff-ignore>[=I<expression-rationnelle>]
-Il est possible de donner une expression rationnelle Perl pour filtrer les fichiers qui doivent être éliminés de la liste des fichiers pour le S<« diff »> (B<--diff-ignore> depuis S<dpkg 1.15.6).> Cette liste est créée avec une commande S<« find ».> Si le fichier source en construction est un fichier source de version 3 utilisant un système de suivi de versions, cette option est utile pour ignorer les modifications non envoyées. Utiliser B<-i>I<.*> les ignorera toutes.
+Il est possible de donner une expression rationnelle Perl pour filtrer les fichiers qui doivent être éliminés de la liste des fichiers pour le « diff » (B<--diff-ignore> depuis dpkg 1.15.6). Cette liste est créée avec une commande « find ». Si le fichier source en construction est un fichier source de version 3 utilisant un système de suivi de versions, cette option est utile pour ignorer les modifications non envoyées. Utiliser B<-i>I<.*> les ignorera toutes.
L'option B<-i> active cette fonction avec une expression rationnelle par défaut (en préservant toutes les modifications faites avec l'expression rationnelle par défaut par une utilisation précédente de B<--extend-diff-ignore>) qui couvre les fichiers de contrôle des plus usuels systèmes de gestion de version, les fichiers de sauvegarde, les fichiers d'échange et les répertoires utilisés par Libtool. Il ne peut y avoir qu'une seule expression rationnelle active ; avec de multiples options B<-i>, seule la dernière mentionnée sera prise en compte.
-C'est très utile pour supprimer des fichiers qui sont inclus dans le diff, par exemple, si vous maintenez un source avec un système de contrôle de version et que voulez construire un paquet source sans inclure des fichiers et répertoires additionnels qu'il contient généralement (par exemple CVS/, .cvsignore, .svn/). L'expression rationnelle par défaut est déjà très exhaustive, mais si avez besoin de la remplacer, veuillez noter que par défaut, il sait vérifier n'importe quelle partie d'un chemin, donc si vous voulez trouver le début d'un nom de fichier ou des noms de fichiers complets, vous devrez fournir les caractères spéciaux vous-même (par exemple S<« (^|/) »,> S<« ($|/) »).>
+C'est très utile pour supprimer des fichiers qui sont inclus dans le diff, par exemple, si vous maintenez un source avec un système de contrôle de version et que voulez construire un paquet source sans inclure des fichiers et répertoires additionnels qu'il contient généralement (par exemple CVS/, .cvsignore, .svn/). L'expression rationnelle par défaut est déjà très exhaustive, mais si avez besoin de la remplacer, veuillez noter que par défaut, il sait vérifier n'importe quelle partie d'un chemin, donc si vous voulez trouver le début d'un nom de fichier ou des noms de fichiers complets, vous devrez fournir les caractères spéciaux vous-même (par exemple « (^|/) », « ($|/) »).
=item B<--extend-diff-ignore>=I<expression-rationnelle>
-L'expression rationnelle Perl indiquée complétera la valeur par défaut utilisée par B<--diff-ignore> et sa valeur courante si elle est définie (depuis S<dpkg 1.15.6).> Cela est effectué en concaténant S<« B<|>I<expression-rationnelle> »> à la valeur existante. Cette option est pratique dans B<debian/source/options> pour exclure certains fichiers auto-créés de la création automatique de correctifs.
+L'expression rationnelle Perl indiquée complétera la valeur par défaut utilisée par B<--diff-ignore> et sa valeur courante si elle est définie (depuis dpkg 1.15.6). Cela est effectué en concaténant « B<|>I<expression-rationnelle> » à la valeur existante. Cette option est pratique dans B<debian/source/options> pour exclure certains fichiers auto-créés de la création automatique de correctifs.
=item B<-I>[I<motif-fichier>], B<--tar-ignore>[=I<motif-fichier>]
@@ -149,11 +149,11 @@ L'expression rationnelle et le motif par défaut pour les deux options peuvent
=item B<--no-copy>
-Ne copie pas l'archive d'origine à côté de l'extraction du paquet source (depuis S<dpkg 1.14.17).>
+Ne copie pas l'archive d'origine à côté de l'extraction du paquet source (depuis dpkg 1.14.17).
=item B<--no-check>
-Ne vérifie pas les signatures et les sommes de contrôle avant de dépaqueter(depuis S<dpkg 1.14.17).>
+Ne vérifie pas les signatures et les sommes de contrôle avant de dépaqueter(depuis dpkg 1.14.17).
=item B<--no-overwrite-dir>
@@ -161,11 +161,11 @@ Ne pas remplacer le répertoire d'extraction s'il existe déjà (depuis dpkg 1.1
=item B<--require-valid-signature>
-Refuse de décompresser le paquet source s'il ne contient pas de signature OpenPGP pouvant être vérifiée (depuis S<dpkg 1.15.0)> soit avec le fichier de clés I<trustedkeys.gpg> de l'utilisateur, un des fichiers de clés propre à un distributeur ou un des fichiers de clés officiels de Debian (I</usr/share/keyrings/debian-keyring.gpg>, I</usr/share/keyrings/debian-nonupload.gpg> et I</usr/share/keyrings/debian-maintainers.gpg>).
+Refuse de décompresser le paquet source s'il ne contient pas de signature OpenPGP pouvant être vérifiée (depuis dpkg 1.15.0) soit avec le fichier de clés I<trustedkeys.gpg> de l'utilisateur, un des fichiers de clés propre à un distributeur ou un des fichiers de clés officiels de Debian (I</usr/share/keyrings/debian-keyring.gpg>, I</usr/share/keyrings/debian-nonupload.gpg> et I</usr/share/keyrings/debian-maintainers.gpg>).
=item B<--require-strong-checksums>
-Refuse de décompresser le paquet source s'il ne contient pas de somme de contrôle robuste (depuis S<dpkg 1.18.7).> Actuellement, B<SHA-256> est le seul type de somme de contrôle considéré comme robuste.
+Refuse de décompresser le paquet source s'il ne contient pas de somme de contrôle robuste (depuis dpkg 1.18.7). Actuellement, B<SHA-256> est le seul type de somme de contrôle considéré comme robuste.
=item B<--ignore-bad-version>
@@ -179,7 +179,7 @@ Transforme la vérification des mauvaises versions des paquets source en avertis
=item B<--threads-max=>I<threads>
-Fixe le nombre maximal de processus permis pour les compresseurs qui gèrent les opérations multi-threadées (depuis S<dpkg 1.21.14).>
+Fixe le nombre maximal de processus permis pour les compresseurs qui gèrent les opérations multi-threadées (depuis dpkg 1.21.14).
=item B<-q>
@@ -189,11 +189,11 @@ Définit le mode silencieux pour supprimer les avertissements.
=head1 FORMATS DE PAQUET SOURCE
-Si vous ne savez pas quel format source utiliser, il est conseillé de choisir soit S<« 3.0> S<(quilt) »> soit S<« 3.0> S<(native) ».> Voir L<https://wiki.debian.org/Projects/DebSrc3.0> pour plus d'informations sur la mise en œuvre de ces formats dans Debian.
+Si vous ne savez pas quel format source utiliser, il est conseillé de choisir soit « 3.0 (quilt) » soit « 3.0 (native) ». Voir L<https://wiki.debian.org/Projects/DebSrc3.0> pour plus d'informations sur la mise en œuvre de ces formats dans Debian.
-=head2 S<Format :> 1.0
+=head2 Format : 1.0
-Un paquet source dans ce format se compose soit d'un B<.orig.tar.gz> associé à un B<.diff.gz> ou un simple B<.tar.gz> (dans ce cas, le paquet est appelé natif I<native>). L'archive tar originale pourrait être accompagnée de façon facultative d'une signature amont séparée B<.orig.tar.gz.asc>, extraction prise en charge depuis S<dpkg 1.18.5.>
+Un paquet source dans ce format se compose soit d'un B<.orig.tar.gz> associé à un B<.diff.gz> ou un simple B<.tar.gz> (dans ce cas, le paquet est appelé natif I<native>). L'archive tar originale pourrait être accompagnée de façon facultative d'une signature amont séparée B<.orig.tar.gz.asc>, extraction prise en charge depuis dpkg 1.18.5.
B<Extraction>
@@ -201,11 +201,11 @@ Extraire un paquet natif revient à une simple extraction de l'archive tar dans
B<Construction>
-Construire un paquet natif revient simplement à créer une archive tar avec le répertoire du source. La création d'un paquet non natif consiste à extraire l'archive d'origine dans un répertoire séparé S<« .orig »> puis à régénérer le B<.diff.gz> en comparant le I<répertoire> du paquet source avec le répertoire S<« .orig ».>
+Construire un paquet natif revient simplement à créer une archive tar avec le répertoire du source. La création d'un paquet non natif consiste à extraire l'archive d'origine dans un répertoire séparé « .orig » puis à régénérer le B<.diff.gz> en comparant le I<répertoire> du paquet source avec le répertoire « .orig ».
-B<Options de construction (avec S<--build)> :>
+B<Options de construction (avec --build)> :
-Si l'on donne un second argument, ce sera le nom du répertoire source d'origine ou le nom du fichier tar ou bien une chaîne vide si le paquet est un S<« Debian> pure S<souche »> et n'a donc pas de fichiers S<« diffs »> pour sa S<« debianisation ».> S'il n'y a pas de second argument, B<dpkg-source> cherche le fichier tar des sources d'origine I<paquet>B<_>I<version-amont>B<.orig.tar.gz> ou bien le répertoire source d'origine I<répertoire>B<.orig> selon les paramètres B<-sX>.
+Si l'on donne un second argument, ce sera le nom du répertoire source d'origine ou le nom du fichier tar ou bien une chaîne vide si le paquet est un « Debian pure souche » et n'a donc pas de fichiers « diffs » pour sa « debianisation ». S'il n'y a pas de second argument, B<dpkg-source> cherche le fichier tar des sources d'origine I<paquet>B<_>I<version-amont>B<.orig.tar.gz> ou bien le répertoire source d'origine I<répertoire>B<.orig> selon les paramètres B<-sX>.
Les options B<-sa>, B<-sp>, B<-sk>, B<-su> et B<-sr> ne remplacent pas les fichiers tar ou les répertoires existants. Pour cela, il faut utiliser les options B<-sA>, B<-sP>, B<-sK>, B<-sU> et B<-sR.>
@@ -229,15 +229,15 @@ Comme B<-su> mais supprimera ce répertoire après utilisation.
=item B<-ss>
-Indique que le source d'origine est disponible à la fois comme un répertoire et comme un fichier tar. B<dpkg-source> se servira du répertoire pour créer le S<« diff »,> mais du fichier tar pour créer le fichier B<.dsc>. Aussi, faire attention avec cette option. Si le répertoire et le fichier tar ne correspondent pas, il en résulte une mauvaise archive source.
+Indique que le source d'origine est disponible à la fois comme un répertoire et comme un fichier tar. B<dpkg-source> se servira du répertoire pour créer le « diff », mais du fichier tar pour créer le fichier B<.dsc>. Aussi, faire attention avec cette option. Si le répertoire et le fichier tar ne correspondent pas, il en résulte une mauvaise archive source.
=item B<-sn>
-Indique de ne pas chercher de source d'origine et de ne pas créer de S<« diff ».> Le second argument, s'il existe, doit être une chaîne vide. Cela sert pour les paquets Debian pure souche qui n'ont pas un source d'origine distincte et donc pas de fichier S<« diff »> de debianisation.
+Indique de ne pas chercher de source d'origine et de ne pas créer de « diff ». Le second argument, s'il existe, doit être une chaîne vide. Cela sert pour les paquets Debian pure souche qui n'ont pas un source d'origine distincte et donc pas de fichier « diff » de debianisation.
=item B<-sa> or B<-sA>
-Indique comme source d'origine soit un fichier tar, soit un répertoire — le deuxième argument, s'il existe, doit être l'un d'eux ou bien une chaîne vide (cela revient à utiliser l'option B<-sn)>. Quand un fichier tar existe, il est dépaqueté pour créer le fichier S<« diff »> ; ensuite il est supprimé (cela revient à utiliser l'option B<-sp)> ; quand un répertoire est trouvé, il est empaqueté et B<dpkg-source> crée le source d'origine et supprime ensuite ce répertoire (cela revient à utiliser l'option B<-sr)> ; quand ni l'un ni l'autre n'est trouvé, B<dpkg-source> suppose que le paquet ne possède pas de fichier S<« diff »> de debianisation, mais seulement une simple archive source (cela revient à utiliser l'option B<-sn>). Quand les deux sont trouvés, B<dpkg-source> ignore le répertoire et le remplace si l'option B<-sA> a été spécifiée (cela revient à utiliser l'option B<-sP)> ou il provoque une erreur si l'option B<-sa> a été spécifiée. L'option par défaut est B<-sa>.
+Indique comme source d'origine soit un fichier tar, soit un répertoire — le deuxième argument, s'il existe, doit être l'un d'eux ou bien une chaîne vide (cela revient à utiliser l'option B<-sn)>. Quand un fichier tar existe, il est dépaqueté pour créer le fichier « diff » ; ensuite il est supprimé (cela revient à utiliser l'option B<-sp)> ; quand un répertoire est trouvé, il est empaqueté et B<dpkg-source> crée le source d'origine et supprime ensuite ce répertoire (cela revient à utiliser l'option B<-sr)> ; quand ni l'un ni l'autre n'est trouvé, B<dpkg-source> suppose que le paquet ne possède pas de fichier « diff » de debianisation, mais seulement une simple archive source (cela revient à utiliser l'option B<-sn>). Quand les deux sont trouvés, B<dpkg-source> ignore le répertoire et le remplace si l'option B<-sA> a été spécifiée (cela revient à utiliser l'option B<-sP)> ou il provoque une erreur si l'option B<-sa> a été spécifiée. L'option par défaut est B<-sa>.
=item B<--abort-on-upstream-changes>
@@ -245,7 +245,7 @@ Ce processus échoue si le fichier de différences contient des modifications ap
=back
-B<options d'extraction (avec S<--extract)> :>
+B<options d'extraction (avec --extract)> :
Dans tous ces cas, l'arborescence existante des sources d'origine est supprimée.
@@ -271,25 +271,25 @@ Toutes les options B<-s>I<X> s'excluent mutuellement. Si vous en indiquez plusie
=item B<--skip-debianization>
-Passe l'étape d'application du fichier de différences Debian aux sources amont (depuis S<dpkg 1.15.1).>
+Passe l'étape d'application du fichier de différences Debian aux sources amont (depuis dpkg 1.15.1).
=back
-=head2 S<Format :> 2.0
+=head2 Format : 2.0
-Extraction prise en charge depuis S<dpkg 1.13.9,> construction depuis dpkg 1.14.8. Aussi connu sous le nom de S<« wig&pen ».> Ce format n'est pas recommandé pour une utilisation massive, le format S<« 3.0> S<(quilt) »> le remplace. Wig&pen a été la première spécification d'une nouvelle génération de format de paquet source.
+Extraction prise en charge depuis dpkg 1.13.9, construction depuis dpkg 1.14.8. Aussi connu sous le nom de « wig&pen ». Ce format n'est pas recommandé pour une utilisation massive, le format « 3.0 (quilt) » le remplace. Wig&pen a été la première spécification d'une nouvelle génération de format de paquet source.
The behavior of this format is the same as the “3.0 (quilt)” format except that it doesn't use an explicit list of patches. All files in B<debian/patches/> matching the perl regular expression B<[\w-]+> must be valid patches: they are applied at extraction time.
Lors de la construction d'un nouveau paquet source, toute modification apportée au source amont est enregistrée dans un correctif nommé B<zz_debian-diff-auto>.
-=head2 S<Format :> 3.0 (native)
+=head2 Format : 3.0 (native)
-Pris en charge depuis S<dpkg 1.14.17.> Ce format est une extension du format de paquet natif tel que défini dans le format 1.0. Il gère toutes les méthodes de compression et ignore par défaut tout fichier et répertoire spécifique à VCS ainsi que de nombreux fichiers temporaires (voir la valeur par défaut associée à l'option B<-I> dans la sortie de B<--help>).
+Pris en charge depuis dpkg 1.14.17. Ce format est une extension du format de paquet natif tel que défini dans le format 1.0. Il gère toutes les méthodes de compression et ignore par défaut tout fichier et répertoire spécifique à VCS ainsi que de nombreux fichiers temporaires (voir la valeur par défaut associée à l'option B<-I> dans la sortie de B<--help>).
-=head2 S<Format :> 3.0 (quilt)
+=head2 Format : 3.0 (quilt)
-Pris en charge depuis 1.14.17. Un paquet source dans ce format contient au moins une archive tar d'origine (B<.orig.tar.>I<ext> où I<ext> peut être B<gz>, B<bz2> B<lzma> et B<xz>) et une archive tar debian (B<.debian.tar.>I<ext>). Il peut également contenir d'autres archives tar d'origine (B<.orig->I<composant>B<.tar.>I<ext>). I<composant> ne peut être constitué que de caractères alphanumériques S<(« a-zA-Z0-9 »)> et de tirets S<(« - »).> Chaque archive tar originale peut être accompagnée de façon facultative d'une signature amont séparée (B<.orig.tar.>I<ext>B<.asc> et B<.orig->I<composant>B<.tar.>I<ext>B<.asc>), extraction prise en charge depuis dpkg 1.17.20, construction depuis S<dpkg 1.18.5.>
+Pris en charge depuis 1.14.17. Un paquet source dans ce format contient au moins une archive tar d'origine (B<.orig.tar.>I<ext> où I<ext> peut être B<gz>, B<bz2> B<lzma> et B<xz>) et une archive tar debian (B<.debian.tar.>I<ext>). Il peut également contenir d'autres archives tar d'origine (B<.orig->I<composant>B<.tar.>I<ext>). I<composant> ne peut être constitué que de caractères alphanumériques (« a-zA-Z0-9 ») et de tirets (« - »). Chaque archive tar originale peut être accompagnée de façon facultative d'une signature amont séparée (B<.orig.tar.>I<ext>B<.asc> et B<.orig->I<composant>B<.tar.>I<ext>B<.asc>), extraction prise en charge depuis dpkg 1.17.20, construction depuis dpkg 1.18.5.
B<Extraction>
@@ -309,7 +309,7 @@ Le fichier B<.pc/applied-patches> est créé si certains correctifs ont été ap
B<Construction>
-Les originaux de toutes les archives tar trouvées dans le répertoire courant sont extraits dans un répertoire temporaire en suivant la même logique que pour le dépaquetage, le répertoire debian est copié dans le répertoire temporaire, et tous les correctifs excepté le correctif automatique B<debian-changes->I<version> ou B<debian-changes>, selon B<--single-debian-patch>) sont appliquées. Le répertoire temporaire est comparé à celui du paquet source. Si le fichier de différences n'est pas vide, la construction échoue à moins que B<--single-debian-patch> ou B<--auto-commit> aient été utilisés, et dans ce cas le diff est stocké dans le correctif automatique. Si le correctif automatique est créé ou supprimé, il est ajouté ou supprimé dans le fichier S<« series »> et les métadonnées de B<quilt>.
+Les originaux de toutes les archives tar trouvées dans le répertoire courant sont extraits dans un répertoire temporaire en suivant la même logique que pour le dépaquetage, le répertoire debian est copié dans le répertoire temporaire, et tous les correctifs excepté le correctif automatique B<debian-changes->I<version> ou B<debian-changes>, selon B<--single-debian-patch>) sont appliquées. Le répertoire temporaire est comparé à celui du paquet source. Si le fichier de différences n'est pas vide, la construction échoue à moins que B<--single-debian-patch> ou B<--auto-commit> aient été utilisés, et dans ce cas le diff est stocké dans le correctif automatique. Si le correctif automatique est créé ou supprimé, il est ajouté ou supprimé dans le fichier « series » et les métadonnées de B<quilt>.
Tout changement dans un fichier binaire ne peut être indiqué dans le diff et va déboucher sur un échec à moins que le responsable ne décide délibérément d'inclure cette modification binaire dans l'archive tar Debian (en le listant dans B<debian/source/include-binaries>). La construction pourra également échouer si des fichiers binaires sont trouvés dans le sous-répertoire debian à moins qu'ils aient été autorisés au moyen de B<debian/source/include-binaries>.
@@ -339,7 +339,7 @@ B<Options de construction>
=item B<--allow-version-of-quilt-db=>I<version>
-Autorise B<dpkg-source> à construire le fichier si la version des métadonnées de B<quilt> est celle indiquée, même si B<dpkg-source> n'en n'a pas connaissance (depuis S<dpkg 1.15.5.4).> En fait, cela indique que la version indiquée des métadonnées de B<quilt> est compatible avec la version 2 que B<dpkg-source> gère. La version des métadonnées de B<quilt> est conservée dans B<.pc/.version>.
+Autorise B<dpkg-source> à construire le fichier si la version des métadonnées de B<quilt> est celle indiquée, même si B<dpkg-source> n'en n'a pas connaissance (depuis dpkg 1.15.5.4). En fait, cela indique que la version indiquée des métadonnées de B<quilt> est compatible avec la version 2 que B<dpkg-source> gère. La version des métadonnées de B<quilt> est conservée dans B<.pc/.version>.
=item B<--include-removal>
@@ -351,23 +351,23 @@ Inclut la date dans le correctif généré automatiquement.
=item B<--include-binaries>
-Ajoute tous les binaires modifiés dans l'archive tar debian. Les ajoute aussi à S<B<debian/source/include-binaries> :> elles seront ajoutées par défaut dans les constructions suivantes aussi cette option n'est donc plus nécessaire.
+Ajoute tous les binaires modifiés dans l'archive tar debian. Les ajoute aussi à B<debian/source/include-binaries> : elles seront ajoutées par défaut dans les constructions suivantes aussi cette option n'est donc plus nécessaire.
=item B<--no-preparation>
-N'essaye pas de préparer l'arbre de la construction en appliquant les correctifs qui ne sont apparemment pas appliqués (depuis S<dpkg 1.14.8).>
+N'essaye pas de préparer l'arbre de la construction en appliquant les correctifs qui ne sont apparemment pas appliqués (depuis dpkg 1.14.8).
=item B<--single-debian-patch>
-Utilise B<debian/patches/debian-changes> au lieu de B<debian/patches/debian-changes->I<version> comme nom du correctif automatique créé au cours de la construction (depuis S<dpkg 1.15.5.4).> Cette option est particulièrement pratique lorsque le paquet est géré avec un outil de gestion de versions et qu'un jeu de correctifs ne peut être créé de façon fiable. Dans ce cas, les différences avec la version amont doivent être conservées dans un correctif unique. Cette option serait indiquée dans B<debian/source/local-options> et accompagnée par un fichier B<debian/source/local-patch-header> qui explique la meilleure méthode pour revoir les corrections spécifiques à Debian, par exemple dans le gestionnaire de versions utilisé.
+Utilise B<debian/patches/debian-changes> au lieu de B<debian/patches/debian-changes->I<version> comme nom du correctif automatique créé au cours de la construction (depuis dpkg 1.15.5.4). Cette option est particulièrement pratique lorsque le paquet est géré avec un outil de gestion de versions et qu'un jeu de correctifs ne peut être créé de façon fiable. Dans ce cas, les différences avec la version amont doivent être conservées dans un correctif unique. Cette option serait indiquée dans B<debian/source/local-options> et accompagnée par un fichier B<debian/source/local-patch-header> qui explique la meilleure méthode pour revoir les corrections spécifiques à Debian, par exemple dans le gestionnaire de versions utilisé.
=item B<--create-empty-orig>
-Crée automatiquement l'archive principale tar d'origine vide si elle est manquante et qu'il existe des archives tar d'origine additionnelles (depuis dpkg 1.15.6). Cette option peut être utilisée lorsque le paquet source est une collection de différents sources amont et qu'il n'existe pas de logiciel S<« principal ».>
+Crée automatiquement l'archive principale tar d'origine vide si elle est manquante et qu'il existe des archives tar d'origine additionnelles (depuis dpkg 1.15.6). Cette option peut être utilisée lorsque le paquet source est une collection de différents sources amont et qu'il n'existe pas de logiciel « principal ».
=item B<--no-unapply-patches, --unapply-patches>
-Par défaut, B<dpkg-source> retire automatiquement les correctifs dans le point d'entrée B<--after-build> s'ils ont été appliqués pendant B<--before-build> (B<--unapply-patches> depuis S<dpkg 1.15.8,> B<--no-unapply-patches> depuis S<dpkg 1.16.5).> Ces options permettent de désactiver ou activer unilatéralement ce retrait des correctifs. Elles ne sont permises que dans B<debian/source/local-options> afin que tous les paquets source créés aient le même comportement par défaut.
+Par défaut, B<dpkg-source> retire automatiquement les correctifs dans le point d'entrée B<--after-build> s'ils ont été appliqués pendant B<--before-build> (B<--unapply-patches> depuis dpkg 1.15.8, B<--no-unapply-patches> depuis dpkg 1.16.5). Ces options permettent de désactiver ou activer unilatéralement ce retrait des correctifs. Elles ne sont permises que dans B<debian/source/local-options> afin que tous les paquets source créés aient le même comportement par défaut.
=item B<--abort-on-upstream-changes>
@@ -375,7 +375,7 @@ Ce processus échouera si un correctif automatique a été créé (depuis dpkg 1
=item B<--auto-commit>
-Pas d'échec du processus de construction si un correctif automatique a été S<créé :> il est enregistré automatiquement dans le fichier series de B<quilt>.
+Pas d'échec du processus de construction si un correctif automatique a été créé : il est enregistré automatiquement dans le fichier series de B<quilt>.
=back
@@ -393,9 +393,9 @@ Ne pas appliquer des correctifs à la fin de l'extraction (depuis dpkg 1.14.18).
=back
-=head2 S<Format :> 3.0 (custom)
+=head2 Format : 3.0 (custom)
-Pris en charge depuis S<dpkg 1.14.17.> Ce format est particulier. Il ne représente pas un réel format de paquet source mais peut être utilisé pour créer des paquets sources avec des fichiers arbitraires.
+Pris en charge depuis dpkg 1.14.17. Ce format est particulier. Il ne représente pas un réel format de paquet source mais peut être utilisé pour créer des paquets sources avec des fichiers arbitraires.
B<Options de construction>
@@ -405,21 +405,21 @@ Tous les arguments qui ne sont pas des options sont pris pour des fichiers à in
=item B<--target-format=>I<valeur>
-B<Required>. Définit le format réel du paquet source généré. Le fichier généré .dsc contiendra cette valeur dans son champ B<format> et non S<« 3.0> S<(custom) ».>
+B<Required>. Définit le format réel du paquet source généré. Le fichier généré .dsc contiendra cette valeur dans son champ B<format> et non « 3.0 (custom) ».
=back
-=head2 S<Format :> 3.0 (git)
+=head2 Format : 3.0 (git)
-Pris en charge depuis S<dpkg 1.14.17.> Ce format est expérimental.
+Pris en charge depuis dpkg 1.14.17. Ce format est expérimental.
-Un paquet source qui utilise ce format est constitué d'un seul ensemble d'un dépôt git B<.git> qui contient les sources du paquet. Il peut également exister un fichier I<.gitshallow> qui donne les révisions d'un clone git S<« shallow ».>
+Un paquet source qui utilise ce format est constitué d'un seul ensemble d'un dépôt git B<.git> qui contient les sources du paquet. Il peut également exister un fichier I<.gitshallow> qui donne les révisions d'un clone git « shallow ».
B<Extraction>
Cet ensemble est cloné sous forme d'un dépôt git dans le répertoire cible. S'il existe un fichier I<.gitshallow>, il est installé en tant que I<.git/shallow> dans le dépôt git cloné.
-Veuillez noter que, par défaut, le nouveau dépôt aura la même branche récupérée que celle qui était récupérée dans les sources d'origine (souvent S<« main »> mais cela peut être tout à fait autre chose). Toutes les autres branches seront disponibles sous I<remotes/origin>.
+Veuillez noter que, par défaut, le nouveau dépôt aura la même branche récupérée que celle qui était récupérée dans les sources d'origine (souvent « main » mais cela peut être tout à fait autre chose). Toutes les autres branches seront disponibles sous I<remotes/origin>.
B<Construction>
@@ -437,13 +437,13 @@ Allows specifying a git ref to include in the git bundle. Use disables the defa
=item B<--git-depth=>I<nombre>
-Crée un clone S<« shallow »> dont l'historique est tronqué au nombre indiqué de révisions.
+Crée un clone « shallow » dont l'historique est tronqué au nombre indiqué de révisions.
=back
-=head2 S<Format :> 3.0 (bzr)
+=head2 Format : 3.0 (bzr)
-Pris en charge depuis S<dpkg 1.14.17.> Ce format est expérimental. Il crée une archive tar contenant le dépôt bzr correspondant.
+Pris en charge depuis dpkg 1.14.17. Ce format est expérimental. Il crée une archive tar contenant le dépôt bzr correspondant.
B<Extraction>
@@ -459,13 +459,13 @@ Ensuite, la partie spécifique du répertoire source du gestionnaire de versions
=head2 aucun format source indiqué dans debian/source/format
-Le fichier B<debian/source/format> devrait toujours exister et indiquer le format source souhaité. Pour préserver la compatibilité avec d'anciennes versions, le format S<« 1.0 »> est implicite quand le fichier n'existe pas. Il est déconseillé de dépendre de ce comportement qui pourrait être modifié dans de futures versions de B<dpkg-source>, qui échoueront alors en l'absence d'une mention explicite de format.
+Le fichier B<debian/source/format> devrait toujours exister et indiquer le format source souhaité. Pour préserver la compatibilité avec d'anciennes versions, le format « 1.0 » est implicite quand le fichier n'existe pas. Il est déconseillé de dépendre de ce comportement qui pourrait être modifié dans de futures versions de B<dpkg-source>, qui échoueront alors en l'absence d'une mention explicite de format.
-Cela est dû au fait que le format S<« 1.0 »> n'est plus le format recommandé, qu'il est conseillé de choisir un des formats les plus récents S<(« 3.0> S<(quilt) »> ou S<« 3.0> S<(native) »)> mais que dpkg-source ne le fera pas automatiquement. Si vous souhaitez continuer à utiliser l'ancien format, il est nécessaire d'être explicite et indiquer S<« 1.0 »> dans B<debian/source/format>.
+Cela est dû au fait que le format « 1.0 » n'est plus le format recommandé, qu'il est conseillé de choisir un des formats les plus récents (« 3.0 (quilt) » ou « 3.0 (native) ») mais que dpkg-source ne le fera pas automatiquement. Si vous souhaitez continuer à utiliser l'ancien format, il est nécessaire d'être explicite et indiquer « 1.0 » dans B<debian/source/format>.
=head2 le fichier de différences modifie les fichiers amont suivants
-Lors de l'utilisation du format source S<« 1.0 »,> il est déconseillé de modifier directement les fichiers amont, car les modifications restent alors cachées et souvent non documentées dans le fichier diff.gz. Au contraire, il est conseillé de conserver les modifications sous forme de correctifs dans le répertoire debian et de les appliquer au moment de la construction. Pour éviter ces opérations plus complexes, vous pouvez également choisir le format S<« 3.0> S<(quilt) »> qui permet ces opérations de manière native.
+Lors de l'utilisation du format source « 1.0 », il est déconseillé de modifier directement les fichiers amont, car les modifications restent alors cachées et souvent non documentées dans le fichier diff.gz. Au contraire, il est conseillé de conserver les modifications sous forme de correctifs dans le répertoire debian et de les appliquer au moment de la construction. Pour éviter ces opérations plus complexes, vous pouvez également choisir le format « 3.0 (quilt) » qui permet ces opérations de manière native.
=head2 impossible d'identifier les changements de I<fichier>
@@ -492,11 +492,11 @@ Les fichiers correctifs n'enregistrent pas les permissions de fichiers et, en co
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=item B<DPKG_NLS>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis S<dpkg 1.19.0).> Les valeurs permises S<sont :> B<0> et B<1> (par défaut).
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis dpkg 1.19.0). Les valeurs permises sont : B<0> et B<1> (par défaut).
=item B<SOURCE_DATE_EPOCH>
@@ -508,7 +508,7 @@ Since dpkg 1.18.11.
=item B<EDITOR>
-Utilisé par les modules de format source S<« 2.0 »> et S<« 3.0> S<(quilt) ».>
+Utilisé par les modules de format source « 2.0 » et « 3.0 (quilt) ».
=item B<GIT_DIR>
@@ -520,7 +520,7 @@ Utilisé par les modules de format source S<« 2.0 »> et S<« 3.0> S<(quilt) »
=item B<GIT_WORK_TREE>
-Utilisés par les modules de format source S<« 3.0> S<(git) ».>
+Utilisés par les modules de format source « 3.0 (git) ».
=back
@@ -532,13 +532,13 @@ Ce fichier contient sur une seule ligne le format à utiliser pour construire le
=head2 debian/source/include-binaries
-Ce fichier contient une liste de chemin de fichiers binaires (un par ligne) relatifs au répertoire racine source qui doivent être inclus dans l'archive tar debian. Les espaces placées avant ou après ces noms sont supprimées. Les lignes commençant par S<« B<#> »> sont des commentaires et sont ignorées, ainsi que les lignes vides.
+Ce fichier contient une liste de chemin de fichiers binaires (un par ligne) relatifs au répertoire racine source qui doivent être inclus dans l'archive tar debian. Les espaces placées avant ou après ces noms sont supprimées. Les lignes commençant par « B<#> » sont des commentaires et sont ignorées, ainsi que les lignes vides.
=head2 debian/source/options
Ce fichier contient la liste des options qui seront automatiquement ajoutées au jeu d'options de ligne de commande lors de l'appel à B<dpkg-source --build> ou B<dpkg-source --print-format>. Des options comme B<--compression> et B<--compression-level> conviennent bien pour ce fichier.
-Chaque option doit être placée sur une ligne distincte. Les lignes vides et les lignes commençant par le caractère S<« B<#> »> sont ignorées. Les caractères initiaux S<« B<--> »> doivent être retirés et les options courtes ne peuvent pas être utilisées. Des espaces optionnelles sont autorisées autour du symbole S<« B<=> »,> ainsi que des guillemets optionnels autour de la valeur d'une option donnée. Voici un exemple d'un tel S<fichier :>
+Chaque option doit être placée sur une ligne distincte. Les lignes vides et les lignes commençant par le caractère « B<#> » sont ignorées. Les caractères initiaux « B<--> » doivent être retirés et les options courtes ne peuvent pas être utilisées. Des espaces optionnelles sont autorisées autour du symbole « B<=> », ainsi que des guillemets optionnels autour de la valeur d'une option donnée. Voici un exemple d'un tel fichier :
# autoriser dpkg-source à créer un fichier debian.tar.bz2 avec la
#compression maximale
@@ -559,13 +559,13 @@ Identique à B<debian/source/options> mais n'est pas enregistré dans le paquet
=head2 debian/source/patch-header
-Texte en format libre qui sera ajouté au début du correctif automatique créé dans les formats S<« 2.0 »> et S<« 3.0> S<(quilt) ».> B<local-patch-header> n'est pas inclus dans le paquet source créé alors que B<patch-header> l'est.
+Texte en format libre qui sera ajouté au début du correctif automatique créé dans les formats « 2.0 » et « 3.0 (quilt) ». B<local-patch-header> n'est pas inclus dans le paquet source créé alors que B<patch-header> l'est.
=head2 debian/patches/I<distributeur>.series
=head2 debian/patches/series
-Ce fichier comporte la liste de toutes les correctifs qui ont été appliqués (dans l'ordre indiqué) aux sources amont. Les espaces situées avant et après les noms sont ignorées. L'argument I<distributeur> sera le nom en minuscules du distributeur ou B<debian> si aucun distributeur n'est défini. Si le fichier de séries propre au distributeur n'existe pas, le fichier de séries sans distributeur sera utilisé. Les lignes commençant par S<« B<#> »> sont des commentaires et sont ignorées, ainsi que les lignes vides. Les autres lignes débutent par le nom du fichier de correctifs (relatif au répertoire B<debian/patches/>) et se terminent à la première espace ou à la fin de la ligne. Des options facultatives de B<quilt> peuvent être ajoutées jusqu'à la fin de la ligne ou jusqu'au premier caractère S<« B<#> »> précédé par une ou plusieurs espaces (ce qui indique le début d'un commentaire se terminant à la fin de la ligne).
+Ce fichier comporte la liste de toutes les correctifs qui ont été appliqués (dans l'ordre indiqué) aux sources amont. Les espaces situées avant et après les noms sont ignorées. L'argument I<distributeur> sera le nom en minuscules du distributeur ou B<debian> si aucun distributeur n'est défini. Si le fichier de séries propre au distributeur n'existe pas, le fichier de séries sans distributeur sera utilisé. Les lignes commençant par « B<#> » sont des commentaires et sont ignorées, ainsi que les lignes vides. Les autres lignes débutent par le nom du fichier de correctifs (relatif au répertoire B<debian/patches/>) et se terminent à la première espace ou à la fin de la ligne. Des options facultatives de B<quilt> peuvent être ajoutées jusqu'à la fin de la ligne ou jusqu'au premier caractère « B<#> » précédé par une ou plusieurs espaces (ce qui indique le début d'un commentaire se terminant à la fin de la ligne).
=head1 SECURITY
diff --git a/man/fr/dpkg-split.pod b/man/fr/dpkg-split.pod
index 9f6660d..6a9ff67 100644
--- a/man/fr/dpkg-split.pod
+++ b/man/fr/dpkg-split.pod
@@ -24,7 +24,7 @@ B<dpkg-split> [I<option>...] I<commande>
B<dpkg-split> décompose les fichiers d'un paquet binaire Debian en parties plus petites (et les recompose), pour permettre l'enregistrement des fichiers d'un paquet volumineux sur des média de faible capacité tels que les disquettes.
-On peut s'en servir S<« à> la S<main »> avec les options B<--split>, B<--join> et B<--info>.
+On peut s'en servir « à la main » avec les options B<--split>, B<--join> et B<--info>.
Il possède aussi un mode automatique, appelé avec l'option B<--auto>, dans lequel il conserve séparément dans une file les parties connues ou recompose le fichier d'un paquet quand il connaît toutes ses parties. Les options B<--listq> et B<--discard> permettent la gestion de cette file.
@@ -38,7 +38,7 @@ Toutes les opérations de décomposition, recomposition ou de mise en file produ
Décompose en plusieurs parties un paquet binaire Debian.
-Le nom d'une partie S<est :> I<préfixe>B<.>I<N>B<de>I<M>B<.deb> où I<N> le numéro de partie, commençant à 1, et I<M> est le nombre total de parties (les deux sont des décimaux).
+Le nom d'une partie est : I<préfixe>B<.>I<N>B<de>I<M>B<.deb> où I<N> le numéro de partie, commençant à 1, et I<M> est le nombre total de parties (les deux sont des décimaux).
Quand on ne donne pas de I<préfixe>, le nom du fichier I<archive-complète> est utilisé, en incluant le répertoire et en supprimant tout B<.deb> restant.
@@ -104,11 +104,11 @@ Indique un répertoire différent pour la file comprenant les parties en attente
=item B<--admindir> I<répertoire>
-Fixe le répertoire d'administration à I<répertoire> (depuis S<dpkg 1.21.10),> où se trouve aussi le fichier I<statoverride>. La valeur par défaut est I<%ADMINDIR%> si B<DPKG_ADMINDIR> n'a pas été défini.
+Fixe le répertoire d'administration à I<répertoire> (depuis dpkg 1.21.10), où se trouve aussi le fichier I<statoverride>. La valeur par défaut est I<%ADMINDIR%> si B<DPKG_ADMINDIR> n'a pas été défini.
=item B<--root> I<répertoire>
-Définit le répertoire root à B<directory> (depuis S<dpkg 1.21.10),> ce qui définit le répertoire d'installation à S<« I<répertoire> »> et le répertoire d'administration à S<« I<répertoire>B<%ADMINDIR%> »> si B<DPKG_ROOT> n'a pas été défini.
+Définit le répertoire root à B<directory> (depuis dpkg 1.21.10), ce qui définit le répertoire d'installation à « I<répertoire> » et le répertoire d'administration à « I<répertoire>B<%ADMINDIR%> » si B<DPKG_ROOT> n'a pas été défini.
=item B<-S>, B<--partsize> I<kibioctets>
@@ -118,7 +118,7 @@ Indique, en kibioctet (1024 octets), la taille maximum d'une partie lors d'une d
Indique le nom du fichier à produire pour une recomposition.
-Cela annule le fichier par défaut lors d'une recomposition S<« à> la S<main »> (B<--join>) et c'est obligatoire pour une recomposition ou une mise en file automatiques (B<--auto>).
+Cela annule le fichier par défaut lors d'une recomposition « à la main » (B<--join>) et c'est obligatoire pour une recomposition ou une mise en file automatiques (B<--auto>).
=item B<-Q>, B<--npquiet>
@@ -128,9 +128,9 @@ Pour une recomposition ou une mise en file automatiques, B<dpkg-split> affiche h
Oblige le nom des fichiers produits par B<--split> à se conformer à MS-DOS.
-Cela supprime le préfixe, soit celui par défaut dérivé du nom du fichier d'entrée, soit celui donné comme S<argument :> les caractères alphanumériques sont en minuscules, les signes plus sont remplacés par des B<x> et tous les autres caractères sont abandonnés.
+Cela supprime le préfixe, soit celui par défaut dérivé du nom du fichier d'entrée, soit celui donné comme argument : les caractères alphanumériques sont en minuscules, les signes plus sont remplacés par des B<x> et tous les autres caractères sont abandonnés.
-Le résultat est alors tronqué autant que nécessaire et des fichiers de la S<forme :> I<prefixN>B<of>I<M>B<.deb> sont créés.
+Le résultat est alors tronqué autant que nécessaire et des fichiers de la forme : I<prefixN>B<of>I<M>B<.deb> sont créés.
=back
@@ -158,19 +158,23 @@ Erreur fatale ou irrécupérable due à une utilisation non valable de la ligne
=item B<DPKG_ROOT>
-Si cette variable est positionnée et que l'option B<--root> n'est précisée, ce répertoire sera utilisé comme répertoire racine du système de fichiers (depuis S<dpkg 1.21.10).>
+Si cette variable est positionnée et que l'option B<--root> n'est précisée, ce répertoire sera utilisé comme répertoire racine du système de fichiers (depuis dpkg 1.21.10).
=item B<DPKG_ADMINDIR>
-Si cette variable est positionnée et que les options B<--admindir> ou B<--root> ne sont pas précisées, ce répertoire sera utilisé comme répertoire de données pour B<dpkg> (depuis S<dpkg 1.21.10).>
+Si cette variable est positionnée et que les options B<--admindir> ou B<--root> ne sont pas précisées, ce répertoire sera utilisé comme répertoire de données pour B<dpkg> (depuis dpkg 1.21.10).
=item B<DPKG_DEBUG>
-Définit le masque de débogage (depuis S<dpkg 1.21.10)> à partir d'une valeur octale. Actuellement, les drapeaux acceptés sont décrits dans l'option B<dpkg --debug>, mais ces drapeaux n'auront pas tous un effet sur ce programme.
+Définit le masque de débogage (depuis dpkg 1.21.10) à partir d'une valeur octale. Actuellement, les drapeaux acceptés sont décrits dans l'option B<dpkg --debug>, mais ces drapeaux n'auront pas tous un effet sur ce programme.
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+
+=item B<DPKG_NLS>
+
+If set, it will be used to decide whether to activate Native Language Support, also known as internationalization (or i18n) support (since dpkg 1.22.7). The accepted values are: B<0> and B<1> (default).
=item B<SOURCE_DATE_EPOCH>
diff --git a/man/fr/dpkg-statoverride.pod b/man/fr/dpkg-statoverride.pod
deleted file mode 100644
index a07d7a7..0000000
--- a/man/fr/dpkg-statoverride.pod
+++ /dev/null
@@ -1,189 +0,0 @@
-
- *****************************************************
- * GENERATED FILE, DO NOT EDIT *
- * THIS IS NO SOURCE FILE, BUT RESULT OF COMPILATION *
- *****************************************************
-
-This file was generated by po4a(7). Do not store it (in VCS, for example),
-but store the PO file used as source file by po4a-translate.
-
-In fact, consider this as a binary, and the PO file as a regular .c file:
-If the PO get lost, keeping this translation up-to-date will be harder.
-
-=encoding UTF-8
-
-=head1 NOM
-
-dpkg-statoverride - Annuler la propriété et le mode des fichiers
-
-=head1 SYNOPSIS
-
-B<dpkg-statoverride> [I<option>...] I<commande>
-
-=head1 DESCRIPTION
-
-“B<stat overrides>” are a way to tell L<dpkg(1)> to use a different owner or mode for a path when a package is installed (this applies to any filesystem object that B<dpkg> handles, including directories, devices, etc.). This can be used to force programs that are normally setuid to be install without a setuid flag, or only executable by a certain group.
-
-B<dpkg-statoverride> est un utilitaire pour gérer la liste des dérogations. Il possède trois fonctions S<élémentaires :> l'ajout, la suppression et le listage des dérogations.
-
-=head1 COMMANDES
-
-=over
-
-=item B<--add> I<utilisateur groupe mode chemin>
-
-Ajoute une dérogation S<(« override »)> pour I<chemin>. I<chemin> n'a pas besoin d'exister ni d'être connu de B<dpkg> quand cette commande est utilisée ; la dérogation est stockée et utilisée par la suite. Les utilisateurs ou les groupes peuvent être indiqués par leur nom (par exemple B<root> ou B<nobody>) ou bien par leur numéro, en préfixant ce numéro par le caractère S<« B<#> »> (par exemple, B<#0> ou B<#65534>). Le I<mode> doit être indiqué en numérotation octale.
-
-Si B<--update> est utilisée et si I<chemin> existe, le fichier change immédiatement de propriétaire et de mode.
-
-=item B<--remove> I<chemin>
-
-Supprime une dérogation S<(« override »)> pour I<chemin>, l'état de I<chemin> est inchangé.
-
-=item B<--list> [I<motif-global>]
-
-Liste toutes les dérogations. Quand on donne une expression rationnelle S<(« glob »),> la sortie est limitée aux dérogations qui correspondent au motif.
-
-=item B<--help>
-
-Afficher un message d'aide puis quitter.
-
-=item B<--force-help>
-
-Donne des renseignements sur les options B<--force->I<quelque-chose> (depuis dpkg 1.19.5).
-
-=item B<--version>
-
-Afficher le numéro de version puis quitter.
-
-=back
-
-=head1 OPTIONS
-
-=over
-
-=item B<--admindir> I<répertoire>
-
-Fixe le répertoire d'administration à I<répertoire>, où se trouve aussi le fichier I<statoverride>. La valeur par défaut est I<%ADMINDIR%>. si B<DPKG_ADMINDIR> n'a pas été défini.
-
-=item B<--instdir> I<répertoire>
-
-Définit le répertoire d'installation qui désigne le répertoire où les paquets sont installés (depuis S<dpkg 1.19.2).> Par défaut c'est S<« I</> »> si B<DPKG_ROOT> n'a pas été défini.
-
-=item B<--root> I<répertoire>
-
-Définit le répertoire root à B<directory>, ce qui définit le répertoire d'installation à S<« I<répertoire> »> et le répertoire d'administration à S<« I<répertoire>B<%ADMINDIR%> »> (depuis S<dpkg 1.19.2)> si B<DPKG_ROOT> n'a pas été défini.
-
-=item B<--force->I<quelque-chose>
-
-=item B<--no-force->I<quelque-chose>, B<--refuse->I<quelque-chose>
-
-Force ou refuse (B<no-force> et B<refuse> signifient la même chose) de faire quelque chose (depuis S<dpkg 1.19.5).> I<quelque-chose> est une liste d'actions séparées par des virgules, décrites ci-après. B<--force-help> affiche un message qui les décrit. Les actions marquées d'un (*) sont forcées par défaut.
-
-B<Warning>: These options are mostly intended to be used by experts only. Using them without fully understanding their effects may break your whole system.
-
-=over 4
-
-=item B<all>:
-
-Turns on (or off) all force options.
-
-=item B<statoverride-add>:
-
-Overwrite an existing stat override when adding it (since dpkg 1.19.5).
-
-=item B<statoverride-remove>:
-
-Ignore a missing stat override when removing it (since dpkg 1.19.5).
-
-=item B<security-mac>(*):
-
-Use platform-specific Mandatory Access Controls (MAC) based security when installing files into the filesystem (since dpkg 1.19.5). On Linux systems the implementation uses SELinux.
-
-=item B<not-root>:
-
-Try to (de)install things even when not root (since dpkg 1.21.8).
-
-=back
-
-=item B<--force>
-
-Force une opération, même si un test de validité l'interdirait. C'est nécessaire pour annuler une précédente dérogation. Cette option est obsolète (depuis S<dpkg 1.19.5),> elle est remplacée par B<--force-all>.
-
-=item B<--update>
-
-Essaye de changer immédiatement le I<chemin> vers les nouveaux propriétaire et mode s'il existe.
-
-=item B<--quiet>
-
-Moins de bavardage sur ce qui est fait.
-
-=back
-
-=head1 CODE DE SORTIE
-
-=over
-
-=item B<0>
-
-L'action demandée s'est correctement déroulée.
-
-=item B<1>
-
-Pour B<--list>, s'il n'y a pas de dérogation ou si aucune ne correspond au S<« glob »> fourni.
-
-=item B<2>
-
-Erreur fatale ou irrécupérable due à l'utilisation d'une ligne de commande non valable, ou interactions avec le système, telles que des accès à la base de données, des allocations de mémoire, etc.
-
-=back
-
-=head1 ENVIRONNEMENT
-
-=over
-
-=item B<DPKG_ROOT>
-
-Si cette variable est positionnée et que les options B<--admindir> ou B<--root> ne sont pas précisées, ce répertoire sera utilisé comme répertoire racine du système de fichiers (depuis S<dpkg 1.19.2).>
-
-=item B<DPKG_ADMINDIR>
-
-Si cette variable est positionnée et que les options B<--admindir> ou B<--root> ne sont pas précisées, ce répertoire sera utilisé comme répertoire de données pour B<dpkg>.
-
-=item B<DPKG_DEBUG>
-
-Définit le masque de débogage (depuis S<dpkg 1.21.10)> à partir d'une valeur octale. Actuellement, les drapeaux acceptés sont décrits dans l'option B<dpkg --debug>, mais ces drapeaux n'auront pas tous un effet sur ce programme.
-
-=item B<DPKG_FORCE>
-
-Si cette variable est positionnée et qu'aucune des options B<--force->I<...> n'est précisée, elle sera considérée comme l'option de forçage à utiliser (depuis S<dpkg 1.19.5).>
-
-=item B<DPKG_COLORS>
-
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
-
-=back
-
-=head1 FICHIERS
-
-=over
-
-=item I<%ADMINDIR%/statoverride>
-
-Ce fichier contient la liste actuelle des dérogations concernant le système. Il se trouve dans le répertoire d'administration de B<dpkg>, avec les autres fichiers importants comme I<status> ou I<available>.
-
-B<Note>: B<dpkg-statoverride> preserves the old copy of this file, with extension “-old”, before replacing it with the new one.
-
-=back
-
-=head1 VOIR AUSSI
-
-L<dpkg(1)>.
-
-
-=head1 TRADUCTION
-
-Ariel VARDI <ariel.vardi@freesbee.fr>, 2002.
-Philippe Batailler, 2006.
-Nicolas François, 2006.
-Veuillez signaler toute erreur à <debian-l10n-french@lists.debian.org>.
diff --git a/man/fr/dpkg-trigger.pod b/man/fr/dpkg-trigger.pod
index 3da5ce8..d631d72 100644
--- a/man/fr/dpkg-trigger.pod
+++ b/man/fr/dpkg-trigger.pod
@@ -26,7 +26,7 @@ B<dpkg-trigger> [I<option>...] I<commande>
B<dpkg-trigger> est un outil pour activer explicitement les actions différées et pour vérifier leur gestion dans le fonctionnement de B<dpkg>.
-Utilisable par les scripts du responsable dans certaines situations complexes où un fichier d'actions différées S<(« triggers »)> ou la directive B<activate> du fichier de contrôle des actions différées ne sont pas suffisants. Peut également être utilisé pour des essais ou par les administrateurs système (noter que les actions différées ne seront alors pas exécutées par B<dpkg-trigger>).
+Utilisable par les scripts du responsable dans certaines situations complexes où un fichier d'actions différées (« triggers ») ou la directive B<activate> du fichier de contrôle des actions différées ne sont pas suffisants. Peut également être utilisé pour des essais ou par les administrateurs système (noter que les actions différées ne seront alors pas exécutées par B<dpkg-trigger>).
Les syntaxes non reconnues pour le nom des actions différées constituent une erreur pour B<dpkg-trigger>.
@@ -60,7 +60,7 @@ Change l'endroit où se trouve la base de données de B<dpkg>. Par défaut, c'es
=item B<--root=>I<répertoire>
-Définit le répertoire root à B<directory>, ce qui définit le répertoire d'administration à S<« I<répertoire>B<%ADMINDIR%> »> (depuis S<dpkg 1.21.0).>
+Définit le répertoire root à B<directory>, ce qui définit le répertoire d'administration à « I<répertoire>B<%ADMINDIR%> » (depuis dpkg 1.21.0).
=item B<--by-package=>I<paquet>
@@ -72,7 +72,7 @@ Cette option fait en sorte que le paquet appelant I<T> (s'il existe) n'a pas bes
=item B<--await>
-Cette option a l'effet inverse de B<--no-await> (depuis S<dpkg 1.17.21).> Si le paquet intéressé a déclaré une directive S<«noawait »,> cette option ne sera pas effective. C'est actuellement le comportement par défaut.
+Cette option a l'effet inverse de B<--no-await> (depuis dpkg 1.17.21). Si le paquet intéressé a déclaré une directive «noawait », cette option ne sera pas effective. C'est actuellement le comportement par défaut.
=item B<--no-act>
@@ -86,11 +86,11 @@ Teste uniquement, n'apporte aucun changement.
=item B<0>
-L'action demandée s'est correctement déroulée. Ou bien une commande de vérification ou de déclaration renvoie S<« true ».>
+L'action demandée s'est correctement déroulée. Ou bien une commande de vérification ou de déclaration renvoie « true ».
=item B<1>
-Une commande de vérification ou de déclaration renvoie S<« false ».>
+Une commande de vérification ou de déclaration renvoie « false ».
=item B<2>
@@ -104,7 +104,7 @@ Erreur fatale ou irrécupérable due à l'utilisation d'une ligne de commande no
=item B<DPKG_ROOT>
-Si cette variable est positionnée et que l'options B<--root> n'est pas précisées, ce répertoire sera utilisé comme répertoire racine du système de fichiers (depuis S<dpkg 1.21.0).>
+Si cette variable est positionnée et que l'options B<--root> n'est pas précisées, ce répertoire sera utilisé comme répertoire racine du système de fichiers (depuis dpkg 1.21.0).
=item B<DPKG_ADMINDIR>
@@ -112,11 +112,15 @@ Si cette variable est positionnée et que l'option B<--admindir> n'est pas préc
=item B<DPKG_DEBUG>
-Définit le masque de débogage (depuis S<dpkg 1.21.10)> à partir d'une valeur octale. Actuellement, les drapeaux acceptés sont décrits dans l'option B<dpkg --debug>, mais ces drapeaux n'auront pas tous un effet sur ce programme.
+Définit le masque de débogage (depuis dpkg 1.21.10) à partir d'une valeur octale. Actuellement, les drapeaux acceptés sont décrits dans l'option B<dpkg --debug>, mais ces drapeaux n'auront pas tous un effet sur ce programme.
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+
+=item B<DPKG_NLS>
+
+If set, it will be used to decide whether to activate Native Language Support, also known as internationalization (or i18n) support (since dpkg 1.22.7). The accepted values are: B<0> and B<1> (default).
=back
diff --git a/man/fr/dpkg-vendor.pod b/man/fr/dpkg-vendor.pod
index bd8138a..fb7d83b 100644
--- a/man/fr/dpkg-vendor.pod
+++ b/man/fr/dpkg-vendor.pod
@@ -22,7 +22,7 @@ B<dpkg-vendor> [I<option>...] I<commande>
=head1 DESCRIPTION
-B<dpkg-vendor> est un outil qui permet de récupérer des informations sur les éditeurs S<(« vendors »)> de distributions référencés dans B<%PKGCONFDIR%/origins>. B<%PKGCONFDIR%/origins/default> contient l'information relative à l'éditeur actuellement utilisé.
+B<dpkg-vendor> est un outil qui permet de récupérer des informations sur les éditeurs (« vendors ») de distributions référencés dans B<%PKGCONFDIR%/origins>. B<%PKGCONFDIR%/origins/default> contient l'information relative à l'éditeur actuellement utilisé.
This program was introduced in dpkg 1.15.1.
@@ -68,15 +68,15 @@ Suppose que l'éditeur actuel est I<éditeur> au lieu d'utiliser la variable B<D
=item B<DEB_VENDOR>
-Ce réglage définit l'éditeur S<(« vendor »)> actuel. Si cette valeur est vide, le contenu du fichier B<%PKGCONFDIR%/origins/default> est utilisé.
+Ce réglage définit l'éditeur (« vendor ») actuel. Si cette valeur est vide, le contenu du fichier B<%PKGCONFDIR%/origins/default> est utilisé.
=item B<DPKG_COLORS>
-Définit le mode de couleur (depuis S<dpkg 1.18.5).> Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
+Définit le mode de couleur (depuis dpkg 1.18.5). Les valeurs actuellement acceptées sont B<auto> (par défaut), B<always> et B<never>.
=item B<DPKG_NLS>
-Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis S<dpkg 1.19.0).> Les valeurs permises S<sont :> B<0> et B<1> (par défaut).
+Si cette variable est définie, elle sera utilisée pour décider l'activation de la prise en charge des langues (NLS – Native Language Support), connu aussi comme la gestion de l'internationalisation (ou i18n) (depuis dpkg 1.19.0). Les valeurs permises sont : B<0> et B<1> (par défaut).
=back
diff --git a/man/fr/dpkg.cfg.pod b/man/fr/dpkg.cfg.pod
index e1389e4..1f7b72d 100644
--- a/man/fr/dpkg.cfg.pod
+++ b/man/fr/dpkg.cfg.pod
@@ -18,7 +18,7 @@ dpkg.cfg - Fichier de configuration de dpkg
=head1 DESCRIPTION
-Ce fichier liste les options appliquées par défaut à dpkg. Chaque ligne contient une seule option, écrite exactement comme sur la ligne de commande mais sans les tirets initiaux, inutilisés. Les guillemets autour des valeurs d'options sont supprimés. Les commentaires sont autorisés en faisant commencer la ligne par un caractère S<(« B<#> »).>
+Ce fichier liste les options appliquées par défaut à dpkg. Chaque ligne contient une seule option, écrite exactement comme sur la ligne de commande mais sans les tirets initiaux, inutilisés. Les guillemets autour des valeurs d'options sont supprimés. Les commentaires sont autorisés en faisant commencer la ligne par un caractère (« B<#> »).
=head1 FICHIERS
diff --git a/man/fr/dsc.pod b/man/fr/dsc.pod
index 62d1a56..d84b19c 100644
--- a/man/fr/dsc.pod
+++ b/man/fr/dsc.pod
@@ -24,9 +24,9 @@ I<nom-du-fichier>B<.dsc>
Chaque paquet Debian possède un fichier de contrôle .dsc qui contient un certain nombre de champs au format L<deb822(5)> format.
-Chaque champ commence par une étiquette, telle que B<Source> ou B<Binary> (la casse n'importe pas), suivie d'un S<« : »,> et du contenu du champ (sensible à la casse à moins que cela ne soit spécifié autrement). Les champs sont séparés seulement par des étiquettes de champ. En d'autres termes, le contenu d'un champ peut s'étendre sur plusieurs lignes, mais les outils d'installation joindront en général les lignes pendant le traitement du contenu du champ (sauf pour les champs à lignes multiples B<Package-List>, B<Files>, B<Checksums-Sha1> et B<Checksums-Sha256>, voir ci-dessous).
+Chaque champ commence par une étiquette, telle que B<Source> ou B<Binary> (la casse n'importe pas), suivie d'un « : », et du contenu du champ (sensible à la casse à moins que cela ne soit spécifié autrement). Les champs sont séparés seulement par des étiquettes de champ. En d'autres termes, le contenu d'un champ peut s'étendre sur plusieurs lignes, mais les outils d'installation joindront en général les lignes pendant le traitement du contenu du champ (sauf pour les champs à lignes multiples B<Package-List>, B<Files>, B<Checksums-Sha1> et B<Checksums-Sha256>, voir ci-dessous).
-Les données de contrôle pourraient être incluses dans une signature OpenPGP S<« ASCII> S<Armored »,> comme spécifié dans la RFC4880.
+Les données de contrôle pourraient être incluses dans une signature OpenPGP « ASCII Armored », comme spécifié dans la RFC4880.
=head1 LES CHAMPS
@@ -34,7 +34,7 @@ Les données de contrôle pourraient être incluses dans une signature OpenPGP S
=item B<Format:> I<version-format> (requis)
-La valeur de ce champ déclare la version du format du paquet source. La valeur du champ est utilisée par les programmes qui agissent sur un paquet source pour interpréter la liste des fichiers du paquet source et déterminer comment le dépaqueter. La syntaxe de la valeur du champ est un numéro de révision majeure S<(« 0-9 »),> un point S<(« . »),> un numéro de révision mineure, puis un sous-type facultatif après une espace («   ») qui, lorsqu'il est présent, est un mot en caractères alphanumériques S<(« a-z0-9 »),> en minuscules entre parenthèses S<(« () ».> Le sous-type est facultatif dans la syntaxe, mais peut être obligatoire pour certaines révisions particulières du format source.
+La valeur de ce champ déclare la version du format du paquet source. La valeur du champ est utilisée par les programmes qui agissent sur un paquet source pour interpréter la liste des fichiers du paquet source et déterminer comment le dépaqueter. La syntaxe de la valeur du champ est un numéro de révision majeure (« 0-9 »), un point (« . »), un numéro de révision mineure, puis un sous-type facultatif après une espace («   ») qui, lorsqu'il est présent, est un mot en caractères alphanumériques (« a-z0-9 »), en minuscules entre parenthèses (« () ». Le sous-type est facultatif dans la syntaxe, mais peut être obligatoire pour certaines révisions particulières du format source.
The source formats currently supported by B<dpkg> are B<1.0>, B<2.0>, B<3.0 (native)>, B<3.0 (quilt)>, B<3.0 (git)>, B<3.0 (bzr)> and B<3.0 (custom)>. See L<dpkg-source(1)> for their description.
@@ -66,7 +66,7 @@ Nom de la distribution dont ce paquet provient.
=item B<Maintainer:> I<nom-complet-et-adresse-électronique> (recommandé)
-Le format de ce champ sera S<« Jean> Dupont S<E<lt>jdupont@foo.comE<gt> »> ; et c'est bien sûr le créateur du paquet, par opposition à l'auteur du programme mis en paquet.
+Le format de ce champ sera « Jean Dupont E<lt>jdupont@foo.comE<gt> » ; et c'est bien sûr le créateur du paquet, par opposition à l'auteur du programme mis en paquet.
=item B<Uploaders:> I<liste-de-noms-complets-et-adresses-électroniques>
@@ -76,7 +76,7 @@ Affiche les noms et les adresses électroniques des co-responsables du paquet, a
=item S< >I<description-longue>
-Le format de la description du paquet est un résumé bref sur la première ligne (après le champ B<Description>). Les lignes suivantes peuvent servir à une description plus longue et plus détaillée. Chaque ligne de cette description longue doit être précédée d'une espace ; quand c'est une ligne blanche, elle doit contenir un seul S<« B<.> »> après cette espace.
+Le format de la description du paquet est un résumé bref sur la première ligne (après le champ B<Description>). Les lignes suivantes peuvent servir à une description plus longue et plus détaillée. Chaque ligne de cette description longue doit être précédée d'une espace ; quand c'est une ligne blanche, elle doit contenir un seul « B<.> » après cette espace.
=item B<Homepage:> I<URL>
@@ -144,23 +144,23 @@ Le I<type-de-paquet> est le type du paquet binaire, habituellement B<deb> ; une
La I<section> et la I<priorité> correspondent aux champs du même nom du paquet binaire.
-La I<liste-clés-valeurs> est une liste de I<clés>B<=>I<valeurs> séparées par des espaces et les clés optionnelles actuellement reconnues S<sont :>
+La I<liste-clés-valeurs> est une liste de I<clés>B<=>I<valeurs> séparées par des espaces et les clés optionnelles actuellement reconnues sont :
=over
=item B<arch>
-Les restrictions d'architecture à partir du champ B<Architecture> du paquet binaire avec les espaces converties en S<« , ».>
+Les restrictions d'architecture à partir du champ B<Architecture> du paquet binaire avec les espaces converties en « , ».
=item B<profile>
-La formule normalisée de restrictions de profil de construction à partir du champ B<Build-Profile> du paquet binaire avec les OR convertis en S<« + »> et les S<« AND »> en S<« , ».>
+La formule normalisée de restrictions de profil de construction à partir du champ B<Build-Profile> du paquet binaire avec les OR convertis en « + » et les « AND » en « , ».
=item B<protected>
Si le paquet binaire est protégé, cette clé contiendra la valeur du champ B<Protected>, qui est la valeur B<yes>.
-Pris en charge depuis S<dpkg 1.20.1.>
+Pris en charge depuis dpkg 1.20.1.
=item B<essential>
@@ -168,20 +168,22 @@ Si le paquet binaire est essentiel, cette clé contiendra la valeur du champ B<E
=back
-=item B<Files:> (requis)
+=item B<Files:> (required, weak)
-=item B<Checksums-Sha1:> (requis)
+=item B<Checksums-Sha1:> (required, weak)
-=item B<Checksums-Sha256:> (requis)
+=item B<Checksums-Sha256:> (required, strong)
=item S< >I<somme-de-contrôle> I<taille> I<nom-du-fichier>
-Ces champs à lignes multiples contiennent une liste de fichiers avec une somme de contrôle et une taille pour chacun. Ces champs ont la même syntaxe et diffèrent seulement par l'algorithme de somme de contrôle S<employé :> MD5 pour B<Files>, SHA-1 pour B<Checksums-Sha1> et SHA-256 pour B<Checksums-Sha256>.
+Ces champs à lignes multiples contiennent une liste de fichiers avec une somme de contrôle et une taille pour chacun. Ces champs ont la même syntaxe et diffèrent seulement par l'algorithme de somme de contrôle employé : MD5 pour B<Files>, SHA-1 pour B<Checksums-Sha1> et SHA-256 pour B<Checksums-Sha256>.
La première ligne de la valeur du champ (la partie sur la même ligne que le nom du champ suivi par un deux-points) est toujours vide. Le contenu du champ est exprimé sous la forme de lignes de continuation, un ligne par fichier. Chaque ligne consiste en la somme de contrôle, une espace, la taille du fichier, une espace et le nom du fichier.
Ces champs listent tous les fichiers qui composent le paquet source. La liste de fichiers de ces champs doit correspondre à celle présente dans les autres champs relatifs.
+B<Note>: The MD5 and SHA-1 checksums are considered weak, and should never be assumed to be sufficient for secure verification.
+
=back
=head1 BOGUES
diff --git a/man/fr/dselect.pod b/man/fr/dselect.pod
index 946063d..a7cfa3b 100644
--- a/man/fr/dselect.pod
+++ b/man/fr/dselect.pod
@@ -22,7 +22,7 @@ B<dselect> [I<option>...] [I<commande>...]
=head1 DESCRIPTION
-B<dselect> est une des principales interfaces de gestion des paquets sur un système Debian. À partir du menu principal de B<dselect>, l'administrateur système S<peut :>
+B<dselect> est une des principales interfaces de gestion des paquets sur un système Debian. À partir du menu principal de B<dselect>, l'administrateur système peut :
=over
@@ -50,21 +50,21 @@ Normalement, B<dselect> est appelé sans paramètre. Un menu interactif est pré
=head1 OPTIONS
-On peut spécifier une option à la fois sur la ligne de commande et dans le fichier de configuration de B<dselect>, I<%PKGCONFDIR%/dselect.cfg> ou dans les fichiers du répertoire de configuration I<%PKGCONFDIR%/dselect.cfg.d/>. Chaque ligne de ce fichier est soit une option (identique à une option en ligne de commande mais sans tiret), soit un commentaire (si il commence par S<« B<#> »).>
+On peut spécifier une option à la fois sur la ligne de commande et dans le fichier de configuration de B<dselect>, I<%PKGCONFDIR%/dselect.cfg> ou dans les fichiers du répertoire de configuration I<%PKGCONFDIR%/dselect.cfg.d/>. Chaque ligne de ce fichier est soit une option (identique à une option en ligne de commande mais sans tiret), soit un commentaire (si il commence par « B<#> »).
=over
=item B<--admindir> I<répertoire>
-Change le répertoire où les fichiers S<« I<status> »,> S<« I<available> »> et autres de dpkg sont situés. Le répertoire par défaut est I<%ADMINDIR%> et il ne devrait pas y avoir besoin de le modifier.
+Change le répertoire où les fichiers « I<status> », « I<available> » et autres de dpkg sont situés. Le répertoire par défaut est I<%ADMINDIR%> et il ne devrait pas y avoir besoin de le modifier.
=item B<--instdir> I<répertoire>
-Définit le répertoire d'installation qui désigne le répertoire où les paquets sont installés (depuis S<dpkg 1.19.2).> Par défaut c'est S<« I</> »> siB<DPKG_ROOT> n'a pas été défini.
+Définit le répertoire d'installation qui désigne le répertoire où les paquets sont installés (depuis dpkg 1.19.2). Par défaut c'est « I</> » siB<DPKG_ROOT> n'a pas été défini.
=item B<--root> I<répertoire>
-Définit le répertoire root à B<directory>, ce qui définit le répertoire d'installation à S<« I<répertoire> »> et le répertoire d'administration à S<« I<répertoire>B<%ADMINDIR%> »> (depuis S<dpkg 1.21.0).>
+Définit le répertoire root à B<directory>, ce qui définit le répertoire d'installation à « I<répertoire> » et le répertoire d'administration à « I<répertoire>B<%ADMINDIR%> » (depuis dpkg 1.21.0).
=item B<-D>I<fichier>, B<--debug> I<fichier>
@@ -80,7 +80,7 @@ I<partie_écran:>[I<premier_plan>],[I<arrière_plan>][I<:attr>[I<+attr>]...]
=item B<--colour>
I<partie_écran:>[I<premier_plan>],[I<arrière_plan>][I<:attr>[I<+attr>]...]
-Configure les couleurs des écrans. Cela ne fonctionne que si votre terminal gère les couleurs. Cette option peut-être utilisée plusieurs fois (et il est préférable de l'utiliser dans I<dselect.cfg>). Chaque utilisation change la couleur (et, en option, d'autres attributs) d'une partie de l'écran. Les parties de l'écran (de haut en bas) S<sont :>
+Configure les couleurs des écrans. Cela ne fonctionne que si votre terminal gère les couleurs. Cette option peut-être utilisée plusieurs fois (et il est préférable de l'utiliser dans I<dselect.cfg>). Chaque utilisation change la couleur (et, en option, d'autres attributs) d'une partie de l'écran. Les parties de l'écran (de haut en bas) sont :
=over
@@ -136,7 +136,7 @@ La couleur des écrans d'aide.
Après la partie de l'écran concernée, vient un signe deux-points et la spécification des couleurs. Pour surcharger les valeurs des couleurs compilées, vous pouvez indiquer la couleur du premier plan, de l'arrière-plan, ou les deux. Utilisez les noms standard de couleurs curses.
-En option, les spécifications des couleurs peuvent être suivies d'un signe deux-points et de la spécification d'un attribut. Il s'agit d'une liste d'attributs, séparés par des caractères plus S<(« + »).> Parmi les attributs disponibles, on trouve (tous ne fonctionnent pas sur tous les S<terminaux) :> B<normal>, B<standout>, B<underline>, B<reverse>, B<blink>, B<bright>, B<dim>, B<bold>.
+En option, les spécifications des couleurs peuvent être suivies d'un signe deux-points et de la spécification d'un attribut. Il s'agit d'une liste d'attributs, séparés par des caractères plus (« + »). Parmi les attributs disponibles, on trouve (tous ne fonctionnent pas sur tous les terminaux) : B<normal>, B<standout>, B<underline>, B<reverse>, B<blink>, B<bright>, B<dim>, B<bold>.
=item B<-?>, B<--help>
@@ -150,7 +150,7 @@ Affiche la version et se termine normalement.
=head1 COMMANDES
-Quand B<dselect> est démarré, il peut effectuer les actions suivantes, soit directement si elles sont indiquées dans la ligne de commande, soit interactivement avec un menu de commandes S<possibles :>
+Quand B<dselect> est démarré, il peut effectuer les actions suivantes, soit directement si elles sont indiquées dans la ligne de commande, soit interactivement avec un menu de commandes possibles :
=head2 Accéder (access)
@@ -208,17 +208,17 @@ Quitte le programme avec un code d'erreur de B<0> (succès).
B<dselect> directly exposes the administrator to some of the complexities involved with managing large sets of packages with many interdependencies. For a user who is unfamiliar with the concepts and the ways of the Debian package management system, it can be quite overwhelming. Although B<dselect> is aimed at easing package management and administration, it is only instrumental in doing so and cannot be assumed to be a sufficient substitute for administrator skill and understanding. The user is required to be familiar with the concepts underlying the Debian packaging system. In case of doubt, consult the L<dpkg(1)> manual page and the distribution policy.
-À moins que B<dselect> ne soit lancé en mode expert ou intermédiaire, un message d'aide est d'abord affiché lorsque cette action est choisie dans le menu. Il est B<fortement> conseillé à l'utilisateur d'étudier toutes les informations dans ces écrans d'aide lorsqu'ils apparaissent. Les écrans d'aide peuvent être affichés à tout moment à l'aide de la touche S<« B<?> ».>
+À moins que B<dselect> ne soit lancé en mode expert ou intermédiaire, un message d'aide est d'abord affiché lorsque cette action est choisie dans le menu. Il est B<fortement> conseillé à l'utilisateur d'étudier toutes les informations dans ces écrans d'aide lorsqu'ils apparaissent. Les écrans d'aide peuvent être affichés à tout moment à l'aide de la touche « B<?> ».
=head2 Disposition de l'écran
L'écran de sélection est découpé par défaut en une moitié supérieure et une moitié inférieure. La moitié supérieure affiche une liste de paquets. Un curseur permet de sélectionner un paquet, ou un groupe de paquets en sélectionnant le titre du groupe, si ça s'applique. La moitié inférieure de l'écran affiche les détails du paquet sélectionné dans la moitié supérieure. Le type de détail affiché peut varier.
-Appuyez sur la touche S<« B<I> »> pour passer d'un affichage de la liste des paquets en mode plein-écran, à un affichage plus important des détails des paquets ou à un mode partagé équitablement.
+Appuyez sur la touche « B<I> » pour passer d'un affichage de la liste des paquets en mode plein-écran, à un affichage plus important des détails des paquets ou à un mode partagé équitablement.
=head2 Vue des détails d'un paquet
-La vue des détails d'un paquet affiche par défaut la description longue du paquet sélectionné dans la liste des paquets. Le type de détail peut être modifié en pressant la touche S<« B<i> ».> Cela permet d'alterner S<entre :>
+La vue des détails d'un paquet affiche par défaut la description longue du paquet sélectionné dans la liste des paquets. Le type de détail peut être modifié en pressant la touche « B<i> ». Cela permet d'alterner entre :
=over
@@ -242,54 +242,54 @@ Dans un écran de résolution des dépendances, on peut également voir les dép
L'écran principal de sélection affiche une liste de tous les paquets connus par le système de gestion des paquets Debian. Cela inclut les paquets installés sur le système et les paquets connus par la base de données des paquets disponibles.
-Pour tous les paquets, la liste affiche sur une ligne l'état du paquet, sa priorité, sa section, les architectures installée et disponible, les versions installée et disponible, le nom du paquet et sa description courte. En appuyant sur la touche S<« B<A> »,> on peut activer ou désactiver l'affichage des architectures installée et disponible. En appuyant sur la touche S<« B<V> »,> on peut activer ou désactiver l'affichage des versions installée et disponible. En appuyant sur la touche S<« B<v> »,> l'affichage de l'état passe d'un mode bavard à un mode raccourci. Par défaut, l'état raccourci est utilisé.
+Pour tous les paquets, la liste affiche sur une ligne l'état du paquet, sa priorité, sa section, les architectures installée et disponible, les versions installée et disponible, le nom du paquet et sa description courte. En appuyant sur la touche « B<A> », on peut activer ou désactiver l'affichage des architectures installée et disponible. En appuyant sur la touche « B<V> », on peut activer ou désactiver l'affichage des versions installée et disponible. En appuyant sur la touche « B<v> », l'affichage de l'état passe d'un mode bavard à un mode raccourci. Par défaut, l'état raccourci est utilisé.
-L'état raccourci consiste en 4 S<parties :> un drapeau d'erreur, qui est habituellement vide, l'état courant, l'état de sélection précédent et l'état de sélection actuel. Les deux premiers donnent des indications sur l'état courant du paquet, les deux suivants concernent les sélections définies par l'utilisateur.
+L'état raccourci consiste en 4 parties : un drapeau d'erreur, qui est habituellement vide, l'état courant, l'état de sélection précédent et l'état de sélection actuel. Les deux premiers donnent des indications sur l'état courant du paquet, les deux suivants concernent les sélections définies par l'utilisateur.
-Voici la signification des codes d'indication des états de S<paquets :>
+Voici la signification des codes d'indication des états de paquets :
=over
-Drapeau S<d'erreur :>
+Drapeau d'erreur :
=over
=item I<vide> pas d'erreur
-=item B<R> erreur sérieuse, réinstallation S<nécessaire ;>
+=item B<R> erreur sérieuse, réinstallation nécessaire ;
=back
-État S<d'installation :>
+État d'installation :
=over
-=item I<vide> pas S<installé ;>
+=item I<vide> pas installé ;
-=item B<*>complètement installé et S<configuré ;>
+=item B<*>complètement installé et configuré ;
-=item B<-> pas installé, mais des fichiers de configuration S<existent ;>
+=item B<-> pas installé, mais des fichiers de configuration existent ;
-=item B<U> dépaqueté, mais toujours pas S<configuré ;>
+=item B<U> dépaqueté, mais toujours pas configuré ;
-=item B<C> à moitié configuré (il y a eu une S<erreur) ;>
+=item B<C> à moitié configuré (il y a eu une erreur) ;
=item B<I> à moitié installé (il y a eu une erreur).
=back
-Sélections actuelle et S<demandée :>
+Sélections actuelle et demandée :
=over
-=item B<*> marqué comme étant à installer ou à mettre à S<niveau ;>
+=item B<*> marqué comme étant à installer ou à mettre à niveau ;
-=item B<-> marqué comme étant à retirer, en conservant la S<configuration ;>
+=item B<-> marqué comme étant à retirer, en conservant la configuration ;
-=item B<=> marqué comme étant à S<conserver :> le paquet ne sera pas S<traité ;>
+=item B<=> marqué comme étant à conserver : le paquet ne sera pas traité ;
=item B<_> marqué comme étant à nettoyer, la configuration sera retirée
-S<également ;>
+également ;
=item B<n> nouveau paquet, n'a toujours pas été marqué.
@@ -299,7 +299,7 @@ S<également ;>
=head2 Déplacement du curseur et de l'écran
-Vous pouvez naviguer dans la liste de sélection des paquets et dans l'écran de résolution des dépendances et des conflits à l'aide des touches S<suivantes :>
+Vous pouvez naviguer dans la liste de sélection des paquets et dans l'écran de résolution des dépendances et des conflits à l'aide des touches suivantes :
=over
@@ -345,7 +345,7 @@ Vous pouvez naviguer dans la liste de sélection des paquets et dans l'écran de
The list of packages can be searched by package name. This is done by pressing ‘B</>’, and typing a simple search string. The string is interpreted as a L<regex(7)> regular expression. If you add ‘B</d>’ to the search expression, dselect will also search in descriptions. If you add ‘B</i>’ the search will be case insensitive. You may combine these two suffixes like this: ‘B</id>’. Repeated searching is accomplished by repeatedly pressing the ‘B<n>’ or ‘B<\>’ keys, until the wanted package is found. If the search reaches the bottom of the list, it wraps to the top and continues searching from there.
-On peut changer l'ordre du tri en appuyant sur la touche S<« B<o> »> ou S<« B<O> ».> Les neuf systèmes de tris suivants S<existent :>
+On peut changer l'ordre du tri en appuyant sur la touche « B<o> » ou « B<O> ». Les neuf systèmes de tris suivants existent :
=over
@@ -377,7 +377,7 @@ Lorsqu'il n'est pas indiqué, l'ordre alphabétique est utilisé comme dernier c
=head2 Modifier les sélections
-L'état de sélection requis des paquets individuels peut être modifié avec les commandes S<suivantes :>
+L'état de sélection requis des paquets individuels peut être modifié avec les commandes suivantes :
=over
@@ -387,7 +387,7 @@ L'état de sélection requis des paquets individuels peut être modifié avec le
=item B<=, H> conserver l'état et la version actuels
-=item B<:, G> ne plus S<garder :> ne pas mettre à niveau ou laisser non installé
+=item B<:, G> ne plus garder : ne pas mettre à niveau ou laisser non installé
=item B<-, Delete> supprimer, mais conserver la configuration
@@ -401,7 +401,7 @@ Lorsque la demande de modification entraîne des dépendances non satisfaites ou
Il est également possible d'appliquer ces commandes à des groupes de sélections de paquets en plaçant le curseur sur le titre d'un groupe. Le regroupement des paquets dépend de la façon dont les paquets sont triés dans la liste.
-Une attention particulière doit être prise lors de la modification de grands groupes de sélections, parce qu'ils peuvent créer rapidement un nombre important de dépendances non résolues ou de conflits, qui seraient tous listés dans un écran de résolution de dépendances, le rendant difficile à utiliser. En pratique, seules les opérations S<« à> S<garder »> et S<« ne> plus S<garder »> sont utiles pour les groupes.
+Une attention particulière doit être prise lors de la modification de grands groupes de sélections, parce qu'ils peuvent créer rapidement un nombre important de dépendances non résolues ou de conflits, qui seraient tous listés dans un écran de résolution de dépendances, le rendant difficile à utiliser. En pratique, seules les opérations « à garder » et « ne plus garder » sont utiles pour les groupes.
=head2 Résoudre les dépendances et les conflits
@@ -411,17 +411,17 @@ La moitié supérieure de cet écran liste tous les paquets ayant des dépendanc
Quand la sous-liste de paquets est affichée pour la première fois, B<dselect> peut avoir déjà fixé les états demandés pour certains des paquets listés, cela afin de résoudre les dépendances ou les conflits qui ont causé l'apparition de l'écran de résolution des dépendances. Il est habituellement recommandé de suivre les suggestions de B<dselect>.
-L'état de sélection des paquets listés peut être remis dans son état précédent, avant que le problème de dépendance ou le conflit ne soit créé, en appuyant sur la touche S<« B<R> ».> La touche S<« B<D> »> permet de remettre à zéro les suggestions automatiques, tout en conservant les modifications qui ont causé l'apparition de l'écran de résolution des dépendances. Enfin, la touche S<« B<U> »> permet de rétablir les suggestions automatiques.
+L'état de sélection des paquets listés peut être remis dans son état précédent, avant que le problème de dépendance ou le conflit ne soit créé, en appuyant sur la touche « B<R> ». La touche « B<D> » permet de remettre à zéro les suggestions automatiques, tout en conservant les modifications qui ont causé l'apparition de l'écran de résolution des dépendances. Enfin, la touche « B<U> » permet de rétablir les suggestions automatiques.
=head2 Établir les sélections demandées
En appuyant sur B<Entrée>, les sélections affichées sont acceptées. Si B<dselect> ne détecte pas de dépendances non résolues du fait de ces sélections, les nouvelles sélections sont établies. Cependant, si des dépendances non résolues sont trouvées, B<dselect> affichera de nouveau un écran de résolution des dépendances.
-Pour modifier un jeu de sélections qui causent des dépendances non résolues ou des conflits, et forcer B<dselect> à l'accepter, appuyez sur la touche S<« B<Q> ».> Cela fixe les sélections telles qu'elles sont définies par l'utilisateur, sans condition. En général, ne faites pas cela, sauf si vous avez bien lu ce qu'il y a d'écrit.
+Pour modifier un jeu de sélections qui causent des dépendances non résolues ou des conflits, et forcer B<dselect> à l'accepter, appuyez sur la touche « B<Q> ». Cela fixe les sélections telles qu'elles sont définies par l'utilisateur, sans condition. En général, ne faites pas cela, sauf si vous avez bien lu ce qu'il y a d'écrit.
-L'effet inverse, qui consiste à oublier les demandes de modification des sélections et revenir à la liste précédente de sélections, peut être obtenu en appuyant sur la touche S<« B<X> »> ou S<« B<Echap> ».> En répétant l'opération, on peut complètement revenir à la dernière configuration établie.
+L'effet inverse, qui consiste à oublier les demandes de modification des sélections et revenir à la liste précédente de sélections, peut être obtenu en appuyant sur la touche « B<X> » ou « B<Echap> ». En répétant l'opération, on peut complètement revenir à la dernière configuration établie.
-Si vous avez fixé certains paramètres de façon erronée et que vous souhaitez revenir en arrière sur ce qui est actuellement installé sur le système, appuyez sur la touche S<« B<C> ».> C'est un peu comme utiliser la commande de déblocage sur tous les paquets, mais cela offre un bouton panique plus évident pour les cas où l'utilisateur a appuyé sur B<entrée> accidentellement.
+Si vous avez fixé certains paramètres de façon erronée et que vous souhaitez revenir en arrière sur ce qui est actuellement installé sur le système, appuyez sur la touche « B<C> ». C'est un peu comme utiliser la commande de déblocage sur tous les paquets, mais cela offre un bouton panique plus évident pour les cas où l'utilisateur a appuyé sur B<entrée> accidentellement.
=head1 CODE DE SORTIE
@@ -443,11 +443,11 @@ Erreur fatale ou irrécupérable due à l'utilisation d'une ligne de commande no
=item B<DPKG_ROOT>
-Si cette variable est positionnée et que les options B<--instdir> ou B<--root> ne sont pas précisées, ce répertoire sera utilisé comme répertoire racine du système de fichiers (depuis S<dpkg 1.21.0).>
+Si cette variable est positionnée et que les options B<--instdir> ou B<--root> ne sont pas précisées, ce répertoire sera utilisé comme répertoire racine du système de fichiers (depuis dpkg 1.21.0).
=item B<DPKG_ADMINDIR>
-Si cette variable est positionnée et que les options B<--admindir> ou B<--root> ne sont pas précisées, ce répertoire sera utilisé comme répertoire de données pour B<dpkg> (depuis S<dpkg 1.21.0).>
+Si cette variable est positionnée et que les options B<--admindir> ou B<--root> ne sont pas précisées, ce répertoire sera utilisé comme répertoire de données pour B<dpkg> (depuis dpkg 1.21.0).
=item B<HOME>
diff --git a/man/fr/start-stop-daemon.pod b/man/fr/start-stop-daemon.pod
index 6d0b0af..8b5c165 100644
--- a/man/fr/start-stop-daemon.pod
+++ b/man/fr/start-stop-daemon.pod
@@ -40,7 +40,7 @@ Vérifier aussi l'existence d'un processus particulier. Quand un tel processus e
=item B<-T>, B<--status>
-Contrôle l'existence du processus indiqué et sort avec un code de sortie défini par les actions des scripts d'initialisation de la LSB S<(« LSB> Init Script S<Actions »> – depuis la version 1.16.1).
+Contrôle l'existence du processus indiqué et sort avec un code de sortie défini par les actions des scripts d'initialisation de la LSB (« LSB Init Script Actions » – depuis la version 1.16.1).
=item B<-H>, B<--help>
@@ -64,7 +64,7 @@ Vérifie l'existence d'un processus avec le I<pid> spécifié (depuis la version
=item [B<--ppid>] I<pid parent>
-Vérifie l'existence d'un processus avec le pid parent I<pid-parent> spécifié (depuis la version 1.17.7). Le I<pid-parent> doit avoir un numéro supérieur S<à 0.>
+Vérifie l'existence d'un processus avec le pid parent I<pid-parent> spécifié (depuis la version 1.17.7). Le I<pid-parent> doit avoir un numéro supérieur à 0.
=item B<-p>, B<--pidfile> I<fichier-pid>
@@ -104,7 +104,7 @@ Modifie le I<groupe> ou le I<gid> au début du processus.
=item B<-s>, B<--signal> I<signal>
-L'action B<--stop> définit le signal à envoyer au processus qui doit être arrêté (par S<défaut :> TERM).
+L'action B<--stop> définit le signal à envoyer au processus qui doit être arrêté (par défaut : TERM).
=item B<-R>, B<--retry> I<durée>|I<action-prévue>
@@ -138,7 +138,7 @@ Change to this username/uid before starting the process. You can also specify a
=item B<-r>, B<--chroot> I<root>
-Change de répertoire racine pour B<root> avant de lancer le processus. Remarquez que le S<« pidfile »> est aussi écrit après le changement de racine.
+Change de répertoire racine pour B<root> avant de lancer le processus. Remarquez que le « pidfile » est aussi écrit après le changement de racine.
=item B<-d>, B<--chdir> I<chemin>
@@ -146,7 +146,7 @@ Change de répertoire pour I<chemin> avant de commencer le processus. Cela est f
=item B<-b>, B<--background>
-Utilisé généralement pour les programmes qui ne S<« se> S<détachent »> pas d'eux-mêmes. Cette option oblige B<start-stop-daemon> à se dupliquer (fork) avant de lancer le processus, et l'oblige à passer en arrière-plan.
+Utilisé généralement pour les programmes qui ne « se détachent » pas d'eux-mêmes. Cette option oblige B<start-stop-daemon> à se dupliquer (fork) avant de lancer le processus, et l'oblige à passer en arrière-plan.
B<Warning>: B<start-stop-daemon> cannot check the exit status if the process fails to execute for B<any> reason. This is a last resort, and is only meant for programs that either make no sense forking on their own, or where it's not feasible to add the code for them to do this themselves.
@@ -188,13 +188,13 @@ Cela modifie la priorité du processus avant qu'il ne soit lancé.
=item B<-P>, B<--procsched> I<politique>B<:>I<priorité>
-Modifie la politique du programmateur de processus S<(« process> scheduler S<policy »)> et la priorité du processus avant de le démarrer (depuis la version 1.15.0). La priorité peut être indiquée de manière facultative avec B<:> suivi de la valeur souhaitée. La I<priorité> par défaut est 0. Les valeurs de politiques actuellement gérées sont B<other>, B<fifo> et B<rr>.
+Modifie la politique du programmateur de processus (« process scheduler policy ») et la priorité du processus avant de le démarrer (depuis la version 1.15.0). La priorité peut être indiquée de manière facultative avec B<:> suivi de la valeur souhaitée. La I<priorité> par défaut est 0. Les valeurs de politiques actuellement gérées sont B<other>, B<fifo> et B<rr>.
Cette option peut ne rien faire sur certains système où la programmation des processus de POSIX n'est pas prise en charge.
=item B<-I>, B<--iosched> I<classe>B<:>I<priorité>
-Modifie la classe du programmateur d'entrée/sortie S<(« IO> S<scheduler »)> et la priorité du processus avant de le démarrer (depuis la version 1.15.0). La priorité peut être indiquée de manière facultative avec B<:> suivi de la valeur souhaitée. La I<priorité> par défaut est 4, sauf si I<classe> est B<idle>, auquel cas I<priorité> sera toujours égale à 7. Les valeurs de I<classe> actuellement gérées sont B<idle>, B<best-effort> et B<real-time>.
+Modifie la classe du programmateur d'entrée/sortie (« IO scheduler ») et la priorité du processus avant de le démarrer (depuis la version 1.15.0). La priorité peut être indiquée de manière facultative avec B<:> suivi de la valeur souhaitée. La I<priorité> par défaut est 4, sauf si I<classe> est B<idle>, auquel cas I<priorité> sera toujours égale à 7. Les valeurs de I<classe> actuellement gérées sont B<idle>, B<best-effort> et B<real-time>.
Cette option peut ne rien faire sur certains système où la programmation d'entrée/sortie de Linux n'est pas prise en charge.
@@ -204,13 +204,13 @@ Cela modifie le masque utilisateur du processus avant qu'il ne soit lancé (depu
=item B<-m>, B<--make-pidfile>
-Utilisé lors du lancement d'un programme qui ne crée pas son propre fichier identificateur S<« pid ».> Cette option indique à B<start-stop-daemon> de créer le fichier référencé par B<--pidfile> et placer le S<« pid »> dans ce fichier juste avant d'exécuter le processus. Il faut remarquer que ce fichier ne sera supprimé quand le programme s'arrête que si B<--remove-pidfile> est utilisé.
+Utilisé lors du lancement d'un programme qui ne crée pas son propre fichier identificateur « pid ». Cette option indique à B<start-stop-daemon> de créer le fichier référencé par B<--pidfile> et placer le « pid » dans ce fichier juste avant d'exécuter le processus. Il faut remarquer que ce fichier ne sera supprimé quand le programme s'arrête que si B<--remove-pidfile> est utilisé.
B<Note>: This feature may not work in all cases. Most notably when the program being executed forks from its main process. Because of this, it is usually only useful when combined with the B<--background> option.
=item B<--remove-pidfile>
-Utilisé lors de l'arrêt d'un programme qui ne supprime pas lui-même son fichier identificateur S<« pid »> (depuis la version 1.17.19). Cette option indique à B<start-stop-daemon> de supprimer le fichier référencé par B<--pid-file> après l'arrêt du processus.
+Utilisé lors de l'arrêt d'un programme qui ne supprime pas lui-même son fichier identificateur « pid » (depuis la version 1.17.19). Cette option indique à B<start-stop-daemon> de supprimer le fichier référencé par B<--pid-file> après l'arrêt du processus.
=item B<-v>, B<--verbose>
@@ -240,7 +240,7 @@ Toute autre erreur.
=back
-Lorsque la commande B<--status> est utilisée, les codes d'état suivants sont S<renvoyés :>
+Lorsque la commande B<--status> est utilisée, les codes d'état suivants sont renvoyés :
=over
@@ -264,7 +264,7 @@ Impossible de déterminer l'état du programme.
=head1 EXEMPLE
-Démarre le démon B<food>, à moins qu'il soit déjà en cours d'exécution (un processus nommé B<food>, tournant sous le nom d'utilisateur B<food>, avec un pid dans S<food.pid) :>
+Démarre le démon B<food>, à moins qu'il soit déjà en cours d'exécution (un processus nommé B<food>, tournant sous le nom d'utilisateur B<food>, avec un pid dans food.pid) :
=over
@@ -274,7 +274,7 @@ Démarre le démon B<food>, à moins qu'il soit déjà en cours d'exécution (un
=back
-Envoie le signal B<SIGTERM> à B<food> et attend durant 5 secondes son S<arrêt :>
+Envoie le signal B<SIGTERM> à B<food> et attend durant 5 secondes son arrêt :
=over
@@ -283,7 +283,7 @@ Envoie le signal B<SIGTERM> à B<food> et attend durant 5 secondes son S<arrêt
=back
-Démonstration d'un ordonnanceur personnalisé pour l'arrêt de S<B<food> :>
+Démonstration d'un ordonnanceur personnalisé pour l'arrêt de B<food> :
=over
diff --git a/man/fr/update-alternatives.pod b/man/fr/update-alternatives.pod
index 8e292df..7f1d0e4 100644
--- a/man/fr/update-alternatives.pod
+++ b/man/fr/update-alternatives.pod
@@ -28,19 +28,19 @@ Il est possible d'installer, sur un même système et en même temps, des progra
The alternatives system aims to solve this problem. A generic name in the filesystem is shared by all files providing interchangeable functionality. The alternatives system and the system administrator together determine which actual file is referenced by this generic name. For example, if the text editors L<ed(1)> and L<nvi(1)> are both installed on the system, the alternatives system will cause the generic name I</usr/bin/editor> to refer to I</usr/bin/nvi> by default. The system administrator can override this and cause it to refer to I</usr/bin/ed> instead, and the alternatives system will not alter this setting until explicitly requested to do so.
-Le nom générique n'est pas un lien symbolique direct vers l'alternative choisie. C'est en fait un lien symbolique vers un nom situé dans le I<répertoire> I<des S<« alternatives »>,> lequel nom est à son tour un lien symbolique vers le fichier réellement visé. Les modifications faites par l'administrateur système sont ainsi confinées dans le répertoire I<%CONFDIR%> ; le FHS (lisez-le) donne de Bonnes Raisons de faire ainsi.
+Le nom générique n'est pas un lien symbolique direct vers l'alternative choisie. C'est en fait un lien symbolique vers un nom situé dans le I<répertoire> I<des « alternatives »>, lequel nom est à son tour un lien symbolique vers le fichier réellement visé. Les modifications faites par l'administrateur système sont ainsi confinées dans le répertoire I<%CONFDIR%> ; le FHS (lisez-le) donne de Bonnes Raisons de faire ainsi.
-When each package providing a file with a particular functionality is installed, changed or removed, B<update-alternatives> is called to update information about that file in the alternatives system. B<update-alternatives> is usually called from the following Debian package maintainer scripts, B<postinst> (configure) to install the alternative and from B<prerm> and B<postrm> (remove) to remove the alternative. B<Note>: in most (if not all) cases no other maintainer script actions should call B<update-alternatives>, in particular neither of B<upgrade> nor B<disappear>, as any other such action can lose the manual state of an alternative, or make the alternative temporarily flip-flop, or completely switch when several of them have the same priority.
+When each package providing a file with a particular functionality is installed, changed or removed, B<update-alternatives> is called to update information about that file in the alternatives system. B<update-alternatives> is usually called from the following Debian package maintainer scripts, B<postinst> (configure) to install the alternative and from B<prerm> and B<postrm> (remove) to remove the alternative. B<Note>: In most (if not all) cases no other maintainer script actions should call B<update-alternatives>, in particular neither of B<upgrade> nor B<disappear>, as any other such action can lose the manual state of an alternative, or make the alternative temporarily flip-flop, or completely switch when several of them have the same priority.
It is often useful for a number of alternatives to be synchronized, so that they are changed as a group; for example, when several versions of the L<vi(1)> editor are installed, the manual page referenced by I</usr/share/man/man1/vi.1> should correspond to the executable referenced by I</usr/bin/vi>. B<update-alternatives> handles this by means of I<master> and I<slave> links; when the master is changed, any associated slaves are changed too. A master link and its associated slaves make up a I<link> I<group>.
-À tout moment, un groupe de liens est dans l'un des deux modes S<suivants :> automatique ou manuel. Quand un groupe est dans le mode automatique et que des paquets sont installés ou désinstallés, le système des S<« alternatives »> décide automatiquement s'il doit mettre à jour les liens et comment le faire. Dans le mode manuel, le système des S<« alternatives »> ne change pas les liens et laisse l'administrateur système prendre toutes les décisions (sauf si quelque chose est cassé).
+À tout moment, un groupe de liens est dans l'un des deux modes suivants : automatique ou manuel. Quand un groupe est dans le mode automatique et que des paquets sont installés ou désinstallés, le système des « alternatives » décide automatiquement s'il doit mettre à jour les liens et comment le faire. Dans le mode manuel, le système des « alternatives » ne change pas les liens et laisse l'administrateur système prendre toutes les décisions (sauf si quelque chose est cassé).
Un groupe de liens est en mode automatique quand il est créé sur un système pour la première fois. Quand l'administrateur système modifie le paramétrage automatique du système, B<update-alternatives> le remarquera la prochaine fois qu'il sera lancé pour ce groupe aux liens modifiés et il fera passer ce groupe en mode manuel.
À chaque alternative est associée une I<priorité>. Quand un groupe de liens est en mode automatique, l'alternative visée par les éléments du groupe est celle qui possède la priorité la plus élevée.
-Quand l'option B<--config> est utilisée, B<update-alternatives> affiche toutes les possibilités du groupe pour lequel I<nom> est le lien principal. Le choix actuel est noté par un S<« * ».> Il sera alors demandé quel choix doit être fait pour ce groupe. Suivant le choix effectué, le groupe de liens peut ne plus être en mode I<auto>. Il vous faudra utiliser l'option B<--auto> pour revenir au mode automatique (ou réutiliser B<--config> et choisir l'entrée marquée comme automatique).
+Quand l'option B<--config> est utilisée, B<update-alternatives> affiche toutes les possibilités du groupe pour lequel I<nom> est le lien principal. Le choix actuel est noté par un « * ». Il sera alors demandé quel choix doit être fait pour ce groupe. Suivant le choix effectué, le groupe de liens peut ne plus être en mode I<auto>. Il vous faudra utiliser l'option B<--auto> pour revenir au mode automatique (ou réutiliser B<--config> et choisir l'entrée marquée comme automatique).
Si vous voulez configurer de manière non interactive, vous pouvez utiliser l'option B<--set> (voir ci-dessous).
@@ -54,7 +54,7 @@ Comme les opérations de B<update-alternatives> sont très compliquées, voici q
=item nom générique (ou lien alternatif)
-C'est un nom, par exemple I</usr/bin/editor>, qui renvoie, à travers le système des S<« alternatives »,> à l'un des fichiers qui remplissent des fonctions similaires.
+C'est un nom, par exemple I</usr/bin/editor>, qui renvoie, à travers le système des « alternatives », à l'un des fichiers qui remplissent des fonctions similaires.
=item nom alternatif
@@ -80,17 +80,17 @@ C'est un ensemble de liens symboliques corrélés, de manière qu'on puisse les
Dans un groupe de liens, c'est le lien alternatif qui détermine comment sont configurés les autres liens du groupe.
-=item lien secondaire S<(« slave »)>
+=item lien secondaire (« slave »)
Dans un groupe de liens, c'est un lien alternatif contrôlé par la configuration du lien principal.
=item mode automatique
-Quand un groupe de liens est en mode automatique, le système des S<« alternatives »> assure que les liens dans le groupe pointent vers l'alternative possédant la priorité la plus élevée dans ce groupe.
+Quand un groupe de liens est en mode automatique, le système des « alternatives » assure que les liens dans le groupe pointent vers l'alternative possédant la priorité la plus élevée dans ce groupe.
=item mode manuel
-Quand un groupe de liens est en mode manuel, le système des S<« alternatives »> ne modifie pas le paramétrage de l'administrateur système.
+Quand un groupe de liens est en mode manuel, le système des « alternatives » ne modifie pas le paramétrage de l'administrateur système.
=back
@@ -102,7 +102,7 @@ Quand un groupe de liens est en mode manuel, le système des S<« alternatives
Ajoute un groupe d'alternatives au système. I<lien> est le nom générique du lien principal, I<nom> est le nom de son lien symbolique, et I<chemin> est l'alternative présentée pour le lien principal. Les paramètres qui suivent B<--slave> sont le nom générique, le lien symbolique dans le répertoire des alternatives et l'alternative pour un lien secondaire. On peut indiquer zéro ou plusieurs options B<--slave>, chacune suivie par trois paramètres. L'alternative principale doit exister, sinon la commande échouera. Cependant, si une alternative secondaire n'existe pas, le lien secondaire ne sera simplement pas installé (mais un avertissement sera affiché). Si un fichier existe à l'emplacement où l'alternative doit être installée, il est conservé sauf si B<--force> est utilisé.
-Quand le lien principal spécifié existe déjà dans les enregistrements du système des S<« alternatives »,> les renseignements fournis sont ajoutés dans un nouvel ensemble d'alternatives pour le groupe. Sinon, un nouveau groupe contenant ces informations est ajouté et mis en mode automatique. Quand un groupe est en mode automatique, et que la priorité des alternatives nouvellement ajoutées est supérieure à celle de toutes les alternatives installées dans ce groupe, les liens symboliques sont mis à jour et pointent vers les alternatives nouvellement ajoutées.
+Quand le lien principal spécifié existe déjà dans les enregistrements du système des « alternatives », les renseignements fournis sont ajoutés dans un nouvel ensemble d'alternatives pour le groupe. Sinon, un nouveau groupe contenant ces informations est ajouté et mis en mode automatique. Quand un groupe est en mode automatique, et que la priorité des alternatives nouvellement ajoutées est supérieure à celle de toutes les alternatives installées dans ce groupe, les liens symboliques sont mis à jour et pointent vers les alternatives nouvellement ajoutées.
=item B<--set> I<nom> I<chemin>
@@ -110,7 +110,7 @@ Ajoute le programme I<chemin> comme alternative pour I<nom>. C'est équivalent
=item B<--remove> I<nom> I<chemin>
-Enlève une alternative et tous les liens secondaires associés. I<nom> est un nom dans le répertoire des S<« alternatives »,> et I<chemin> est un nom de fichier auquel I<nom> peut être lié. Quand I<nom> est en effet lié à I<chemin>, I<nom> est mis à jour et pointe vers une autre alternative adéquate ou bien est enlevé s'il n'y en a pas d'autre. De même, les liens secondaires associés sont mis à jour ou enlevés. Quand le lien ne pointe pas déjà sur I<chemin>, aucun lien n'est modifié ; seules les informations sur l'alternative sont supprimées.
+Enlève une alternative et tous les liens secondaires associés. I<nom> est un nom dans le répertoire des « alternatives », et I<chemin> est un nom de fichier auquel I<nom> peut être lié. Quand I<nom> est en effet lié à I<chemin>, I<nom> est mis à jour et pointe vers une autre alternative adéquate ou bien est enlevé s'il n'y en a pas d'autre. De même, les liens secondaires associés sont mis à jour ou enlevés. Quand le lien ne pointe pas déjà sur I<chemin>, aucun lien n'est modifié ; seules les informations sur l'alternative sont supprimées.
=item B<--remove-all> I<nom>
@@ -164,19 +164,19 @@ Afficher le numéro de version puis quitter.
=item B<--altdir> I<répertoire>
-Donne le répertoire des alternatives, quand il est différent de celui par défaut. Il s'agit par défaut de S<« I<%CONFDIR%/alternatives> ».>
+Donne le répertoire des alternatives, quand il est différent de celui par défaut. Il s'agit par défaut de « I<%CONFDIR%/alternatives> ».
=item B<--admindir> I<répertoire>
-Donne le répertoire administratif, quand il est différent de celui par défaut. C'est par défaut S<« I<%ADMINDIR%/alternatives>» si> B<%ADMINDIR_ENVVAR%> n'a pas été défini.
+Donne le répertoire administratif, quand il est différent de celui par défaut. C'est par défaut « I<%ADMINDIR%/alternatives>» si B<%ADMINDIR_ENVVAR%> n'a pas été défini.
=item B<--instdir> I<répertoire>
-Définit le répertoire d'installation qui désigne le répertoire où les paquets sont installés (depuis S<dpkg 1.19.2).> Par défaut, c'est S<« I</> »> si B<%INSTDIR_ENVVAR%> n'a pas été défini.
+Définit le répertoire d'installation qui désigne le répertoire où les paquets sont installés (depuis dpkg 1.19.2). Par défaut, c'est « I</> » si B<%INSTDIR_ENVVAR%> n'a pas été défini.
=item B<--root> I<répertoire>
-Indique le répertoire racine (depuis la S<version 1.20.1).> Cela définit aussi les répertoires des alternatives, d'installation et d'administration qui correspondent. Par défaut, c'est S<« I</> »> si B<%INSTDIR_ENVVAR%> n'a pas été défini.
+Indique le répertoire racine (depuis la version 1.20.1). Cela définit aussi les répertoires des alternatives, d'installation et d'administration qui correspondent. Par défaut, c'est « I</> » si B<%INSTDIR_ENVVAR%> n'a pas été défini.
=item B<--log> I<fichier>
@@ -238,7 +238,7 @@ Si cette variable est positionnée et que l'option B<--admindir> n'est pas préc
=item I<%CONFDIR%/alternatives/>
-Le répertoire des S<« alternatives »> par défaut. Peut être remplacé avec l'option B<--altdir>.
+Le répertoire des « alternatives » par défaut. Peut être remplacé avec l'option B<--altdir>.
=item I<%ADMINDIR%/alternatives/>
@@ -248,7 +248,7 @@ Le répertoire administratif par défaut. Peut être remplacé avec l'option B<-
=head1 FORMAT DE REQUÊTE
-Le format de B<--query> est un format à plat de type RFC822. Il est constitué de I<n> S<+ 1> paragraphes où I<n> est le nombre d'alternatives disponibles dans le groupe de liens interrogé. Le premier paragraphe contient les champs S<suivants :>
+Le format de B<--query> est un format à plat de type RFC822. Il est constitué de I<n> + 1 paragraphes où I<n> est le nombre d'alternatives disponibles dans le groupe de liens interrogé. Le premier paragraphe contient les champs suivants :
=over
@@ -333,7 +333,7 @@ Avec l'option B<--verbose>, B<update-alternatives> affiche de très nombreuses i
There are several packages which provide a text editor compatible with B<vi>, for example B<nvi> and B<vim>. Which one is used is controlled by the link group B<vi>, which includes links for the program itself and the associated manual page.
-Pour afficher les paquets disponibles qui fournissent B<vi> et son paramétrage actuel, on peut utiliser l'action S<B<--display> :>
+Pour afficher les paquets disponibles qui fournissent B<vi> et son paramétrage actuel, on peut utiliser l'action B<--display> :
=over
@@ -341,7 +341,7 @@ Pour afficher les paquets disponibles qui fournissent B<vi> et son paramétrage
=back
-Pour choisir une implémentation particulière de B<vi>, on peut utiliser cette commande en tant que superutilisateur et choisir un nombre dans la S<liste :>
+Pour choisir une implémentation particulière de B<vi>, on peut utiliser cette commande en tant que superutilisateur et choisir un nombre dans la liste :
=over
@@ -349,7 +349,7 @@ Pour choisir une implémentation particulière de B<vi>, on peut utiliser cette
=back
-Pour retrouver l'implémentation par défaut de B<vi>, on peut utiliser cette commande en tant que S<superutilisateur :>
+Pour retrouver l'implémentation par défaut de B<vi>, on peut utiliser cette commande en tant que superutilisateur :
=over